Le maire de Saint-Eustache et président de la Fondation Élite Saint-Eustache, Pierre Charron, a reçu récemment la visite de Joëlle Lévesque pour rappeler l’attribution du prix Mario Chénart de la Fondation de la Société Professionnelle des Auteurs et des Compositeurs du Québec (SPACQ) à la Fondation Élite Saint-Eustache.
En effet, le 16 septembre dernier se tenait la 14e édition du gala de la Fondation SPACQ où on a remis à Michel Besner, membre du conseil d’administration de la Fondation Élite, le prix Mario Chénart.
Joëlle Lévesque, conjointe de feu Mario Chénart, a choisi de remettre la bourse au nom de son défunt mari à la Fondation Élite Saint-Eustache parce que son époux ainsi que leur fils Pascal ont par le passé, bénéficié de l’appui financier de la Fondation Élite.
Mario Chénart
Mario Chénart a été un auteur-compositeur-interprète et un artiste engagé impliqué dans la défense du droit d&#8217;auteur. Il est décédé en février 2019 d’un cancer  à l’âge de 57 ans.
Il a remporté plusieurs prix, en commençant par celui d&#8217;auteur-compositeur-interprète au Festival international de la chanson de Granby, en 1990. Il a aussi décroché le Félix de l&#8217;auteur-compositeur de l&#8217;année au gala de l&#8217;ADISQ, en 1998, et le Prix Québec-Wallonie-Bruxelles de la chanson pour son album Boucler le siècle.
«Je remercie sincèrement Mme Lévesque d’avoir choisi la Fondation Élite, car nous avons de nombreux talents chez nous, qui ont besoin d’un support financier pour aller toujours plus loin et pour atteindre le niveau de reconnaissance qu’ils méritent. Cet appui nous permettra d’atteindre plus aisément nos objectifs et de donner ce coup de pouce, cet élan, qui permet à notre relève de se consacrer à ses projets avec plus de sérénité», a déclaré le maire de Saint-Eustache.
La Fondation Élite
Rappelons que la Fondation Élite Saint-Eustache a été mise sur pied afin de soutenir des Eustachoises et Eustachois démontrant des aptitudes et compétences supérieures, entre autres, dans les domaines culturel, sportif et communautaire, et qui se sont distingués par des projets émérites dans l’un ou l’autre de ces domaines.

Cinq ans après avoir réécrit le conte de La Belle au bois dormant, dans sa version en prise de vue réelle, la production propose une suite des aventures de Maléfique et d’Aurore. Le premier volet avait brillamment réinventé la vilaine la plus mythique du studio, en nous dévoilant sa noirceur de son fond intérieur, et réussissant du même coup, à nous la rendre attachante.
Plusieurs années se sont écoulées depuis que la sorcière a jeté un sort à la princesse. Ayant trouvé l’amour, elle veut épouser le prince Philippe. La fée aux cornes se contraint à rencontrer la belle-famille de sa fille adoptive. Cependant, la reine mère n’est pas très accueillante, et son but sinistre va à l’encontre du bonheur de son fils. Maléfique devra former de nouvelles alliances et faire face à des adversaires coriaces en vue de protéger la Lande et les créatures magiques y résidant.
<h3>Scénario gauche et personnages peu développés</h3>
Tentant d’élargir l’univers initié au sein de l’opus original, le scénario est gauche et ses personnages peu développés. On ne prend que quelques minutes à expliquer la méchanceté et les actes racistes de la souveraine du royaume voisin. Quant aux racines de Maléfique, elle découvre les autres membres de son peuple, mais leur passé est décrit de manière expéditive, justifiant maladroitement les raisons les poussant à aller à la guerre.
Le réalisateur Joachim Rønning (Pirates des Caraïbes: Les morts ne racontent pas d’histoires), qui a repris le flambeau, a gardé l’esthétique visuelle de son prédécesseur. Les êtres fantastiques aux multiples couleurs vivant en harmonie sont d’une beauté incroyable, tout comme les plans du château vus à vol d’oiseau.
Heureusement que les deux actrices principales sont là, permettant de sauver les meubles. Angelina Jolie (Mr. et Mrs. Smith, Recherché) demeure la femme parfaite pour interpréter le rôle-titre. Elle est délicieusement redoutable et facétieuse. Michelle Pfeiffer (Le Retour de Batman, Le Crime de l’Orient-Express) prend plaisir à semer la zizanie et la tyrannie, allant jusqu’au génocide. Elle Fanning (Super 8, Quelque part) et Harris Dickinson (Les Insoumis), sous les traits du jeune couple royal, servent seulement à mettre en place les pions de l’intrigue.
Disney a possiblement été trop gourmand en voulant profiter du succès du long métrage de 2014, car cette continuité n’apporte pas suffisamment d’éléments pertinents.
La semaine prochaine, il sera question du film Application mortelle.
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Ma note: 7/10

