« Ce nouveau site de location d’embarcations nautiques permettra aux citoyens et aux visiteurs du Grand Montréal de découvrir l’immense richesse de la rivière des Mille Îles, un joyau de notre région, tout en bénéficiant des avantages de la pratique d’une activité extérieure sur leur santé. Plus que jamais, nous avons besoin de ce type de projet qui contribue à la qualité de vie de notre population et à l’attractivité de notre région, et je félicite la Ville de Saint-Eustache pour son engagement en ce sens », a souligné la mairesse de Montréal et présidente de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM), Valérie Plante.
Un investissement de 707 000 $
Réalisé en collaboration avec Éco-Nature, ce projet comprenait l’installation de deux quais, la construction d’un cabanon de services ainsi que l’aménagement d’espaces de stationnement et de sentiers d’accès. Il a bénéficié d’une aide financière de 442 933 $, octroyée à parts égales par le gouvernement du Québec et la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) dans le cadre de la Trame verte et bleue du Grand Montréal. La Ville de Saint-Eustache a quant à elle déboursé un montant de 264 067 $ dans ce projet totalisant un investissement de 707 000 $.
« Le parc Boisé des Moissons, les berges et la rivière des Mille Îles offrent des paysages à couper le souffle et une riche biodiversité à découvrir, et nous prenons les moyens pour en faciliter l’accès. En famille, entre amis ou en solo, j’invite tous les citoyens à prendre la pagaie pour profiter de tout ce que la nature a de plus beau à nous offrir. En mon nom personnel, et au nom des membres du conseil municipal, je tiens à remercier le gouvernement du Québec et la CMM pour leur soutien financier dans le cadre de la Trame verte et bleue, ainsi qu’Éco-Nature qui voit à l’ensemble des opérations du centre de location », a déclaré le maire de Saint-Eustache, Pierre Charron.
Ouvert jusqu’au 11 octobre
Situé au parc Boisé des Moissons (53, 25e Avenue), le centre de location est ouvert les vendredis, samedis et dimanches, entre 9 h 30 et 16 h 30, et ce, jusqu’au 11 octobre prochain. Les tarifs de location sont offerts à la journée ou par bloc de trois heures et tout l’équipement nécessaire à la pratique des activités est disponible sur place. Pour en savoir plus sur les tarifs et obtenir plus d’informations, les gens sont invités à visiter le site: <a href="https://www.parc-mille-iles.qc.ca/">[parc-mille-iles.qc.ca</a>].

« Nous avons eu des problèmes de moteur au début de la journée », explique le pilote de la voiture #74 <a href="https://www.bumpertobumper.ca/fr/">Bumper to Bumper</a> / <a href="https://www.lacroixtuning.com/">Lacroix Tuning</a>. « Je n’ai donc pas fait la séance d’essais, car l’équipe a changé le moteur. »
C’est donc &#8220;à froid&#8221; que Lacroix a effectué la séance de qualifications, sans connaître l’état de la piste. Il n’a pu inscrire que le 14e temps, alors que les pilotes étaient envoyés par groupe sur la piste.
L’épreuve a bien débuté pour Lacroix qui tentait de remonter le peloton, cependant, un autre problème mécanique est venu mettre un terme à ses chances de s’établir dans le Top 10. « Nous avons eu un problème de radiateur durant l’épreuve, alors je suis rentré aux puits puisqu’il s’est vidé d’eau. »
L’équipe a travaillé aussi rapidement que possible, mais Lacroix a tout de même perdu 30 tours.  Toutefois, le pilote de Saint-Eustache a signé le 3e chrono lors du MOTOMASTER 125, le plaçant ainsi en bonne position pour la seconde épreuve de la soirée. Finalement, la soirée du pilote s’est traduit par un abandon après un contact avec un compétiteur.
La pluie s’étant invitée au Flamboro Speedway, les activités de NASCAR Pinty’s ont été arrêtées, repoussant la seconde course de 125 tours au Pinty’s Fall Brawl, le 24 septembre. Ce sera également l’occasion de disputer l’une des deux courses qui devait avoir lieu à l’Autodrome Chaudière, puisque l’événement en sol québécois a également été annulé.  Il y aura donc trois épreuves en trois jours au Delaware Speedway.
« On ne connaît pas encore le format du week-end, avoue Lacroix, mais comme j’ai fait le 3e meilleur chrono en vue de la 2e épreuve de la soirée, j’espère partir de cette position dans deux semaines! »

