Dans cette suite, la relation entre Jacques Laroche et son fils Marc est encore très tendue. Les deux policiers sont forcés de collaborer à nouveau, alors qu’ils doivent infiltrer un bootcamp pour couples afin de se rapprocher du bras droit du chef de la mafia, participant à la thérapie de groupe avec sa conjointe. Jacques sera l’assistant du psychologue et Marc prendra part à la thérapie avec son amoureuse, Alice. Comme leur union bat de l’aile, ils espèrent faire d’une pierre deux coups en sauvant leur relation tout en menant à terme leur mission. Mais les choses seront plus compliquées que prévu.
Ce n’est pas le scénario qui va faire la fureur de ce long métrage québécois. Son manque d’originalité, ressemblant sur plusieurs points au premier opus, est flagrant.
Des acteurs performants
Par contre, le récit puise sa force dans la performance des acteurs. Michel Côté et Louis-José Houde forment un duo père-fils qui fonctionne toujours aussi bien. Je peux même dire que Louis-José a amélioré son jeu d’acteur depuis la dernière fois. Michel, interprétant Jacques, n’hésitera pas à mettre son grain de sel dans chacun des ménages. Les événements provoqués sont peut-être exagérés à l’occasion, mais très drôles, permettant de rire un bon coup. Karine Vanasse, qui incarne la blonde de Marc, a le talent nécessaire pour jouer dans une comédie. Une première pour l’actrice. De plus, le couple formé de Patrice Robitaille et Julie Le Breton est très efficace, rempli de surprises permettant de faire avancer l’intrigue.
Les acteurs secondaires ont également leurs moments de gloire. Le couple d’Yves Jacques et Diane Lavallée, complètement blasé; Mariana Mazza et Medhi Bousaidan, de jeunes parents, se sont éloignés depuis l’arrivée de leur bébé; les amoureux Mathieu Quesnel et Sylvie Potvin, malgré la différence d’âge, ont peur de se laisser; et Sonia Vachon et Hélène Bourgeois-Leclerc sont au camp puisque cette dernière n’a plus de libido depuis plusieurs années. Les situations sont absurdes, démesurées, mais comiques et percutantes.
Je n’ai aucun doute que ce «blockbuster» québécois sera l’un des succès estivaux.
La semaine prochaine, il sera question du film Dunkerque.
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Ma note: 7,5/10

L’entraîneur-chef de la délégation de Cycle-Max Racing, en compagnie des jeunes qui participeront aux championnats du monde de BMX à Rock Hill, en Caroline du Sud.

La toute première édition du Thousand Islands Fest aura lieu ce samedi, le 22 juillet, au Centre d’art La petite église, à Saint-Eustache, et mettra en scène quelque 7 groupes de musique alternative. Ce spectacle-bénéfice est organisé par Thousand Islands Record, une maison de disque établie à Sainte-Marthe-sur-le-Lac, pour venir en aide aux sinistrés touchés par les inondations printanières de la MRC des Deux-Montagnes.
La première édition de ce festival est bien spéciale pour ses créateurs, car ils organisent une grande fête musicale où des groupes alternatifs d’ici et d’ailleurs joueront pour une cause importante et d’actualité pour la région.
En effet, le spectacle-bénéfice est organisé pour soutenir un organisme bien connu dans les Laurentides, qui vient en aide directement aux sinistrés, grâce à ses actions sur le terrain. Il s’agit de l’Écluse des Laurentides. «On organise notre première édition au profit de l’Écluse des Laurentides qui agit directement sur le terrain pour venir en aide aux sinistrés des inondations. La totalité des fonds sera remise pour venir en aide aux gens touchés par les inondations dans la MRC des Deux-Montagnes. Il est important pour nous de venir en aide directement à un organisme qui agit dans la région des Laurentides» , de lancer Bruno Beaulieu, coorganisateur de l’événement, qui était lui-même témoin des événements du printemps dernier.
«Nous étions aux premières loges, face à ce qui s’est passé au printemps. Il y a des gens qui sont encore dans la misère et qui n’ont pas encore réintégré leurs maisons. C’était naturel pour nous de faire cette première édition du festival en donnant les fonds amassés aux sinistrés.»
<h3>Une bonne brochette</h3>
Plusieurs groupes de la région prennent part au festival, tels Down Memory Lane, No Real Hero et L’Affaire Pelican. Les membres de ces groupes sont originaires de la MRC des Deux-Montagnes. En ce sens, il n’a pas été difficile pour les organisateurs du festival de les approcher et de les inviter à prendre part au projet. «Nous n’avons pas eu à travailler très fort pour qu’ils acceptent de jouer au festival et pour la cause. Certains groupes sont établis dans la région et ont aussi été témoins des inondations» , d’ajouter M. Beaulieu.
Notons également que d’autres groupes de l’extérieur de la région ont accepté de joindre leurs instruments aux festivités. Splintered Fate, un groupe alternatif de Gatineau, et Sidelines, de l’Ontario, ont accepté de se déplacer pour la cause.
Le style musical de ces formations se situe généralement dans le punk, mais certains empruntent des influences d’autres styles. En ce sens, les amateurs de musique alternative seront choyés. Ils pourront découvrir des artistes anglophones et francophones, issus de l’extérieur ou de la région, tout en contribuant à une bonne cause.
<h3>Informations</h3>
Soulignons finalement que les billets sont au coût de 10 $ en prévente et de 15 $ aux portes du festival. Les enfants de 12 ans et moins passeront l’entrée gratuitement. Il est possible d’acheter son billet au coût de 20 $, pour être éligible au tirage avec 5 participations. Sur place, tirages et barbecue. L’activité, qui débute au coup de 16 h, se veut être familiale. Les convives sont invités à y assister avec famille et enfants.
Pour acheter des laissez-passer pour le festival, rendez-vous au: [<a href="https://lepointdevente.com/billets/tir170722001">https://lepointdevente.com/billets/tir170722001</a>].
Pour plus d’informations concernant le Thousand Islands Fest et la maison de disque Thousand Islands Record, il suffit de visiter le [<a href="https://www.facebook.com/thousandislandsrecords/">https://www.facebook.com/thousandislandsrecords/</a>].

