« Les écoles de danse ont beaucoup souffert de la pandémie et plusieurs danseurs ont mis leur pratique de côté. Avec Viens danser, nous voulons raviver l’intérêt des gens pour cette activité et les inciter à s’inscrire. Il y a des cours de danse pour tous les goûts et grâce à ce répertoire, c’est très facile de trouver une école de danse qui répond à nos critères et dans notre région », affirme Véronique Clément, directrice générale du RED.



Avec ce nouveau portail, le Réseau d’enseignement de la danse entend faire rayonner l’ensemble des écoles de danse, qu’elles soient récréatives, compétitives ou professionnelles.  On y découvrira par ailleurs l’éventail des organismes liés à la danse.



Grâce à une aide financière du gouvernement du Québec, le RED a pu développer ce nouveau portail, ainsi qu’une campagne promotionnelle pour faire rayonner l’ensemble des écoles de danse, qu’elles soient récréatives, compétitives ou professionnelles. Par cette initiative, le RED contribue au rayonnement de cette industrie culturelle et à la valorisation de cette discipline et ce, dans chacune des régions du Québec.



Le portail <a href="https://www.viensdanser.ca/fr/">viensdanser.ca (https://www.viensdanser.ca/fr/)</a> propose un répertoire des écoles de danse, mais aussi une panoplie d’informations et d’actualités, que l’on parle de nouveautés, de blogues, de vidéos, d’activités et d’événements à venir pour les danseurs amateurs, entre autres. On y découvre par ailleurs l’éventail des organismes liés à la danse et même les possibilités de faire carrière dans cette discipline.



<h2>Les enjeux de 2022</h2>



Pendant la pandémie, force est d’admettre que les écoles de danse ont souffert d’un manque flagrant d’aide financière, contrairement à d’autres secteurs d’activités. Ces écoles ont été les premières à devoir fermer leurs portes et les dernières à pouvoir les ouvrir de nouveau. En conséquence, leur clientèle a chuté drastiquement. Pour elles, les défis sont désormais nombreux pour relancer efficacement leurs activités.



« Sans ressources financières et humaines pour promouvoir leurs services et favoriser le retour de la clientèle dans leurs locaux, ces écoles peuvent désormais compter sur le portail créé par le RED pour faire rayonner leur offre de cours de danse et ce, dans toute sa diversité. Ramener le public à la danse est un enjeu important. Il en va de la pérennité de cette discipline au Québec! », de conclure le RED dans son communiqué de presse.

Une fois par mois, le mercredi soir, le duo Brick et Brack, bien connu des internautes, montera sur scène pour animer ces soirées. Les deux animateurs accueilleront alors plusieurs invités mystères de la relève ou bien établis sur la scène québécoise pour présenter des numéros des plus diversifiés.



Interprétés par François Ruel-Côté et Sébastien Tessier, tous deux poètes, comédiens, auteurs, humoristes et improvisateurs, Brick et Brack se font connaître grâce à un premier spectacle intitulé « La nuit de la poésie&nbsp;» qui a mérité le prix «&nbsp;Coup de cœur du public&nbsp;» lors du ZooFest 2019. Toujours au Zoofest, en juillet dernier, ils ont animé une des soirées de la série «&nbsp;Les étoiles montantes&nbsp;».



Bien reconnaissables avec leurs petites vestes «&nbsp;pas-de-manches&nbsp;», leurs chandails à cols roulés noirs et leurs moustaches, ces deux diplômés de l’École de théâtre du cégep de Saint-Hyacinthe se sont aussi fait remarquer lors de leur passage à l’émission «&nbsp;Le prochain Stand Up&nbsp;» présentée sur la chaîne de télévision Noovo et leurs nombreuses collaborations sur le Web. Le duo, reconnu pour être «&nbsp;à la fois explosif, voluptueux et rafraichissant comme une gorgée de Labatt Bleue un soir de Saint-Jean&nbsp;», a aussi sa page Facebook.



<h2>Une première soirée gratuite</h2>



Pour souligner en grand l’arrivée de ce nouveau concept de type « comédie club&nbsp;» à La petite église, l’ensemble des 174 billets pour assister au Sacré cabaret de l’humour du mercredi 21&nbsp;septembre seront offerts gratuitement. Les personnes intéressées à obtenir une paire de billets doivent appeler à la billetterie du Service des arts et de la culture de la Ville de Saint-Eustache au 450 974-2787, du lundi au jeudi, entre 8 h 30 et 16 h 30 ou le vendredi, entre 8 h et 12 h, dès le 11 août.



