Connu actuellement à la télévision pour sa série «This is Us» (Notre vie), Dan Fogelman transpose au grand écran une formule semblable. Film choral, construit en différents chapitres, il vous fera vivre une gamme d’émotions, en passant du rire aux larmes.
La trame narrative tourne autour de Will et Abby, deux New-Yorkais amoureux depuis l’université, décidant de se marier. Alors qu’ils s’apprêtent à devenir parents, leur trajectoire se mêle à d’autres destins. Comme Dylan, jeune femme perturbée, voulant apaiser sa souffrance, Irwin, qui élève sa petite-fille dans un monde dangereux, M. Saccione, riche propriétaire d’une oliveraie espagnole, et de son intendant Javier, son épouse Isabelle, et leur fils Rodrigo.
L’amour, la famille et la perte d’êtres chers, sont au cœur de ce récit. Contrairement, au feuilleton télé, précédemment mentionné, un script de deux heures n’est pas suffisant de manière à développer en profondeur ses personnages. Certains d’entre eux se lancent dans d’interminables discours, afin de connaître leur passé tragique. Ces histoires s’entremêlent sur plusieurs décennies, et le scénario s’amuse fréquemment à avancer et reculer dans le temps.
Sur une note personnelle, le segment avec les González m’a profondément touché, principalement le lien entre la mère (Laia Costa) et son enfant. Malgré ses quelques longueurs, Sergio Peris-Mencheta et Antonio Banderas offrent une incroyable performance (en espagnol avec des sous-titres).
Oscar Isaac et Olivia Wilde ont le bonheur de former le couple le plus épanoui du long métrage. Ils sont formidables et la chimie coule très bien, au rythme de la musique de Bob Dylan et des créations de Quentin Tarantino. Olivia Cooke joue le rôle de Dylan, la descendante de Will et Abby, désirant surmonter ses blessures, à la suite de multiples décès familiaux au cours de sa jeunesse. Sous les traits du grand-père de cette dernière, Mandy Patinkin livre une scène des plus grandiose de la production.
Suivant, un tracé non linéaire, cette œuvre nous fait prendre conscience qu’un événement peut avoir des répercussions sur de nombreuses vies autour de nous.
La semaine prochaine, il sera question du film «Cours du soir» .
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Ma note : 7/10

Un film sur l’importance de l’amour, la famille et la perte d’êtres chers

Ces derniers jours, j’ai testé les «Gear IconX» de Samsung, des écouteurs boutons dépourvus de fils, pour votre appareil. Grâce aux crochets stabilisateurs, ils sont confortables et demeurent en place aux creux de vos oreilles, même lors d’entrainement physique. 
Écouter des pièces musicales, sans mécanisme externe, grâce à une capacité de stockage de 4 Go. J’ai recouru au fil inclus (on peut le faire sans fil, mais c’est plus long) dans le but d’effectuer le transfert de mes albums en mp3. On peut gérer l’appareil (changement de chanson, mettre à pause, ou ajuster le volume) en frappant de petits coups, ou en glissant notre doigt sur l’oreillette. Cependant, ce n’est pas toujours précis, puisqu’il m’est arrivé de l’arrêter au lieu de passer au prochain extrait. 
Le jumelage se fait via Bluetooth. Je devais utiliser un cellulaire Samsung, afin d’avoir les meilleures conditions possible. Malheureusement, une situation hors de mon contrôle m’a empêché de le faire. J’ai opté pour mon iPhone et mon iPad, et la connexion s’est faite correctement chaque fois. 
<h3>Une excellente qualité sonore</h3>
La qualité sonore est excellente en toutes circonstances, même lors d’appels téléphoniques. Les bruits ambiants sont bien filtrés. Par contre, le micro est très sensible, et capte facilement les éléments phoniques autour de vous, rendant la conversation plus difficile avec votre interlocuteur. 
Les écouteurs intègrent un guide de course, incluant des mises à jour personnalisées, ainsi qu’un mode de suivi automatique synchronisant les données de votre exercice avec l’application «Samsung Health» . 
Grâce à ce nouveau modèle, l’autonomie a été grandement améliorée. Le boîtier stylisé propose de recharger la batterie au lithium-ion de 85 Mah. Cela permet de dialoguer presque quatre heures durant, de diffuser de la musique en continu, pendant environ cinq heures, et de l’utiliser comme lecteur audio indépendant durant presque six heures. Cela m’a évité de le charger constamment, ce qui est souvent le cas avec des dispositifs bas de gamme. 
Finalement, n’ayez crainte de les porter sous la pluie, ou de les abîmer par la transpiration, car ils sont protégés afin d’y résister. 
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Des écouteurs boutons sans fil pour votre appareil

