Les filets ont tous été comptés en première période. C’est Mathieu Bélanger, joueur des Vikings, qui a ouvert la marque à 4:43, lui qui a inscrit le seul filet du match des Eustachois. Magog a nivelé le tout à la seizième minute, pour ensuite prendre les devants 2-1, près de deux minutes plus tard, grâce au 12e de la saison de Jeremy Lapointe. Nikolas Hurtubise, le cerbère des Vikings de Saint-Eustache, a de nouveau été solide, repoussant 40 des 42 tirs dirigés vers lui.
<h3>Le dernier chapitre</h3>
Les Vikings étaient de retour sur une patinoire adverse deux jours plus tard, le dimanche 10 février, eux qui avaient rendez-vous avec le Rousseau-Royal de Laval-Montréal, dans le cadre d’un tout dernier affrontement en saison régulière. Saint-Eustache s’est sauvé avec une victoire méritée au compte de 5-4.
Les Eustachois ont fait bougé les cordages à quatre reprises en première période, et ce, sans riposte de leurs adversaires. Samuel Chabot (9e), Alexis Bélisle (16e), Charles-Antoine Archambault (6e) et Émile Pichette (5e) ont tous contribué au pointage.
Le Rousseau-Royal, qui jouait devant ses partisans, à l’aréna Garon, a par la suite brisé la glace. Mathis Cloutier (7e) a fait 5-1 en faveur de Saint-Eustache, pour voir l’autre formation réaliser une poussée offensive grâce à trois buts comptés, sans réponse des Vikings. Le dernier fut inscrit en avantage numérique à 9:50 du tout dernier tiers. Laval-Montréal n’a pas pu égaliser par la suite.
Mathis Cloutier, le numéro 15 des Vikings, a récolté deux points lors de ce duel, comme son coéquipier Charles-Antoine Archambault. Ils ont chacun contribué avec un but et une passe.
<h3>Place aux séries!</h3>
Les Vikings de Saint-Eustache terminent la campagne régulière au 12e rang et notons que les 14 premières équipes du circuit au classement général participent aux prochaines séries éliminatoires de la Coupe Jimmy-Ferrari. Saint-Eustache fera donc face à la troisième puissance de la ligue, les représentants de la ville de Gatineau, au premier tour, dans le cadre d’une série trois de cinq.
La danse éliminatoire de la LHMAAAQ débutera le 26 février prochain, soit après la pause des Jeux du Canada d’hiver 2019, auxquels une vingtaine de joueurs du circuit participeront pour représenter le Québec.
Pour plus d’informations concernant les Vikings de Saint-Eustache et l’horaire des prochaines séries éliminatoires: [<a title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information" href="http://www.vikings.liguemidgetaaa.ca" target="_blank" rel="noopener">http://www.vikings.liguemidgetaaa.ca</a>].