Pour les billets des soirées du 19 octobre, du 23 novembre et du 14 décembre, ils seront vendus au coût de 20&nbsp;$ chacun et peuvent être achetés en ligne dès maintenant sur le <a href="http://www.lapetiteeglise.com">www.lapetiteeglise.com</a>, où il est possible de consulter l’ensemble de la programmation de La petite église pour les mois à venir.



Enfin, pour plus d’informations, il suffit de communiquer avec la billetterie du Service des arts et de la culture au 450 974-2787 ou d’écriture à l’adresse courriel à <a href="mailto:billetterie@saint-eustache.ca">billetterie@saint-eustache.ca</a>.

Le duo Brick et Brack à la barre des soirées « Sacré cabaret de l’humour »

Mariée depuis plus de 50&nbsp;ans à André Bellemare, mère de trois filles et grand-mère de cinq petits-enfants, Mme Lamarre a découvert le plaisir de l’écriture il y a une quinzaine d’années en participant à un atelier littéraire offert par l’organisme Toulèsarts. L’atelier visait à guider les participants dans l’écriture de leur biographie.



« Comme je disposais de temps, puisque je vivais ma retraite depuis quelques années, j’ai décidé de plonger dans ce projet&nbsp;», se remémore l’auteure âgée aujourd’hui de 78&nbsp;ans.



<h2>Une auteure active</h2>



Bref, depuis la parution de son autobiographie, Hélène Lamarre est loin d’être restée inactive. Elle est aussi l’auteure de récits de voyage intitulés « Prépare ta valise », de deux contes, «&nbsp;Noël 25 décembre et «&nbsp;Un Noël à Saint-Eustache », d’un roman collectif et d’un recueil collectif de nouvelles ayant respectivement pour titres « Marée d’espoir » et «&nbsp;Le murmure des pages&nbsp;».



C’est aussi Mme Lamarre qui a eu l’idée qu’un parc de Deux-Montagnes porte le nom de Maud Haviernick, une Deux-Montagnaise alors âgée de 29&nbsp;ans qui, comme 13 autres femmes, a croulé sous les balles lors de la tuerie survenue à Polytechnique Montréal en décembre 1989.



Le parc Maud-Haviernick, situé à l’arrière de l’usine de filtration de la Ville de Deux-Montagnes, à la hauteur de la 26e Avenue, a été inauguré en décembre 2019, 30&nbsp;ans après ces tragiques évènements. Mme Lamarre était évidemment présente et a lu un poème qu’elle avait écrit pour l’occasion.



Elle a aussi collaboré tout récemment à une œuvre collective de poésie et de prose, pilotée par Ruth Benchétrit, et dont les neuf auteures sont issues majoritairement du café littéraire de l’organisme Toulèsarts dont fait toujours partie Mme Lamarre. L’ouvrage, qui a été lancé en juin dernier à la bibliothèque Guy-Bélisle, à Saint-Eustache, a pour titre « Neuf plumes au vent ».



<h2>Un nouveau livre pour se réaliser</h2>



Mais, plus tôt, au printemps dernier, Mme Lamarre était particulièrement fière de présenter ce nouvel ouvrage de réflexion qui se veut positif, «&nbsp;J&#8217;ouvre la porte de la vie&nbsp;». «&nbsp;Ce livre se divise en huit parties&nbsp;: la vie, ma vie, le corps humain, l’amour, la famille, la nature, l’écriture et la musique. Je termine par un hommage à ma mère Yvette Millette, une femme remarquable&nbsp;», souligne la septuagénaire.



Celle-ci ajoute avoir écrit ce livre pour se réaliser, pour « donner au suivant&nbsp;» ses valeurs, ses attentes de la vie, parfois splendide et parfois morose, pour donner de sa patience, de sa joie et de ses préoccupations.



Si vous souhaitez découvrir et vous procurer les différents ouvrages d’Hélène Lamarre, il suffit de la joindre par courriel, à l’adresse <a href="mailto:lamarre.helene@hotmail.com">lamarre.helene@hotmail.com</a>.

viensdanser.ca : un nouveau portail web dédié à la danse

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