La population sera invitée à la découverte d’artistes locaux, semi-professionnels et amateurs, dans le cadre de la 22e édition du spectacle Talents de chez nous, présenté le dimanche 30 septembre, dès 14 h, au Zénith de Saint-Eustache. D’ailleurs, la Ville de Saint-Eustache a profité de l’annonce de l’événement pour réitérer sa fierté d’avoir adopté la résolution proclamant Journée de la culture le dernier vendredi de septembre comme l’ont fait 584 autres municipalités du Québec. 
Organisée annuellement par le Service des arts et de la culture de la Ville de Saint-Eustache, en collaboration avec le Conseil des Arts et Culture, l’activité proposée est ouverte à tous et vise à promouvoir le talent d’artistes en arts de la scène de la région. Rappelons que la représentation est gratuite, mais qu’il est impératif de se prémunir d’un billet. 
Pour obtenir un laissez-passer, les gens intéressés sont invités à communiquer dès maintenant avec la billetterie du Service des arts et de la culture au 450 974-2787. 
<h3>«Une année record» </h3>
Un appel à tous les artistes de talents fut lancé en juin dernier. Les réponses ne se sont pas fait attendre, aux dires des organisateurs. 
C’est, en effet, plus de vingt candidatures qui ont été reçues cette année et le comité de sélection a dû faire des choix déchirants. Le public aura assurément droit à un spectacle d’une grande qualité et fera de belles découvertes. Notons qu’il s’agit également d’une chance unique pour les artistes de se faire valoir devant le large public du Zénith, qui compte plus de 700 places. 
En rafale, les convives auront droit à la présence du groupe Assumption, qui a fait fureur au Festival international de jazz de Montréal lors de la clôture du camp blues. Suivra NEV, un auteur-compositeur-interprète qui s’inspire de son quotidien pour créer sa musique. 
Le tour sera ensuite donné au Théâtre de la Petite Comédie, les 4 comédiens présenteront des extraits de pièces de théâtre écrits par leur mentor, l’Eustachoise Claudine Thibodeau. Quant à Marcus Berthold, il partagera avec le public ses compositions personnelles, accompagné de David Brisson à la guitare. 
Le duo de danse contemporaine formé de Gabrielle Roberge et Mélanie Grenier tentera pour sa part de vous sensibiliser aux effets néfastes de l’utilisation des textos au volant. Le tour sera ensuite donné à Bad-T, un jeune rappeur de Saint-Eustache qui s’inspire du lounge et du trap pour faire ses propres compositions. La première partie de ce spectacle se clôturera par la prestation de la Troupe Heat issue du groupe de danse élite de la Ville de Saint-Eustache. 
La seconde partie débutera avec la participation de l’Académie des arts Trouve ta voie, organisme reconnu à Saint-Eustache, qui vise l’insertion sociale et la promotion des habiletés artistiques des personnes ayant une déficience intellectuelle ou physique. Ils présenteront des chansons tirées d’un spectacle-bénéfice organisé en avril dernier. Enfin, le Chœur des Îles de Saint-Eustache terminera en beauté cette seconde partie telle qu’annoncée précédemment.