La Corporation des fêtes de Saint-Eustache et la Ville de Saint-Eustache invitent les familles de Saint-Eustache à venir nombreux s’amuser chez O-Puces-Pocus le vendredi 6 mars, de 9 h à 17 h. Ce nouveau centre d’amusement situé au Marché aux Puces Saint-Eustache est destiné aux enfants de 0 à 12 ans. 
Cette journée d’accès gratuit s’inscrit dans la foulée des activités gratuites offertes par la municipalité dans le cadre de la Semaine de relâche qui battra son plein au début du mois de mars. Afin de profiter de ce privilège, le parent ou grands-parents accompagnant l’enfant(s) devra présenter leur carte citoyen valide ou une preuve de résidence (ex: permis de conduire). 
Les places sont limitées et seront octroyées sur la base du premier arrivé, premier servi. La présence des adultes est obligatoire en tout temps afin d’assurer la surveillance des enfants. De plus, la nourriture de l’extérieure n’est pas autorisée. 
Nous pouvons reconnaître Johanne Thivierge, France Labrecque, Kristine Mathers et Raymond Tessier, conseiller municipal.

Ça fait beaucoup de choses à assimiler, il importe tout d’abord de savoir que Tonique fait dans l’électro-pop et vient de produire un mini-album de quatre chansons, sous le tire Le poison de l’art, dont le premier extrait radiophonique, une chanson intitulée Anna (sur un texte d’Amélia Orsini), qui aborde la problématique de l’anorexie, a donné lieu au tournage d’un premier vidéoclip.
<h3>Mi-amer, mi-sucré</h3>
Issu du collège Lionel-Groulx, il y a de cela quatre ans, Tonique réunit une bande d’amis qui a remporté le concours Ma première Place des Arts, en 2018, tous adhérant à la proposition, à la vision musicale de son idéateur qui, auparavant, travaillait ses propres chansons en collectif (nous vous avons d’ailleurs parlé, à quelques reprises, d’un groupe d’adolescents appelé Disconnected Blind, lequel a fait la pluie et le beau temps jusqu’en Allemagne, en 2012, dans le cadre du concours Emergenza).
«Je cherchais un concept qui me représenterait davantage et l’idée de Tonique est apparue» , résume Kanuel Lauriault, pour qui le mot suggère avant tout une certaine effervescence. «J’aime beaucoup le gin-tonic, aussi, pour son côté à la fois amer et sucré. Ça va bien avec mes chansons. C’est joyeux, mais en même temps, il y a une certaine noirceur» , soumet le jeune homme.
On en fait d’ailleurs le constat en découvrant les quatre chansons de ce premier EP qui parlent du désir d’avancer, d’assumer ce que l’on est, ce qu’on ressent, de cette envie de briser le moule tout comme ses propres chaînes. De chasser ses démons. De s’affranchir, en fait. Des chansons qui parlent d’amour, également, cette chose étrange que l’auteur examine sous tous ses angles, les bons comme les mauvais.
Mais toujours avec le souci, dira-t-il, de transmettre ce plaisir qu’il a de faire de la musique. «J’aime la pop, dit-il. Je veux que les gens dansent et qu’ils aient du plaisir, quand ils me voient en spectacle. Que ça leur permette de se sortir des réalités plates de la vie. Qu’ils oublient leurs problèmes.» 
On vous l’a dit plus haut, dans une autre vie, Kanuel Lauriault se décrochait la nuque sur des rythmes punk, dans une langue, on le devine, autre que le français, avant d’amorcer ce franc virage, non seulement du point de vue musical, mais aussi sur le plan identitaire, pourrait-on dire, en se défaisant de cette habitude fort répandue, chez les jeunes artistes francophones du rock ou de la pop, de s’exprimer en anglais.
«J’ai grandi dans une famille où on n’entendait que de la musique anglophone. Depuis cinq ans, j’ai découvert les classiques de la musique québécoise et tout ce qu’il y a de récent» , explique le jeune homme en citant notamment les noms de Charlebois, Jean Leloup et même Boule Noire. Hubert Lenoir et Les Louanges font aussi partie de la liste des artistes qui lui prouvent qu’on peut faire carrière en français. Mais c’est au département de musique du collège Lionel-Groulx qu’il a vécu son épiphanie, en suivant un cours d’écriture avec Nelson Mainville. «Je trouvais tout à coup une certaine hypocrisie dans le fait d’écrire des chansons en anglais, quand tout le reste de ma vie se passait en français» , résume Kanuel.
<h3>Le souci de la performance</h3>
Le lien est alors facile à faire, et sans se présenter comme un chanteur engagé, il trouve tout à fait logique l’idée de s’associer avec la section Jean-Olivier-Chénier, de la SSJB, en vue de ce spectacle qu’il présentera le 15 mars, à La Petite église, dans une formule qu’il a pu expérimenter à quelques reprises. «C’est un spectacle qui fait bouger et danser» , exprime l’artiste qui voit la scène comme l’une des grandes forces du projet Tonique. Toujours, il cherche à perfectionner cet aspect des choses en s’assurant que, tant du point de vue musical que de la performance, on aura cultivé le même souci de qualité.
Ne vous reste qu’à vérifier par vous-même, mais auparavant, il est impératif de se procurer un billet, ce que vous pourrez faire en vous rendant au [<a title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information" href="http://www.lapetiteeglise.com" target="_blank" rel="noopener noreferrer">http://www.lapetiteeglise.com</a>]. Autour de Kanuel Lauriault, vous retrouverez Thomas Mongrain Bernardini (batterie), Ugo Hallé (synthétiseurs et voix), Antoine Perreault (guitare), Louis Boudrault (basse) et William Lussier (trompette).

