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Réunis à Terrebonne, le mardi 17 avril dernier, les membres de la Coalition, qui rassemble sept chambres de commerce et d’industrie, notamment celles de la MRC de Deux-Montagnes (CCI2M), de Mirabel (CCIM), du Saint-Jérôme métropolitain (CCISJM) et Thérèse-De Blainville (CCITB), estiment qu’il importe que le message des gens d’affaires de la couronne nord, comme celui de la population, soit entendu le 23 avril prochain lors de ce fameux Forum qui se déroulera à Laval.
«L’attente pour des investissements majeurs a assez duré. Les conséquences économiques, mais également sociales et environnementales de la congestion sur l’axe nord-sud entre Saint-Jérôme et Laval touchent un million de personnes et 38 000 entreprises sur tout le territoire. Il devient pressant de mettre en oeuvre des solutions concrètes qui faciliteront les déplacements dans la région, dont la croissance démographique est en pleine expansion depuis de nombreuses années», ont fait savoir les dirigeants et représentants de ces différentes chambres de commerce.
<h3>Des retards qui augmenteront</h3>
Ce message a été lancé au moment même où une étude de la firme de génie-conseil WSP révèle que les retards ont augmenté de 49 % de 2014 à 2017 et augmenteront de 28 % de 2017 à 2021 sur l’autoroute 13. Ces augmentations valent aussi pour l’autoroute 15 (+ 58 % de 2014 à 2017 et + 45 % de 2017 à 2021), tout comme sur l’autoroute 19 et la route 335 (+ 32 % de 2017 à 2017 et + 48 % de 2017 à 2021).
La même étude précise, par ailleurs, que de 2017 à 2021 le temps perdu augmentera considérablement en période hors pointe (+146 %) et que le temps perdu en général doublera de 2014 à 2021, car la congestion sera de plus en plus étendue et débordera hors des heures de pointe.
Précisons que l’étude en question a été effectuée sur un ensemble de 32 corridors routiers répartis sur l’île de Laval et sur la partie nord de la couronne de Montréal, pour un total de 170 km.
<h3>Déroulement du Forum</h3>
Quant au Forum proprement dit, il se déroulera toute la journée du lundi 23 avril au Château Royal, à Laval. En matinée, il y aura des présentations d’études et de sondages, ainsi qu’une conférence du docteur François Reeves sur les impacts de la congestion routière sur la santé publique.
Le menu de l’après-midi prévoit la présentation des solutions proposées, le dévoilement d’une déclaration consensuelle des 19 villes et municipalités de Laval et des Basses-Laurentides qui participeront à ce Forum et, pour terminer la journée, une allocution attendue du ministre des Transports, de la Mobilité durable et de l’Électrification des transports, André Fortin.

