Le spectacle Talents de chez nous explore cette année une autre facette des arts de la scène en accueillant, en deuxième partie, le Chœur des Îles de Saint-Eustache. 
C’est la première fois que la production, qui sera présentée le 30 septembre, à 14 h, à la salle Le Zénith de Saint-Eustache, offre une telle vitrine au chant choral. «C’est un honneur d’avoir été sélectionné» , fait valoir Évelyne Lamanque, secrétaire du conseil d’administration du chœur. 
L’ensemble, qui regroupe 45 choristes, est le seul de la région à offrir aux spectateurs des productions ayant une mise en scène à la fois théâtrale et chorégraphique. Leurs prestations mettent en lumière leurs talents en chant, en comédie, en danse et en écriture. La présentation du 30 septembre n’y fera pas exception. 
La présidente du Chœur des Îles de Saint-Eustache, Solange Aubin, se réjouit à l’idée de pouvoir rejoindre un nouveau public. «C’est plaisant, car ce qu’on fait et pratique toutes les semaines, on a la chance de le présenter plus souvent.» 
<h3>Talents toujours recherchés</h3>
La première partie du spectacle Talents de chez nous met en vedette des artistes de la région. Le Service des arts et de la culture de la Ville de Saint-Eustache a reçu une vingtaine de candidatures à ce jour. Les gens ont jusqu’au 27 août pour soumettre leur dossier, incluant une courte biographie et une démo (audio ou vidéo), par courriel à <a href="mailto:stessier@ville.saint-eustache.qc.ca" title="Écrire à stessier@ville.saint-eustache.qc.ca">stessier@ville.saint-eustache.qc.ca</a>. Le tout sera analysé par un comité de sélection. 
«On veut faire connaître le talent d’ici, mais aussi donner la chance à des artistes semi-professionnels, émergents et amateurs de vivre l’expérience de la scène et de se produire devant un bel auditoire» , explique l’agente de développement au Service des arts et de la culture, Sophie Tessier. 
L’an passé, la production a attiré environ 600 spectateurs. 
<h3>Un spectacle gratuit</h3>
Talents de chez nous est présenté dans le cadre des 22es Journées de la culture qui, cette année, se déroulent sous le thème Les mots sous toutes leurs formes. Le spectacle est gratuit, mais il faut obligatoirement se procurer un laissez-passer auprès du Service des arts et de la culture (275, rue Saint-Eustache) ou par téléphone au 450 974-2787. Les billets seront disponibles à compter du 28 août.

Le Chœur des Îles de Saint-Eustache montera sur scène 

Mark Wahlberg et le réalisateur Peter Berg sont pratiquement devenus inséparables. Quatrième collaboration en presque autant d’années, depuis 2014, ils ont présenté «Le seul survivant» , «Crise à Deepwater Horizon» et «Le jour des patriotes» . Cette fois-ci, ce n’est pas un long-métrage basé sur des faits réels. Les événements se situent plutôt dans une ville fictive meurtrière où la population n’est pas à l’abri des dommages collatéraux. 
L’acteur vedette personnifie James Silva, un homme très intelligent, qui a un penchant pour la violence. Travaillant dans une unité secrète de la CIA, il doit transporter un informateur étranger, d’une ambassade américaine située en Asie du Sud-Est jusqu’à un aérodrome, afin qu’il soit expatrié aux États-Unis. Avec l’aide d’un groupe tactique appelé «Overwatch» , ils doivent parcourir 22 milles jalonnés d’obstacles avant d’atteindre leur destination. Le gouvernement étant corrompu, ils affronteront une armée de mercenaires, de policiers et de gangs de rue déterminés à récupérer la source que l’équipe de Silva s’efforce de protéger. 
L’histoire n’est pas des plus originales, alors qu’une ville entière se transforme en champ de bataille. Les personnages sont peu développés. On ne connait que peu de choses du protagoniste principal. Les scénaristes dévoilent qu’il était différent de ses camarades de classe, qu’il a un TOC tirant constamment sur son élastique autour de son poignet, et est hyperactif. Ils tentent également d’apporter une charge émotionnelle via sa collègue (Lauren Cohan de la série The Walking Dead), alors qu’elle est en plein processus de divorce. 
Après la trentaine de minutes essentielles, pour placer les éléments, le convoi prend la route, et les scènes d’action (pas toujours réalistes) s’enchaînent jusqu’à la fin du récit. Le sang coule à flot, et je suis étonné que le long métrage soit classé que 13 ans et plus. Les bagarres chorégraphiées de Iko Uwais (The Raid) sont spectaculaires, mais les plans de caméra trop rapides (comme la mise en scène générale de cette production) empêchent de profiter pleinement du spectacle. John Malkovich est également de la distribution en interprétant Bishop, le supérieur de James. Sa présence n’a malheureusement que peu d’impact dans l’intrigue. 
La finale demeure surprenante et laisse la porte grande ouverte à une suite, si ce premier volet remporte suffisamment de succès. 
Ma note: 7.5/10 
La semaine prochaine, je vous présenterai mon top 5 des films de l’été. 
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action et violence au menu

Premier jeu mettant en vedette Terence Hill et Bud Spencer, chaque niveau, sur un total de 12, fait référence à leurs films. Même la musique nous rappelle de bons souvenirs. Évidemment, on débute au Far West, où il faut s’occuper des brigands, en se dirigeant vers la ville. On y fera la rencontre d’une demoiselle entre de mauvaises mains. Dès la fin de ce niveau, on réalise que ce n’était que le tournage d’une scène de film, et l’intrigue nous ramène à notre époque. Les producteurs du long métrage vont enlever une jeune femme, et le duo partira à sa recherche tout en voulant retrouver l’argent qu’ils se sont fait voler. Prévoyez environ 10 à 15 minutes afin de compléter chacune des sections. 
Il est possible de s’y divertir seul ou à deux. C’est vraiment plaisant d’admirer Bud et Terence donner des baffes aux méchants. Chacun d’eux possède une attaque légère et une autre plus puissante consommant une barre d’énergie. Si on les utilise au bon moment, elles offrent une contre-attaque efficace. Lors des parties à un joueur, on peut changer de personnage à n’importe quel moment via le bouton «ZL» . 
Les graphismes nous font revivre l’ère du «16 bits» . Ils sont très beaux et l’animation des protagonistes est bien détaillée. Je me serais tellement vu y jouer sur ma Super Nintendo dans les années 90!
Malheureusement, tout n’est pas parfait. Ça devient répétitif rapidement avec les mêmes mouvements et styles de bataille. Seuls les lieux diffèrent. Une chance qu’il y a quelques minijeux de casse-têtes, de tirs et de courses permettant de diversifier un peu la jouabilité. 
Les «boss» de fin de niveau sont mal balancés avec des ennemis difficiles à affronter en début de parcours. De plus, découvrir la bonne méthode pour les vaincre n’est pas toujours évident. 
J’ai eu quelques «bugs» lors de mon aventure, rien de très grave, mais suffisamment important pour le mentionner comme des problèmes de collision entre les personnages et l’environnement, ainsi que des ennemis bloqués dans l’écran. 
L’ensemble demeure un bel hommage au duo. Dommage que Bud Spencer n’a pu voir le résultat final avant son décès en 2016. Par contre, selon les développeurs, il avait approuvé les premières ébauches. 
Ma note: 7 sur 10
Testé sur Nintendo Switch