C’est ainsi qu’on nous présente ce récit autobiographique intitulé Au seuil d’une porte, publié tout récemment aux éditions de L’Apothéose, sous la plume de Pauline Lapointe-Chiragh, une résidante de Deux-Montagnes qui a choisi, un jour, de laisser libre cours à son esprit libre et aventurier. Partie vivre à Toronto, elle y a rencontré à la fois son âme sœur et l’homme de sa vie, Yousaf Chiragh, aux balbutiement d’un voyage intérieur qui est passé physiquement par le continent asiatique.
Après le décès de Yousaf, Pauline, qui est aussi détentrice d’un doctorat en naturopathie, enseignante et conférencière, a pris la plume pour honorer un devoir de mémoire et par souci de faire connaître à ses petits-enfants cet homme qui aura fatalement été privé de son rôle de grand-père.
Au seuil d’une porte est proposé en versions française, anglaise (On The Way in) et bilingue, sur papier ou sur support numérique.
Pour en savoir davantage: [<a href="http://www.facebook.com/pauline.lapointechiragh">www.facebook.com/pauline.lapointechiragh</a>] ou [<a href="https://leseditionsdelapotheose.com/boutique/fr/pauline-lapointe-chiragh-m745/">https://leseditionsdelapotheose.com/boutique/fr/pauline-lapointe-chiragh-m745/</a>].

En tout, neuf spectacles seront au programme chaque dimanche après-midi, sur le coup de 14 h 30, et mettront successivement en vedette, sur la scène extérieure Hydro-Québec, Paul Piché (1er août), des chanteurs du FestivalOpéra de Saint-Eustache et des Grandes Laurentides, (8 août), Jérôme Charlebois (le 15 août), Les Chiens de Ruelles (le 22 août), Michel Rivard (le 29 août), Adam Karch et son invité Guy Bélanger (le 5 septembre), Ariane Roy (le 12 septembre), Les Grands Hurleurs (le 19 septembre) et Jordane (le 26 septembre).
Même si les spectacles extérieurs sont maintenant autorisés, les organisateurs doivent cependant appliquer les consignes sanitaires imposées par la Santé publique; ce qui explique pourquoi cette 17e saison des Dimanches sur la promenade se déroulera à l’endroit choisi, où l’entrée, via le stationnement du Complexe aquatique, situé au 230, boulevard Arthur-Sauvé, et la sortie des spectateurs pourront se faire de façon distincte.
<h3>Des spectacles sur réservation uniquement</h3>
Également, afin de respecter les mesures de distanciation en vigueur, le site sera délimité et accessible sur réservation uniquement, avec délivrance de billets et un nombre limité de spectateurs qui auront préalablement réservé leurs billets. Pour ce faire, ils devront obligatoirement les réserver en communiquant avec la billetterie du Service des arts et de la culture, au 450 974-2787.
Les citoyens de Saint-Eustache peuvent se les procurer en premier lieu, pour l’ensemble des spectacles de leur choix, à partir du 14 juillet, à 8 h, tandis que les non-résidents pourront faire de même, eux, deux jours plus tard, à compter du 16 juillet, à 8 h.
Il est à noter que si le nombre maximal de personnes inscrites pouvant prendre au spectacle n’est pas atteint, il ne sera pas possible de s&#8217;inscrire sur place et d’y assister. Les mesures recommandées par la Santé publique en vigueur le jour de l&#8217;événement devront bien évidemment être respectées.
Précisons que l’accès au site sera possible à compter de 14 h et que le billet sera valide jusqu’à 14 h 30. Les spectateurs seront alors accueillis par les organisateurs et pourront accéder au site après présentation de leurs billets. Passé 14 h 30, la validation du billet ne sera plus assurée.
En cas de pluie, les spectacles seront, pour la plupart, déplacés au Centre d&#8217;art La petite église. À cet effet, il sera possible d’en savoir davantage sur le site Web de la Ville, <a href="https://www.saint-eustache.ca/evenements">dans la section &lt;&lt;Agenda&gt;&gt;</a>, de même que sur les pages Facebook de <a href="https://www.facebook.com/VilleSaintEustache/">la Ville de Saint-Eustache</a> et du <a href="https://www.facebook.com/Lapetiteeglise/">Centre d’art La petite église</a>.
Enfin, prenez note que la billetterie du Service des arts et de la culture de la Ville de Saint-Eustache est ouverte du lundi au jeudi, de 8 h 30 à 12 h et de 13 h à 16 h 30, de même que le vendredi, de 8 h à 12 h.

Des Dimanches sur la promenade… aux jardins du manoir Globensky

Choisis parmi plusieurs centaines de textes et côtoyant les plus grands noms de la littérature, leurs phrases ont été imprimées sur des structures en forme de bateaux en papier fait avec les pages de romans, de pièces de théâtre, de poésie et de bandes dessinées. Chaque bateau pourvu d’un banc permettait aux passants d’écouter et de se laisser bercer par la beauté des écrits québécois.
«Nous avons soigneusement choisi nos mots qui, même sortis du contexte de leurs livres, représenteraient avec justesse le thème de la fierté de notre peuple, d&#8217;expliquer, après coup, Martial Grisé. Notre langue, c’est notre culture et notre identité unique. Elle est coloré, si belle et si vivante! En la partageant, elle nous porte vers les autres.»
«Parce que la littérature est aussi un miroir de notre société, d&#8217;ajouter Maryse Pepin, et ce, peu importe le genre d’écriture, nous avons pris conscience, en tant qu’auteurs, que nos phrases pouvaient avoir une portée bien plus large.»
Ainsi, le code de vie des dragonniers Respect, connaissances, défis… a pris un sens d’inclusion. Tout comme «Tu peux me voir à travers ma coquille grâce aux yeux de ton coeur!» de Valérie Grenier ou «Le dragon qui avait peur d’être seul a maintenant un ami pour la vie», proposé par Chantal Pepin.
Également, l’illusionniste Loran parla de partage avec sa réflexion: «La magie ne réside pas dans les accessoires ni la technique, mais dans votre habileté à transmettre l’émerveillement»; tandis que Louise Rosemma Gauthier, la poétesse présenta l’accueil de nouveaux horizons en déclamant: «Comme une horloge à plusieurs aiguilles, des bateaux arrivent de part et d’autre autour de ma terre.»
Enfin, la phrase de Martial Grisé tirée de son dernier roman Seyrawyn, Futurs Gardiens, où, à la fin de l’aventure, le chef déclare: «Nous fêterons notre chance de vivre en paix sur ces terres!», était tout à fait appropriée pour déclarer autant notre sentiment de sécurité au Québec que notre propension à festoyer!
«Finalement, dans la mesure où tous ensemble nous façonnons notre langue, on la plie et on la déplie, on l’étire, on la fait grandir, on lui donne des accents, on l’enrichit, cette exposition aura été une belle façon de faire rayonner à grande échelle des mots tout droits sortis de l’imagination d’auteurs de Saint-Eustache», de conclure Martial Grisé et Maryse Pepin.
Pour d&#8217;autres renseignements sur les Éditions McGray et ses auteurs: [<a href="http://www.seyrawyn.com/">www.seyrawyn.com</a>].

Pauline Lapointe-Chiragh: le récit d’une rencontre magique