La vilaine revient ensorceler… fort inutilement

Maléfique – Maîtresse du mal: La vilaine revient ensorceler… fort inutilement

La Fondation Émile-Z.-Laviolette et la Caisse Desjardins Saint-Eustache–Deux-Montagnes ont annoncé la 24e édition du spectacle-bénéfice de cet organisme dédié aux enfants démunis de la MRC de Deux-Montagnes, lequel sera présenté à la salle du Zénith, à Saint-Eustache, le dimanche 24 novembre, à 20 h. 
Il s’agit d’un spectacle de Noël mettant en vedette Bruno Pelletier et ses invités, en l’occurrence Annie Villeneuve, Laurence Jalbert, King Melrose et Michaël. L’ancien chef d’antenne à TVA, Jacques Moisan, agira à titre de maître de cérémonie. 
En point de presse, le directeur général de la fondation, Pierre Legault, faisait très justement remarquer que tous les groupes d’âge y trouveraient leur compte, d’autant plus qu’une partie des billets seraient vendus au coût de 40 $. «C’est une façon, pour nous, de faire connaître la Fondation au grand public, tout en démontrant qu’il n’est pas nécessaire de toujours donner un gros montant d’argent pour aider les autres» , d’exprimer M. Legault. 
<h3>800 jeunes, 125 familles</h3>
De fait, en achetant une paire de billets à 40 $, vous aiderez la Fondation à fournir à un enfant les effets scolaires dont il aura besoin de septembre à juin. Le directeur général pointait alors l’une des actions concrètes de la Fondation Émile-Z.-Laviolette dont la mission est de «soutenir les organismes ainsi que les établissements scolaires dans leurs programmes d’aide alimentaire et de persévérance scolaire» . 
Ce soutien (collations, boîtes à lunch, effets scolaires, aide aux devoirs), d’ajouter Pierre Legault, permet à tous les enfants d’être sur le même pied et contribue à prévenir le décrochage scolaire. Chaque année, précise-t-on, la Fondation vole ainsi au secours de 800 élèves du primaire et du secondaire, tous issus de 125 familles à faible revenu. 
À titre de partenaire majeur de la Fondation Émile-Z.-Laviolette, la Caisse Desjardins Saint-Eustache–Deux-Montagnes a contribué pas moins de 250 000 $ en dons, depuis 20 ans. Son président, Roland Tourangeau, a d’ailleurs rappelé que l’éducation demeurait la grande priorité de l’institution qu’il représente. 
<h3>Trinquez avec les artistes!</h3>
De son côté, le président de la Fondation et aussi président des Résidences funéraires Goyer, René Goyer, s’est empressé de remercier les commanditaires, les membres du conseil d’administration de l’organisme et le public qui assistera au spectacle du 24 novembre, à la salle du Zénith. 
À noter qu’une autre catégorie de billets est offerte au coût de 85 $, ce qui vous donnera accès au spectacle, bien entendu, mais aussi à un cocktail dînatoire qui se déroulera tout juste avant, en compagnie des artistes. Information et billetterie: 514 945-2231.

Le prix Mario Chénart remis à la Fondation Élite Saint-Eustache