Ces documents de synthèse visent à permettre à la population d’avoir, en un coup d’oeil, un portrait de la situation socio-économique régionale au sortir de la pandémie.



La première fiche porte sur la situation des entreprises, la deuxième sur la situation du marché du travail et la troisième donne une idée du dynamisme territorial de la région.



« Ces fiches permettent de mieux comprendre comment l’économie de la région a pu récupérer du choc provoqué par la pandémie de COVID-19 dans les Laurentides » explique, dans un communiqué de presse, Robert Laplante, directeur général de l’IRÉC.



« Chacun de ces trois jeux de fiches présente les données sur des indicateurs socio-économiques clés tels que les investissements dans le secteur manufacturier, l’emploi par secteur d’activité, le ratio d’ouvertures et de fermeture des entreprises, l’évolution du taux d’activité depuis janvier 2020, le nombre d’emplois, le taux de chômage régional, l’indice de remplacement de la main-d’oeuvre, l’indice de développement économique ainsi que l’indice de vitalité économique », de poursuivre M. Laplante.



Réalisées pour le compte de la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) et du Centre de formation économique du Fond de solidarité de la FTQ, ces fiches avaient pour but de nourrir la réflexion des militantes et militants de la FTQ réunis à l&#8217;occasion d&#8217;une rencontre nationale portant sur le développement socio-économique local et régional en mai dernier. Un jeu de trois fiches a été produit pour chacune des régions du Québec.



Fondé en 1999, l’Institut de recherche en économie contemporaine (IRÉC) est un organisme scientifique indépendant voué à l’enrichissement du débat public par la production de recherches rigoureuses et par la conduite d’activités d’animation et de formation favorisant le développement des compétences dans le domaine économique.



L’IRÉC s’intéresse à l’ensemble de l’économie et mène des travaux destinés à contribuer à la construction du bien commun. Ses approches visent à renouveler le modèle québécois par la promotion d’alternatives crédibles. Les enjeux de la transition écologique de l’économie retiennent tout particulièrement son attention.



Pour prendre connaissances des fiches produites par l&#8217;IRÉC, y compris celles pour la région des Laurentides, <a href="https://observatoire-retraite.s3.ca-central-1.amazonaws.com/site/photos/FICHES-FTQ-2022-VFF-corrigee.pdf">cliquez ICI</a>.

Avant cette création, le parcours était nommé Le Marais. « On voulait aménager quelque chose d’inédit et de moderne. Chaque année, on souhaite repousser les limites pour que les visiteurs vivent des expérimentations qui vont au-delà des attractions », explique Nadine St-Amant, présidente du Super Aqua Club lors de l’inauguration à Pointe-Calumet.



Caractéristiques



L’expérience se passe dans un tube. Le tunnel immersif est d’une longueur d’environ 75 pieds. Les visiteurs mettront une trentaine de secondes pour le traverser. Dans celui-ci, on retrouve des jeux de lumière DEL, des projections laser qui composent des animations 3D, des chutes d’eau, de la musique et des sons sous la thématique de la jungle. La programmation est de cinq minutes. L’expérience est donc différente à chaque parcours.



« Nous avons eu l’idée en octobre avec un prototype de Vortex International. En février, on a signé l’entente et en avril, c’était la première pelletée de terre. Il y a eu beaucoup de coordination avec les ingénieurs pour les trames sonores et les jeux de lumière », mentionne la présidente.



« C’était très vite comme processus,&nbsp;renchérit le représentant de Vortex International. Habituellement, c’est beaucoup plus long que ça, mais on voulait que ce soit prêt pour cet été. »



Technologie



En 2020, le parc a été le premier au Québec à utiliser Connect&amp;GO pour les bracelets intelligents RFID (technologie de radio-identification). Ceux-ci permettent aux vacanciers d&#8217;entrer sur le site sans contact, de payer et de prendre des photos. Cette année, les gens peuvent maintenant aussi ouvrir leur casier en utilisant leur bracelet et partager l’accès avec les membres de la famille. « On prône la technologie. On veut être différent et évolutif », poursuit Mme St-Amant.