Comme on est à même de le constater, les jeunes membres de la Coopérative jeunesse au travail (CJT) de Mirabel n’ont pas peur de se salir à l’ouvrage!

La musique résonnera pour les sinistrés

C’est une histoire de famille, dans tous les sens du terme, qui aura mené à la publication d’un premier livre pour une jeune Rosemèroise de 9 ans, Sandrine Paquin-Laberge, qui lançait tout récemment un fort bel ouvrage intitulé L’inséparable, un bouquin d’une quarantaine de pages publié aux éditions Vivat.
C’est là que tout a commencé, il y a deux ans, quand Sandrine, accompagnée de ses parents, a rendu visite à sa grand-tante, Claire Bouchard, copropriétaire de cette maison d’édition saguenéenne. Celle-ci, devant l’intérêt manifesté par la fillette à l’égard des livres et des histoires qu’ils contiennent, lui a demandé si elle aimerait en raconter une à son tour.
<h3>Ne jamais abandonner</h3>
C’est ainsi qu’est né ce projet d’écrire un «vrai» livre à partir d’une histoire tout aussi réelle, celle d’un oiseau perdu que la jeune auteure avait recueilli chez elle, à l’âge de 4 ans, et des efforts qu’elle avait alors déployés pour retrouver sa propriétaire.
Le thème de la persévérance est au cœur de ce bouquin, à la fois dans l’histoire qui y est racontée, mais aussi dans la poursuite d’un projet que la jeune auteure considère désormais comme sa plus grande réalisation, tel qu’elle en a témoigné lors du lancement qui avait lieu à la bibliothèque de Rosemère, le 2 avril dernier.
<h3>Travail d’équipe</h3>
«J’ai appris plein de choses avec ce projet. Par exemple: ce qu’est un éditeur, un numéro ISBN, une dédicace et un lancement de livre, mais aussi que publier un livre, c’est un très gros travail fait par plusieurs personnes» , a-t-elle exprimé en faisant allusion à son éditrice, Claire Bouchard, à sa mère, Lysiane Laberge, qui a donné un coup de pouce sur le plan de l’écriture, de même qu’à sa cousine, Andrée-Anne Omoruyi, qui a produit les superbes illustrations qui constituent la signature visuelle de ce livre.
Il y en aura peut-être d’autres puisque Sandrine a retiré de cette expérience la certitude qu’elle voudrait devenir auteure. «J’ai des idées pour d’autres livres. Ce seront des histoires d’animaux» , annonce-t-elle.
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Courtoisie Autodrome de Saint-EustacheSteve Côté est au sommet du classement de la série NASCAR Sportsman Lucas Oil. Une ronde de compétitions était présentée à l’Autodrome Saint-Eustache, le 8 juillet.

De père en flic 2: une comédie drôle et efficace