Rapidité puis ennui mécanique pour Kevin Lacroix au Flamboro Speedway

Cette somme permettra ultimement à Jean-François, 27 ans, de réaliser son rêve de participer aux prochains Jeux paralympiques à titre de représentant de l’équipe canadienne. Il y est presque, lui qui est actuellement gardien de but de l’équipe de développement.
« Cet argent va servir à mes déplacements, mes entraînements et à me procurer de l’équipement. Le sport, c’est pas donné. L’équipement de gardien de but est assez dispendieux, surtout que je n’utilise qu’une seule jambière mais que je dois tout de même en acheter deux ! », lance celui qui, comme il le dit, a joué au hockey debout jusqu’à l’âge de 14 ans. C’est en raison de sa condition physique qu’il a dû se résigner à mettre un terme à cette carrière. À l’âge de huit ans, victime d’une fracture au pied, il a continué à marcher dessus, sans ressentir de douleur. C’est à ce moment que ses parents ont bien vu que quelque chose clochait.
« Je souffre d’une neuropathie. Je ne ressens plus de sensibilité dans les pieds et les mains, ce qui fait que je ne pouvais plus enfiler des patins. J’avais une réelle passion pour le hockey. Ce fut donc difficile de tout arrêter à 14 ans ».
Ce n’est que quatre ans plus tard, vers l’âge de 18 ans, qu’il a découvert le hockey sur luge en voyant une vidéo d’Antoine Lehoux, membre de l’équipe canadienne. Ce n’est toutefois qu’il y a trois ans qu’il a commencé le hockey luge.
« À partir de là, je me suis informé à savoir où je pouvais pratiquer ce sport et c’est là que j’ai rencontré Maxime Gagnon. », raconte Jean-François qui s’est récemment fait amputer un pied jusqu’au tibia.
Un rêve à sa portée
Actuellement membre d’Équipe Québec en plus d’être de l’alignement partant de l’équipe nationale de développement, Jean-François est confiant de se tailler un poste au sein d’Équipe Canada dans un avenir rapproché.
« J’ai toujours pensé que j’avais ce petit plus, estime Jean-François. J’ai le sens du hockey et je suis un battant. Que ce soit de n’importe quelle façon, je vais lé, arrêter la rondelle ! Je ne me suis jamais donné de limites à ce niveau-là ! »
La semaine prochaine, il sera présent au camp d’entraînement d’Équipe Canada à Calgary. Il participera ensuite à un autre camp en 2022 au terme duquel seront les sélectionnés les joueurs qui seront des prochaines Jeux paralympiques.
« Je me bats pour ça cette année ! Je crois en mes chances d’être le 2e gardien et ce, même si je suis le dernier arrivé sur quatre gardiens de but. Je réaliserais alors un rêve car aussitôt que j’ai découvert le sport, j’ai dit à mes parents que j’irais aux Jeux paralympiques. C’est ça mon but ! »
N’eut été de sa condition, Jean-François est conscient qu’il n’aurait probablement pas eu la chance de vivre d’aussi beaux moments dans le sport. Il a d’ailleurs un message à livrer à ceux et celles qui sont limités physiquement, comme lui.
« Quand je jouais comme gardien de but plus jeune, j’ai toujours pensé que j’atteindrais la Ligue nationale et que je représenterais le Canada sur la scène internationale. J’ai découvert que je pouvais encore rêver à ça, ce qui m’a vraiment remonté le moral ! Il ne faut jamais abandonner ! »
Chaque année, le programme FACE de Pétro-Canada décerne à 55 athlètes prometteurs et leurs entraineurs aux quatre coins du pays une bourse de 10 000 $. Cette somme vise à couvrir les dépenses liées à l’entrainement, à la formation des entraineurs, à l’équipement et aux déplacements pour les compétitions internationales. La bourse permettra à Jean-François Huneault de continuer à pleinement s’investir dans le hockey sur luge afin d’atteindre ses objectifs.

Saint-Eustache : ouverture officielle du nouveau site de location de canots et kayaks