Au courant de l’été, un nouveau service verra le jour pour la restauration. Les visiteurs pourront commander en utilisant leur téléphone et venir chercher leur nourriture à l’heure indiquée et ainsi éviter les files d’attente.



« C’est dans ma circonscription que ça se passe. C’est donc les gens d’ici qui vont pouvoir en profiter. C’est un immense plaisir de pouvoir rayonner mondialement », conclut Sylvie d’Amours, députée de Mirabel, présente lors de l’inauguration.

Une première au monde : Inauguration de la Rivière Zéphyr à Pointe-Calumet

Le coup d’envoi des travaux, un projet privé de l’ordre de 20 M$ une fois qu’il sera terminé, a été donné le lundi 6 juin dernier en présence de nombreux partenaires et invités, mais surtout de trois des quatre nouvelles actionnaires et propriétaires de la Polyclinique Saint-Eustache, à savoir Émilie Thibodeau, Tania Nadeau et Geneviève Caza. Leur collègue Geneviève Lafortune ne pouvait être présente ayant donné naissance, les jours précédents, à un enfant.



<h2>Agrandir et innover</h2>



Dès qu’elles ont pris les rênes la Polyclinique Saint-Eustache, le 1er&nbsp;mai 2021, les quatre partenaires disent avoir eu le goût «&nbsp;d’agrandir et d’innover&nbsp;», d’où ce projet de construction du Complexe médical Saint-Eustache qui sera notamment mené en collaboration avec HUOTCO Immobilier, une entreprise familiale se spécialisant dans la promotion et le développement de complexes médicaux, d’immeubles commerciaux et de centres de santé.



Le nouveau bâtiment qui verra le jour sera doté de locaux modernes et spacieux, mieux insonorisés et, depuis la pandémie de la COVID-19 qui a mis en lumière cette nouvelle réalité, mieux climatisés afin « de protéger le personnel et se protéger ».



Le bâtiment aura une superficie deux fois plus grande que celle dont dispose actuellement l’ensemble des occupants de la Polyclinique Saint-Eustache qui se situe à 38&nbsp;000&nbsp;pieds carrés. Le volet médecine familiale passera, pour un, de 14&nbsp;000&nbsp;pi2 à 18&nbsp;000 pi2.



<h2>Des «&nbsp;sans rendez-vous&nbsp;» 365 jours par année</h2>



En plus de l’ensemble des locataires actuels de la Polyclinique Saint-Eustache (physiothérapie, optométrie, audiologie, pharmacie et autres), qui ont tous choisi d’y aménager, le nouveau Complexe médical Saint-Eustache compte offrir, grâce à sa trentaine de médecins de famille et ses cinq médecins spécialistes, des «&nbsp;sans rendez-vous&nbsp;» 365 jours par année. &nbsp;«&nbsp;La seule chose que je ne peux pas promettre, c’est un médecin de famille pour tous&nbsp;», a lancé Émilie Thibodeau.



«&nbsp;Nous voulions rester dans le même pôle, à Saint-Eustache. Ici, nous sommes près des principaux axes routiers, donc plus facile d’accès, et nous aurons, tout comme nos partenaires, une meilleure visibilité que dans un quartier résidentiel. En ce qui a trait au stationnement, nous bénéficierons de plus de places car nous pourrons utiliser celles de la salle de spectacle Le Zénith et du Cinéma St-Eustache qui ne le sont pas le jour&nbsp;», d’ajouter Mme Thibodeau qui, comme ses trois collègues actionnaires, est elle-même médecin de famille.



Notons, enfin, que ce projet de construction sera réalisé par HUOTCO Immobilier en collaboration avec la firme d’architecture Provencher Roy, les Constructions Hub, les Immeubles S.M. et la Polyclinique Saint-Eustache.«&nbsp; La complémentarité des services [qui seront offerts] est au cœur de notre offre », de préciser Mathieu Huot, directeur du développement d’HUOTCO Immobilier.

L’IRÉC présente un portrait de la région des Laurentides