Les Vikings terminent la saison sur une bonne note

Après avoir remporté, vendredi soir, l’épreuve individuelle, le skieur de Deux-Montagnes a réussi le lendemain soir ce qu’il n’avait jamais été en mesure d’accomplir lors de ses quatre premières participations à des championnats du monde, à savoir remporter un deuxième titre la même année.
<h3>Champion lors de l’épreuve individuelle</h3>
D’abord, vendredi soir, l’athlète de 26 ans a récupéré le titre qu’il avait décroché une première fois aux Championnats du monde de 2013, à Voss-Myrkdalen, en Norvège.
Lors de cette épreuve, Kingsbury a, avec un score de 84,89, devancé l’Australien Matt Graham (81,94) et le Japonais Daichi Hara (81,66). Le champion en titre, le Japonais Ikuma Horishima, a, lui, dû se contenter de la quatrième place avec 81,30 points.
«Ce titre-là, il fait du bien. En haut de la piste avant de faire ma descente en super finale, j’ai senti la pression d’être le dernier à y aller, parce que je ne me suis pas entraîné comme j’aurais aimé le faire cette semaine – entre autres, j’ai eu beaucoup d’apprentissages à faire. Mais en même temps, j’avais confiance que je pouvais être le meilleur. Et on dirait qu’en bout de ligne, tous les astres se sont alignés» , n’a pas manqué de mentionner Mikaël Kingsbury.
<h3>Et champion lors de l’épreuve en parallèle</h3>
Puis, samedi soir, lors de l’épreuve en parallèle, Kingsbury a ajouté à sa feuille de route cette deuxième médaille d’or à ces mêmes Championnats du monde, répétant l’exploit qu’avait réalisé en 2017, à Sierre Nevadale, le Japonais Ikuma Horishima.
Pour ce faire, lors de l’ultime épreuve, le «King des bosses» l’a emporté devant l’Américain Bradley Wilson qui, pourtant, avait été le premier à franchir la ligne d’arrivée. Mais, les juges ont finalement accordé à Kingsbury un total de 87,62 points en raison de sa maîtrise technique lors de la descente, comparé à 84,69 pour Wilson.
«Ça n’a pas été parfait, mais au fil des qualifications et des finales, c’est allé de mieux en mieux d’une descente à l’autre. En 2017, je me rappelle d’avoir été en admiration devant Ikuma Horishima, quand il avait remporté les deux titres, parce que personne avant lui n’avait réussi à le faire la même année. Et voilà que je le fais cette année. Je suis sans mot! J’ai maintenant quatre titres de champion mondial, c’est incroyable» , s’est réjoui à juste titre celui qui détient maintenant quatre titres majeurs des bosses à l’échelle mondiale en ce moment, soit celui de champion olympique et de champion du classement général de la Coupe du monde 2018, en plus de ses titres mondiaux acquis à Deer Valley.
<h3>De retour en Coupe du monde</h3>
Ces titres mondiaux maintenant en poche, Mikaël Kingsbury se préparera ces prochains jours en vue des prochaines épreuves de la Coupe du monde qui auront lieu les 23 et 24 février, à Tazawako, au Japon. Des épreuves individuelle et en parallèle seront alors au programme.
Deux épreuves identiques viendront mettre un terme à cette saison 2018-2019 en Coupe du monde, cette fois les 2 et 3 mars prochain, à Shymbulak, au Kazakhstan. Jusqu’ici, Kingsbury a remporté cinq des six épreuves en Coupe du monde cette saison.

Deux titres plutôt qu’un aux Championnats du monde

C’est devant famille et amis, qui arboraient tous un chandail marqué d’une lettre de son nom, que la pilote mirabelloise de Monster Truck Cynthia Gauthier a remporté la compétition de style libre du plus récent Monster Jam, présenté à Orlando, en Floride, les 2 et 3 février.
Grâce à une récolte de 9 498 points, Cynthia et son camion, le Monster Mutt Dalmatian, ont devancé Grave Digger et Scarlet Bandit pour prendre les commandes de cette compétition d’envergure disputée devant des dizaines de milliers de spectateurs, dont les siens qui avaient fait le voyage jusqu’en Floride.
«J’ai eu la chance de remporter cette victoire devant une grosse partie de ma famille du Québec. Le support de mes proches et de toutes les Québécoises me touche énormément» , a mentionné Cynthia, rapidement devenue la préférée des fans partout où elle passe en Amérique du Nord.
Seule femme a exécuté des «backflips» au volant de son camion en compétition, il faut dire qu’elle sait comment se faire aimer!
«Mon but premier est de donner le meilleur spectacle à tous les spectateurs et que chacun d’eux reparte avec des souvenirs mémorables.» 
<h3>Déjà deux victoires</h3>
Nommée étoile montante de sa discipline au terme de la dernière saison, Cynthia est l’une des rares femmes sur la planète à piloter un Monster Truck. Elle affronte par surcroît les meilleurs pilotes du monde en compétition. Elle aime gagner, mais là n’est pas l’objectif ultime.
«Cette année, dit-elle, j’ai décidé de commencer ma saison avec une différente approche. Au lieu de me concentrer sur les résultats et les points de la série, je “focusse” davantage sur mon amélioration personnelle.» 
Et ça semble fonctionner. Cynthia a déjà deux victoires à son actif en 2019 et occupe actuellement le 7e rang de sa série. 
Au cours des semaines à venir, la pilote continuera à donner des spectacles un peu partout autour du globe tout en poursuivant l’animation de Zone VL sur V, une émission présentée le dimanche matin dans laquelle elle teste de puissants véhicules récréatifs.