Située sur le boulevard de la Grande-Allée, cette entreprise réalise actuellement un projet de commercialisation dans le Nord-est des États-Unis, grâce à la confection de ses vêtements de sport pour femmes.
Les exportations et les importations représentent 60 % du PIB du Canada. Selon la députée Linda Lapointe: «En tant que nation commerçante, nous devons ajouter non seulement à notre liste de clients, mais aussi à la liste de nos vendeurs innovateurs, travailleurs, entrepreneurs et ambitieux.»
La stratégie de diversification commerciale du Canada vise à créer de nouvelles possibilités pour les entreprises canadiennes de prendre de l’expansion sur les marchés du monde entier, de faire croître notre économie et de créer de bons emplois bien rémunérés dans la classe moyenne.
«L’ouverture de nouveaux marchés pour les entreprises canadiennes est essentielle au renforcement de la classe moyenne et à la croissance de notre économie,  que ce soit dans Rivière-des-Mille-Îles et partout au pays. C’est exactement ce que font des accords commerciaux comme l’Accord États-Unis-Mexique-Canada», a indiqué la députée Lapointe.
Elle renchérit ainsi: «Lorsque nous avons formé le gouvernement, nous savions que pour faire croître la classe moyenne et trouver de nouvelles possibilités pour les entreprises et les entrepreneurs, nous devions penser au-delà de nos frontières. L’AEUMC et la diversification du commerce profiteront aux entreprises, aux travailleurs et à leurs familles, ici même, dans la circonscription.»

Ces mesures favorisent notamment un meilleur soutien aux petites et moyennes entreprises (PME), la croissance économique et la création de nouveaux emplois bien rémunérés, tout en assurant la compétitivité des entreprises.
«À la suite de la réforme fiscale américaine, notre gouvernement prend les mesures appropriées pour renforcer la compétitivité du Canada envers les États-Unis en facilitant la croissance des entreprises. Ces mesures vont en plus aider les innovateurs à se développer ainsi que favoriser le commerce au Canada. Notre gouvernement réduit la réglementation et la bureaucratie pour encore améliorer la collaboration avec les entreprises et favoriser leur compétitivité», souligne M. Ayoub.
«Le gouvernement du Canada est en train de bâtir une économie qui fonctionne pour tout le monde. Dans une telle économie, les avantages obtenus sont répartis entre un nombre croissant de personnes. Les Canadiens peuvent décrocher des emplois de qualité et les entreprises canadiennes investissent en toute confiance. Ces nouvelles mesures permettent de renforcer et de faire croître la classe moyenne», ajoute Mme Lapointe.
Familles de classe moyenne
Les deux députés sont ravis de l’impact positif des mesures annoncées, autant à l’échelle nationale que pour les familles de la classe moyenne des Basses-Laurentides qui travaillent fort.
«Nos politiques, nos décisions et nos actions font que les familles d’ici ont plus d’argent à leur disposition. Nos mesures permettent également aux petites et moyennes entreprises de notre région de demeurer concurrentielles et de récolter les bénéfices de leurs efforts qui profitent dans l’économie de la région», précisent les deux députés fédéraux.

Accueil favorable de l’Énoncé économique du ministre des Finances

Dans le domaine immobilier depuis presque 25 ans, Sylvain Dumoulin, propriétaire de Century 21 Réalité, à Saint-Eustache, respire la sérénité. Pas étonnant, car celui-ci, qui se définit comme un éternel positif, a comme surnom «la vie est belle» , puisque ces quelques mots, il les dit souvent, très souvent même.
«Je vois toujours du positif dans tout. S’il y a des difficultés, il y a toujours de belles solutions pour les solutionner. Moi, je ne baisse jamais les bras. Le soir, quand je me couche, je suis toujours satisfait de ma journée» , raconte le courtier immobilier agréé né à Saint-Joseph-du-Lac, en 1965.
<h3>Un parcours menant à l’immobilier</h3>
Son père, Claude Dumoulin, est alors pomiculteur, mais a décidé en 1979, de vendre son verger et de se porter acquéreur d’un dépanneur rue Saint-Marc, non loin de la rue Saint-Laurent, à Saint-Eustache, appelée L’épicerie du coin. La famille y déménage et Sylvain Dumoulin, alors âgé de 14 ans, travaille à temps plein au dépanneur du paternel.
Deux ou trois ans plus tard, et les années qui suivront, Sylvain Dumoulin, un touche-à-tout toujours curieux, se déniche différents boulots, notamment en rénovation et dans l’aménagement paysager, jusqu’à ce qu’il décide de suivre les traces de son père qui, en 1984, a vendu son dépanneur, pour devenir courtier immobilier. Nous sommes en 1994 et Sylvain Dumoulin retourne donc sur les bancs d’école pour suivre une formation pour devenir, lui aussi, courtier immobilier.
Un an plus tard, il achète Immeubles Réalité, puis vend, en 2000, son entreprise à Century 21. Il occupe un poste de directeur au sein de cette même compagnie jusqu’en 2010, année où il rachète l’entreprise connue maintenant sous le nom de Century 21 Réalité.
De 1995 à 2012, l’entreprise logera à quatre adresses différentes, toujours sur la rue Saint-Laurent. Il passe ainsi du 97 au 135, puis du 115 au 118, et, en 2012, inaugure un nouvel édifice à bureaux et à commerces construit au coût de 2 M$, situé cette fois au 112, rue Saint-Laurent, à l’intersection du boulevard Goyer.
<h3>Une famille élargie</h3>
Aujourd’hui, Sylvain Dumoulin est à la tête d’une entreprise qui s’est bâti une excellente et enviable réputation. Elle compte une vingtaine d’employés, dont plusieurs sont à son emploi en moyenne depuis plus de 20 ans. «C’est devenu une véritable famille pour moi» , de dire ce père de deux enfants, Mathew, 12 ans, et Darianne, 14 ans, dont il prend bien soin avec sa conjointe.
Sa famille, c’est aussi un peu la Fondation Émile-Z.-Laviolette qu’il soutient depuis neuf ans, avec la tenue d’un tournoi de golf qui a permis, à ce jour, d’amasser 120 000 $, dont plus de 20 000 $ au mois de septembre dernier. «La cause de la Fondation, qui est d’aider les enfants de familles à faible revenu pour qu’ils mangent convenablement afin de mieux réussir à l’école me tient vraiment à cœur» , d’expliquer l’homme d’affaires qui est déjà à voir à l’organisation de la 10e édition de ce fameux tournoi de golf.
Surtout, pour Sylvain Dumoulin, ce travail n’en est finalement pas un à ses yeux. «J’ai toujours aimé ce que je faisais. Moi, je prends mon client par la main et je ne la lâche que quand il a les clés de sa nouvelle maison. Je crois que c’est un des plus beaux métiers et quand on fait ce que l’on aime, avec amour, c’est toujours plus facile. Je ne me vois surtout pas arrêter» , de conclure le courtier pour qui, oui, la vie est vraiment belle.

Le courtier pour qui «»la vie est belle

Une entreprise de Boisbriand bénéficie de l’Accord États-Unis-Mexique-Canada