Les Hawks de Mirabel ont affronté leurs grands rivaux : l’Assurancia Venne et Fille, gagnant leur premier match 7-6, mais s’inclinant 8-7 lors du deuxième affrontement de la soirée. 



L’ouverture locale se tiendra quant à elle le vendredi 17 mai au Centre HBLL de Mirabel contre les Huskies de Dek Anjou, promettant un spectacle vibrant pour les fans de hockey-balle.



Après avoir manqué les séries pour la première fois l’année dernière, le nouvel état-major des Hawks s’est attelé à transformer l’équipe&nbsp;: « On était un peu trop lourd l’année dernière » admet Dominic Dulmaine, président de la HBLL. Il assure que l’équipe aura plus de vitesse et sera plus forte à la position de gardien grâce à Frédéric Gagnon et Samuel Cardinal.&nbsp;



<h2>Nouvelle tendance</h2>



Le hockey-balle constitue une alternative estivale idéale pour les nombreux amateurs de hockey et l’engouement pour le sport, réservé autrefois aux gymnases d’écoles, connaît une progression des plus intéressante. En effet, la Ligue nationale de hockey Balle LNHB, en tant que première ligue officielle du sport, ne représente que la pointe de l’iceberg d’un mouvement plus large qui inclut environ 700&nbsp;équipes à travers le Québec, réunissant jeunes et moins jeunes, hommes et femmes.



Au sein de la LNHB, les matchs sont disputés en format&nbsp;3 contre 3, les équipes sont composées de 11&nbsp;joueurs (trois trios et deux gardiens). Mais outre les différences pratiques possibles de constater sur la surface de jeu, Dominic Dulmaine explique que ce qui fait la différence à Mirabel, c’est la proximité unique avec les joueurs&nbsp;: « Partout où on est assis, on est très près de l’action. On voit tout ce qui se passe, on entend tout ce qui se dit. On est assis directement dans l’émotion de la partie », ce qui bonifie considérablement l’expérience client.&nbsp;



Avec des foules à domicile d’environ 300&nbsp;personnes par match, les Hawks et leurs installations de Mirabel offrent également 10&nbsp;loges et des sièges VIP, avec des tarifs allant de 10 à 40&nbsp;dollars ; l’entrée gratuite pour les jeunes de 12&nbsp;ans et moins.&nbsp;



Pour plus d’informations ou pour vous procurer des billets, vous pouvez consulter la page web des Hawks au&nbsp;:&nbsp;<a href="https://hawks.liguenationalehockeyballe.com/">https://hawks.liguenationalehockeyballe.com</a>&nbsp;ou encore visiter leur page Facebook pour consulter les derniers résultats et photos disponibles&nbsp;:&nbsp;<a href="https://www.facebook.com/HawksMirabel/">https://www.facebook.com/HawksMirabel/</a>.

Nathan Taillon, un karatéka d’exception âgé de 13 ans et habitant de Sainte-Marthe-sur-le-Lac, s’est mérité une place sur l’équipe canadienne qui ira au Championnat mondial WKC au Portugal en octobre. 



Son nom et son visage vous disent quelque chose? Normal, Nathan est un habitué de votre journal L’Éveil, accumulant les médailles et les distinctions à un rythme impressionnant. En effet, Nathan vient tout juste d’être couronné champion du monde en kata extrême chez les 11-12 ans lors des derniers championnats du monde de la WKC à Killarney, en Irlande. « C’est sûr que c’est gros de voyager quand même, surtout si je veux devenir connu. Le karaté, c’est toute ma vie », admet Nathan, entouré de ceux qui l’aiment et le soutiennent : son père Dominick, sa mère Geneviève, sa sœur Jade et Hanshi Pierre Saulnier. 



Pierre Saulnier est un mentor très impliqué, sa rigueur est visible et même s’il décrit le triple champion canadien comme un élève exceptionnel (tant à l’école qu’au dojo), rien ne lui échappe. Il le connaît si bien qu’il perçoit le moindre relâchement ou manque de concentration. Son dojo situé sur le boulevard des Promenades est un peu la seconde demeure de Nathan : « Nathan, c’est un jeune passionné qui a un talent qui n’est vraiment pas donné à tout le monde. Des fois, je le vois s’entraîner et je lui demande ce qu’il fait encore ici. C’est le secret de son succès. Nathan est très résilient, il a une persévérance incroyable. » 



<h2>Une passion familiale</h2>



Depuis quelques années maintenant, Jade Taillon, la grande sœur de Nathan fait également sa marque sur les circuits compétitifs. Même si les championnats du monde en Irlande ne lui ont pas permis d’obtenir les résultats qu’elle souhaitait, Jade progresse de façon fulgurante et fait preuve d’une attitude irréprochable. « À force de suivre Nathan dans toutes ses compétitions, j’ai vu l’opportunité. Je me suis dit pourquoi ne pas essayer et, à 11 ans, j’ai commencé la compétition », de dire la principale intéressée. « Avant, ma sœur faisait de la natation, c’est le fun de pouvoir le faire avec elle », conclut Nathan. 



La prochaine étape pour Nathan est sa participation au Championnat Mondial WKC qui se tiendra du 26 octobre au 1er novembre 2024 à Albufeira, au Portugal. Cet événement prestigieux se déroulera principalement au Grande Real Santa Eulalia Resort &amp; Hotel Spa. Jusqu’où se rendra le Marthelacquois de 13 ans? L’avenir nous le dira. Mais sa famille, sa ville et maintenant son pays sont déjà très fiers de lui.

Nathan Taillon : un Marthelacquois à la conquête du monde

Médaillés d’argent avec Équipe Canada aux Championnats du monde de parahockey sur glace, en juin 2023, à Moose Jaw, Jean-François Huneault, 29 ans, et Vincent Boily, 23 ans, reçoivent ainsi chacun une troisième bourse, d’un montant de 3 000 $ cette année, dans le cadre de ce programme.



Gardien de but pour Équipe Canada, Jean-François Huneault est athlète à temps plein et père de deux enfants.



Joueur d’avant, Vincent Boily étudie au baccalauréat en administration des affaires, à l’Université du Québec à Montréal, et a comme objectif de devenir agent de sportifs.



Il était du nombre des 17 joueurs qui ont pris part au Championnat mondial de parahockey 2024, qui a eu lieu du 4 au 12 mai derniers au WinSport Arena de Calgary.



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Les Hawks de Mirabel sont de retour!

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