Chacune des neuf expertes de Femmessor-Laurentides, provenant de milieux diversifiés, offre pas moins de 18 heures de son temps pour supporter et conseiller gratuitement les femmes d’affaires de la région.
Le groupe d’expertes des Laurentides est actuellement unique au sein de l’organisation Femmessor au Québec, mais, on s’en doute bien, le principe est appelé à être «exporté» à l’ensemble de la province.
<h3>Financement et accompagnement</h3>
Il est utile de préciser que Femmessor est la seule organisation offrant des services de financement et d’accompagnement uniquement aux femmes entrepreneures.
Pour profiter des services de Femmessor, on doit détenir un minimum de 25 % des parts dans l’entreprise et y jouer un rôle significatif sur le plan stratégique.
Femmessor finance des projets d’entreprise dirigés par les femmes. Que ce soit pour démarrer ou acquérir une entreprise, réaliser un projet de croissance ou prendre la relève d’une entreprise. Grâce aux fonds dont elle dispose, Femmessor est en mesure d’offrir aux dirigeantes d’entreprise du financement sous forme de prêts conventionnels (prêts de 20 000 $ et 50 000 $ pour démarrage d’entreprise, et prêts de 20 000 $ et 150 000 $ pour projet de croissance, d’acquisition ou de transfert à la relève) ou de capital-actions (investissement de 50 000 $ et 250 000 $ pour projet en croissance ou d’acquisition).
Femmessor compte sur une équipe de spécialistes en entrepreneuriat féminin dans les 17 régions du Québec et procède à l’analyse des projets d’affaires. Les décisions d’investissement sont prises par des comités régionaux composés de femmes entrepreneures qui connaissent les enjeux socioéconomiques propres à leur région.
Femmessor dispose d’un fonds d’investissement de 19 M$ pour l’ensemble du Québec.
<h3>Des ateliers</h3>
Par ailleurs, soulignons que la section laurentienne de Femmessor présente une série de huit ateliers gratuits (neuf à l’origine, mais le premier a été présenté le 3 avril dernier) avec les expertes.
Le nombre de participantes est limité à 12 par atelier, tenu sur la rue de l’Avenir, à Mirabel, et on peut réserver sa place (jusqu’à trois jours avant la tenue de l’atelier) ou obtenir plus d’information au 1 844 523-7767, poste 231, ou par courriel au <a title="Écrire à j.brouard@femmessorqc.com" href="mailto:j.brouard@femmessorqc.com">j.brouard@femmessorqc.com</a>.
Le prochain atelier a lieu le jeudi 3 mai (de 8 h 30 à 11 h 30), et porte sur la négociation au féminin.
Il est possible d’en connaître davantage sur l’organisme au [<a title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information" href="http://femmessor.com" target="_blank" rel="noopener">http://femmessor.com</a>]
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Femmessor-Laurentides présente son comité d’expertes 

Plusieurs dizaines de personnes s’étaient déplacées pour cette deuxième activité présentée en deux semaines. Rappelons que la première se déroulait dans le cadre de la Journée internationale des femmes, en compagnie de la femme d’affaires, Danièle Henkel.
Le 15 mars, les convives étaient invités à une intervention s’échelonnant sur plus d’une heure, portant sur les bienfaits du rire au bureau, en compagnie d’employés et de collègues.
Une partie de la conférence prenait forme d’un cours 101 d’humour, offert par un expert en la matière, ayant participé à un bon nombre de galas Juste pour rire, et ce, sans compter ses quelques «one man show» et ses apparitions sur les planches, à la grandeur de la Belle Province.
<h3>Un matin pour apprendre et pour rire</h3>
En effet, le rire est plus important qu’on peut le penser dans un milieu de travail. Il influe sur beaucoup de facteurs que ce soit le stress, la productivité, la créativité, la solidarité, pour ne nommer que ceux-ci.
«Le rire aide à briser des barrières, les gens qui s’en servent deviennent plus créatifs. C’est prouvé que ça influe sur la productivité des employés en général et que ça développe un milieu de travail plus sain. Ça permet d’être plus heureux au travail, réduisant le stress et l’anxiété, ça augmente le bien-être. Le rire crée des souvenirs mémorables et des liens. C’est de ces moments qu’on se souvient et ça aide à maintenir un historique et une solidarité dans l’organisation» , mentionne Sylvain Larocque, ajoutant quelques blagues au passage, inspirée de plusieurs de ses collègues et de légendes, tel Yvon Deschamps.
Il donnait des exemples et divisait les «jokes» à faire en catégories. L’une d’elle est l’autodérision. Disons-le, M. Larocque est expert en cette matière. Il l’a dit lui-même, tout en poursuivant sur son apparence physique.
<h3>Prochaine rencontre</h3>
Soulignons que le prochain rendez-vous matinal de l’AGAB aura lieu au Club de golf Le Fontainebleau, le 12 avril, dès 7 h. Cette fois, les membres auront l’opportunité de discuter avec le conférencier Percy Grégoire, lors d’une allocution intitulé «Transformez une situation de conflit avec un client en véritable occasion d’affaires» . Pour plus de renseignements concernant l’association et ses activités prochaines, il suffit de visiter le [<a title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information" href="https://agab.qc.ca/" target="_blank" rel="noopener">https://agab.qc.ca/</a>].
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Mobilité et transport collectif: les chambres de commerce réclament des solutions concrètes

Des retards qui augmenteront

Déroulement du Forum