Tonique: mettez vos plus beaux souliers de danse!

Tonique: Mettez vos plus beaux souliers de danse!

<h3>EXPOSITIONS ET CIRCUITS</h3>
En permanence, Maison de la culture et du patrimoine, Saint-Eustache: LA RÉBELLION DE 1837, DANS LE COMTÉ DES DEUX-MONTAGNES. Exposition permanente. Renseignements: 450 974-5170.
En permanence, Maison Chénier-Sauvé, Saint-Eustache: LIEU D&#8217;EXCEPTION, FAMILLES D&#8217;INFLUENCE: L&#8217;HISTOIRE DE LA MAISON CHÉNIER-SAUVÉ. Exposition permanente. Renseignements: 450 974-5170.
<h3>MUSIQUE</h3>
Le dimanche 23 février, de 14h à 16h, Café Mina, Saint-Eustache: DANIEL DOUCET. Ouvert à tous et entrée gratuite.
Le vendredi 28 février, 20h30, Billard Le Patriote, Saint-Eustache: LES ANNÉES CAT STEVENS. Renseignements: [www.billardlepatriote.com].
<h3>CENTRE D&#8217;ART LA PETITE ÉGLISE</h3>
Spectacles à venir au Centre d&#8217;art La petite église, 271, rue Saint-Eustache, à Saint-Eustache: KAÏN (le 20 février), BLEU JEANS BLEU (le 22 février), LES TROIS PETITS VIEUX QUI NE VOULAIENT PAS MOURIR (le 26 février), JEAN-CLAUDE GÉLINAS (le 28 février). Renseignements: 450 974-ARTS (2787) ou [www.lapetiteeglise.com].
<h3>LE ZÉNITH PROMUTUEL ASSURANCE</h3>
Spectacles à venir à la salle Le Zénith Promutuel Assurance, 305, avenue Mathers, Saint-Eustache: MATTHIEU PEPPER (le 19 février) et MARJO ET FRANCE D&#8217;AMOUR (le 20 février), RÉAL BÉLAND (le 21 février), LA CHICANE (le 22 février), MIKE WARD (le 27 février), et ÉRIC LAPOINTE (le 28 février). Renseignements: 450 485-0848 ou [www.lezenithsteustache.ca].
<h3>CONFÉRENCES, ATELIERS et AUTRES</h3>
En permanence, bibliothèque, Deux-Montagnes: BIBLIO-MOBILE. Service de prêts à domicile pour les personnes ayant des difficultés à se déplacer. Activité réservée aux abonnés et résidants de Deux-Montagnes. Renseignements: 450 473-2702 ou [http://bibliotheque.ville.deux-montagnes.qc.ca].
<h3>CINÉMA</h3>
Les 25 et 26 février, 19h30, Le Zénith, Saint-Eustache: TAÏWAN, L&#8217;ÎLE AUX MILLE FACETTES. Présenté par Les Grands Explorateurs. Renseignements: [www.lesgrandsexplorateurs.com].

Une relâche O-Puces-Pocus!