«HGrégoire présente les choses différemment, explique Pierre Charron, maire de Saint-Eustache. Je pense que c’est bon pour le consommateur et que ça rend service aux Eustachois et aux gens de la région. »
Afin de célébrer le lancement de la campagne, HGrégoire a annoncé qu’un concours sera organisé.  En effet, une paire de billets par semaine sera tirée parmi les clients de l&#8217;année en cours pour le spectacle de Jérémy Demay, et ce, jusqu’à la fin de l’année 2018.
«La réaction a été très positive auprès de nos clients, et nous souhaitions les remercier de leur appui avec cet événement et ce concours, et ainsi leur démontrer, une fois de plus, à quel point il est intelligent de faire l’achat d’un véhicule chez HGrégoire», indique Harry Kasparian, vice-président aux communications et marketing.
La campagne de Occasion intelligente a débuté avec le lancement de trois publicités à l’automne, qui mettent l’accent sur les économies, la grande sélection et la qualité des véhicules d’occasion qui ont mené au succès de HGrégoire.
«C’est cool de pouvoir arriver et dire…dans la publicité, il va y avoir, un poney, un trampoline, des épines d’acuponctures et ils ont accepté. J’aime ça faire des projets où on accepte ma folie et ça c’est ce que j’adore de HGrégoire», de dire l&#8217;humoriste français.
La soirée de lancement fut un véritable succès auprès des clients présents, qui ont pu rencontrer Jérémy Demay par la suite et échanger avec lui.

Longs chacun de 40 pieds (12,2 mètres) et pouvant accueillir au total 75 passagers (jusqu’à 41 assis et jusqu’à 34 debout), les deux autobus électriques seront livrés durant le premier trimestre de l’année 2019.
L’entreprise a également confirmé que ces autobus, tout comme ceux commandés par la STM, seront fabriqués au Québec, dans les usines de Saint-François-du-Lac et, bien sûr, de Saint-Eustache.
<h3>Intégrer des autobus électriques</h3>
L’attribution de ce contrat fait suite à la mise en place, au printemps dernier, par la TransLink, d’un projet spécial soutenu par le Consortium de recherche et d’innovation en transport urbain au Canada (CRITUC). Ce projet a pour but d’intégrer au réseau de transport collectif de plusieurs villes canadiennes des véhicules électriques et leur infrastructure de recharge provenant de différents fabricants.
Ainsi, selon les informations communiquées par l’entreprise de Saint-Eustache, cette nouvelle entente s’inscrit dans la première phase du projet pancanadien de démonstration et d’intégration d’autobus électriques, un projet ambitieux, explique-t-on, qui rassemble fabricants, sociétés de transport, équipes de recherche, partenaires financiers, outils technologiques et acteurs du secteur manufacturier.
«TransLink et Nova Bus sont déjà partenaires d’affaires et nous sommes heureux de conclure cette nouvelle entente qui reflète l’engagement de Vancouver et d’autres municipalités canadiennes envers la mobilité durable par l’utilisation d’autobus électriques» , a affirmé, par voie de communiqué de presse, Martin Larose, vice-président et directeur général de Nova Bus.
«La technologie avancée d’autobus électrique de Nova Bus est un succès sur le plan de l’emploi au Canada. Elle démontre au monde entier que le Canada peut être un leader dans le domaine de la technologie des véhicules électriques et elle attire le regard du monde entier sur les compétences de pointe que propose le secteur manufacturier canadien» , d’ajouter, de son côté, Josipa G. Petrunic, directrice exécutive et présidente-directrice générale du CRITUC.
<h3>Expérience concluante à Montréal</h3>
Comme mentionné, ce contrat avec la TransLink s’ajoute aux efforts de Nova Bus de commercialiser ses autobus électriques LFSe dans plusieurs villes canadiennes. Elle a ainsi réussi à intéresser dans un premier temps la STM qui, depuis 18 mois, exploite de tels autobus à Montréal, une première en Amérique du Nord. Le tout s’inscrivait dans le cadre du projet Cité Mobilité Montréal initié au cours de la dernière année par la STM et le gouvernement du Québec.
Mis en service à Montréal en mai 2017, les trois autobus LFSe ont parcouru à ce jour plus de 100 000 km et plus de 11 000 recharges rapides ont été réalisées. Les quatre autobus commandés en septembre dernier viendront donc augmenter la flotte de véhicules électrique de la STM.
<h3>D’autres commandes aux États-Unis</h3>
Par ailleurs, Nova Bus, a annoncé ces derniers jours avoir conclu un contrat avec la Maryland Transit Administration, du Département de transport du Maryland (MDOT MTA), pour l’approvisionnement d’autobus urbains pour le réseau de transport collectif de la région de Baltimore.
D’une durée de cinq ans, le contrat en question prévoit la livraison de 70 véhicules par année pour un total de 350 autobus au diesel propre. Du nombre, on compte 310 Nova LFS de 40 pieds et 40 Nova LFS Artic articulés de 60 pieds. Ces nouveaux véhicules seront assemblés à l’usine Nova Bus de Plattsburgh, dans l’État de New York. Les livraisons débuteront à l’automne 2019, pour se terminer à la fin de l’année 2024.
Aussi, fin septembre, le fabricant faisant partie du groupe Volvo avait décroché un autre contrat aux États-Unis, cette fois de la société de transport Capital Area Transit Authority (CATA) à Lansing, dans l’État du Michigan. L’entente prévoit une commande de base de 23 autobus diesel, incluant 19 Nova Bus LFS de 40 pieds et 4 LFS Artic de 60 pieds. Elle comprend également 60 options sur une période de cinq ans, pour un montant total maximum de 41,2 M$.

