Notons que ce programme a déjà aidé quelque 4 000 jeunes Canadiens à prendre le volant d’un véhicule motorisé, la plupart pour la première fois. Cette année, il fait le tour des provinces du Canada, chapeauté par son propriétaire, pilote et fin connaisseur du monde automobile, Russ Bond. Ce dernier était présent, pendant le séjour en sol eustachois, pour encadrer les jeunes et leurs parents, en compagnie d’un bon groupe de formateurs qualifiés.
<h3>Une journée remplie</h3>
D’entrée de jeu, M. Bond invitait ses convives à une séance d’information concernant les mesures de sécurité et l’utilisation des karts prêtés aux jeunes dans le cadre du programme. L’instructeur donnait ses consignes en anglais, pour être traduites en français par un autre formateur. Ensuite, on divisait la classe en deux groupes.
Au final, on montrait les karts avant la pratique en circuit. Les futurs conducteurs prenaient ensuite contrôle des karts et de la piste de l’Autodrome, pour mettre en pratique les instructions de Russ Bond, avec deux séances de 15 minutes.
«Le but du programme n’est pas de faire de bons pilotes de course. En ce sens, Russ Bond a décidé de construire ce programme dans le but de montrer aux jeunes à devenir de bons conducteurs et, pour arriver, on leur montre la dynamique de conduite. On veut les encadrer et les préparer au cours de conduite, en ayant une bonne base acquise au préalable. Vu l’âge de notre clientèle, on ne pouvait pas utiliser des voitures, donc on s’est tourné vers les karts. Il s’agit de bolides ultrasécuritaires et amusants à conduire» , de préciser Marc Bouchard, porte-parole de l’atelier Kartstart et chroniqueur automobile.
<h3>Safety Sense</h3>
Les parents, toujours accompagnés par leurs enfants, pouvaient essayer des voitures Toyota, présentes en bon nombre sur le site prêté par l’Autodrome. Une présentation et une pratique en piste étaient prévues, pour essayer les bolides.
«Ils sont dans les voitures avec leurs enfants et les instructeurs pour essayer le Toyota Safety Sense. Habituellement, nous avons différentes surfaces sur la piste pour manier les freins ABS, par exemple, et pour montrer aux adultes l’utilité des systèmes de sécurité présents dans les voitures, de conclure M. Bouchard. Les jeunes sont toujours encadrés et ce n’est pas du karting libre. Nous misons beaucoup sur la sécurité, en ayant beaucoup de plaisir au volant des karts. Pour cette raison, les gens reviennent année après année.»
Enfin, pour plus d’informations concernant l’atelier Kartstart, piloté par Russ Bond, il suffit de visiter le [<a title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information" href="http://kartstart.ca/fr/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">http://kartstart.ca/fr/</a>]. Il est également possible d’obtenir plus de renseignements, en contactant les responsables du programme au 514 298-6706.

Le programme Kartstart se paie une visite à Saint-Eustache 

Un peu de tout

Cela fait plus de 20 ans que le programme de gymnastique est offert à l’Académie Ste-Thérèse, mais pour la première fois, de jeunes athlètes qui fréquentent une autre école pourront aussi en profiter, permettant ainsi aux Rosemèrois, notamment, d’avoir accès à des cours de gymnastique sans avoir à trop s’éloigner de la maison puisque les installations se situent au Pavillon Rosemère de l’Académie Ste-Thérèse.
«Le volet récréatif que nous offrirons dorénavant, a expliqué Claude Pelletier, entraîneur en chef du club AST-Gym, est avant tout pour le plaisir, mais il représente aussi une ouverture vers un niveau plus élevé pour les jeunes qui souhaiteraient y accéder et s’entraîner plus d’une fois par semaine.» . 
Il faut savoir que dès l’âge de 18 mois, dans le cadre des cours parent-enfant, il est possible de s’initier à la gymnastique. «Le parent accompagne alors l’enfant à travers des circuits de développement moteur spécifiques aux enfants de cet âge-là» , dit Claude Pelletier à ce sujet, précisant toutefois que quel que soit le groupe d’âge du jeune, l’objectif demeure le même, soit de le faire bouger.
«L’éducation et la culture de faire du sport, enseignée à un jeune âge, augmente les chances que ça se poursuive par la suite.» 
<h3>Entraîneurs de qualité</h3>
Outre Claude Pelletier, un entraîneur aguerri qui a notamment mené aux Jeux olympiques de 2000 et de 2004 trois jeunes filles qu’il entraînait alors qu’il était à Montréal, une douzaine d’entraîneurs l’épaulent au club AST-Gym. Celles-ci possèdent toutes les qualités nécessaires pour faire progresser les jeunes qui leur sont confiés, et ce, autant dans le gymnase que dans leur vie personnelle.
«Nous sommes fiers de la qualité de nos entraîneurs! Un bon entraîneur est une personne qui prend soin de nos enfants et qui leur transmet de bonnes valeurs. Je dis toujours que si la seule chose que nous leur avons apprise est la gymnastique, nous avons manqué notre coup! La gymnastique est un prétexte pour tout le reste.» 
<h3>Portes ouvertes</h3>
Grâce au soutien financier de l’Académie Ste-Thérèse et de parents bénévoles, les installations offertes au Pavillon Rosemère par l’AST-Gym sont modernes, diversifiées et contribuent largement aux succès remportés par les athlètes qui y ont suivi leur formation.
Le club peut d’ailleurs se targuer de compter dans ses rangs des championnes à chacun des niveaux de compétition, soit régional, provincial et même national. Gabrielle Deslauriers, 14 ans, fait partie de celles qui se démarquent sur la scène nationale, elle qui a décroché une 3e place lors des plus récents championnats canadiens juniors.
Il sera possible pour les parents qui songent à inscrire leurs enfants à des cours de gymnastique de visiter les installations du AST-Gym, et même de les essayer, à l’occasion de la journée «portes ouvertes» qui aura lieu le samedi 26 août, entre 10 h et 14 h.
«Un enfant qui aura fait de la gymnastique dans sa vie aura plus de facilité à pratiquer d’autres sports, car il aura appris à connaître son corps. Nos élèves acquièrent chez nous une éthique de travail qui les suivra toute leur vie. Nous les voyons se développer sous nos yeux et sommes conscients du rôle que nous jouons auprès d’eux» , a conclu Claude Pelletier.
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