Nova Bus introduit de premiers autobus électriques à Vancouver

«J’étais devenue un peu blasée de travailler en restauration. Je n’avais plus cette passion que j’avais toujours eue. Comme mon conjoint François Racette est entrepreneur en plomberie, j’avais déjà le projet de monter une salle de montre, comme le réclamaient plusieurs de ses clients. Mon côté entrepreneurial a pris les devants, et avec une collègue de travail, à qui j’en avais parlé, nous avons ouvert la boutique. Un an plus tard, d’un commun accord, j’ai racheté ses parts» , raconte cette femme d’affaires âgée de 40 ans, et mère de deux garçons, Matys, 15 ans, et Tristan, 12 ans.
<h3>De nouveaux locaux</h3>
Aujourd’hui, la boutique Espace Plomberie Duo propose un éventail de produits tendance et de conseils, que ce soit au niveau de la robinetterie, des éviers de cuisine ou des douches, bains et toilettes. Des accessoires de décoration pour la cuisine et la salle de bain sont également offerts sur place, certains confectionnés par des artisans locaux qu’Isabelle Levac souhaite encourager le plus qu’elle le peut.
Depuis quelques semaines à peine, Espace Plomberie Duo loge dans de nouveaux locaux situés rue du Parc, à Saint-Eustache, dans un condo commercial que l’entreprise a acheté. Elle occupe dorénavant une superficie de plancher de 7 200 pieds carrés, comparativement aux 3 000 pieds carrés d’avant. À l’ouverture de la boutique, en 2012, c’était deux fois moins, soit 1 500 pieds carrés.
<h3>Éducation physique, restauration et&#8230; plomberie</h3>
Avant d’en arriver là où elle est rendue aujourd’hui, Isabelle Levac a cependant vu son parcours changer de route à quelques reprises. Jeune, cette native de Saint-Eustache, qui était reconnue pour son implication à l’école et pour aimer beaucoup les sports, avait pour projet de devenir enseignante en éducation physique.
Mais, lorsqu’elle est à compléter ses études et effectue ses stages et ses premiers remplacements, en 1999, le bassin d’enseignants en éducation physique est plutôt restreint, et ce sont plutôt d’autres matières, comme le français et les mathématiques, qu’on lui propose comme premiers contrats d’enseignement.
«Ce n’était pas vraiment mon créneau. Ce n’était pas vraiment ce qui m’intéressait, moi c’est le sport que je voulais enseigner d’abord et avant tout. Alors, j’ai décidé de quitter, de me retirer avant de me retrouver sur le marché du travail» , se rappelle Isabelle Levac.
Pendant ses études, elle travaille au restaurant McDonald’s. Elle y demeure un certain temps, puis est nommée directrice générale du restaurant La Cage aux sports, à Saint-Eustache. Ensuite, c’est le saut chez Giorgio (devenu Mangiamo).
Les propriétaires de l’époque lui confient à ce moment le mandat, avec une collègue de travail, de lancer les restaurants Divolio et les deux femmes procèdent même à l’ouverture d’une succursale à Sainte-Marthe-sur-le-Lac.
C’est là qu’elle fera connaissance avec sa future associée, et que l’aventure d’Espace Plomberie Duo prendra véritablement forme.
<h3>Un avenir prometteur</h3>
Six ans plus tard, l’avenir s’annonce prometteur pour Isabelle Levac, qui planche actuellement sur l’ouverture d’une première succursale d’ici deux ans. Elle est aussi à travailler sur l’organisation d’un marché de Noël avec des artisans locaux, au mois de novembre prochain.
On peut également la voir ces temps-ci participer à l’émission de Chantal Lacroix, On efface et on recommence, diffusée sur Canal Vie, le lundi, à 20 h. Un premier épisode a été diffusé le 15 octobre dernier (en rediffusion les 20 et 21 octobre) et trois autres suivront. Il s’agit de projets de rénovation menés à Saint-Eustache et Sainte-Marthe-sur-le-Lac.
Six ans ont donc passé depuis que la boutique Espace Plomberie Duo a ouvert ses portes et Isabelle Levac se réjouit du chemin parcouru, et surtout, de sa décision de se lancer en affaires.
«Avec mon conjoint, on se complète très bien. Nous sommes deux passionnés qui ne comptons pas beaucoup nos heures. Surtout, ce que j’aime, c’est d’être proche avec les clients. Même si nous avons deux employées à temps plein, j’aime être sur le plancher, conseiller les clients, suivre leurs projets. Je me gâte à ce moment-là» , de conclure avec le sourire Isabelle Levac.

HGrégoire: Un lancement tout en humour de la campagne Occasion intelligente