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Toute la bande est de retour dans ce nouveau volet de Jumanji, soit Kevin Hart, Dwayne Johnson, Jack Black et Karen Gillan.

Jumanji – Le prochain niveau: Même jeu, nouveaux défis!

Publié le 19/12/2019

Lisez la critique de Sébastien Trottier sur un film qui vient de prendre l’affiche dans les salles de cinéma. Cette semaine: Jumanji – Le prochain niveau.

Il y a deux ans, Jumanji a eu droit à une refonte qui a été fort populaire. Le studio a rapidement annoncé un troisième volet, et ce, arrivant juste à temps pour le congé du temps des Fêtes. Le cinéaste Jake Kasdan revisite cet univers, en y apportant des changements divertissants, en évitant de trop atténuer son contenu.

Toute la bande est de retour, contrainte à revivre une aventure inédite pour sauver Spencer, qui est pris au piège à l’intérieur de la console de jeu vidéo. Ils remarquent que rien n’est comme auparavant. Cette fois-ci, ils traverseront un désert aride, affronteront un troupeau d’autruches, s’enfuiront d’une meute de singes et escaladeront une montagne enneigée en vue de retrouver une pierre magique. Ainsi, ils pourront protéger le peuple d’un tyran et pouvoir quitter ce monde numérique.

Une quête axée sur l’amitié

Cette quête axée sur l’amitié et la famille amène les protagonistes à interagir avec des éléments que les joueurs vidéoludiques connaissent bien. Ils devront trouver des indices en discutant avec des PNJ (personnage non jouable), découvrir des bribes d’histoires via des cinématiques, utiliser des composantes du décor et recourir aux capacités de leurs avatars lors d’occasions spécifiques. Ces points étaient déjà là, cependant ils sont présentés différemment pendant cet opus, en incluant quelques ajouts variant la dynamique.

Les avatars sous les traits de Dwayne Johnson (Hobbs & Shaw) et Kevin Hart (Cours du soir) doivent désormais avoir des comportements correspondants à ceux des grands-pères joués par Danny DeVito (Dumbo) et Danny Glover (L’arme fatale). Jack Black (La pendule d’Halloween), qui interprétait une fille, doit dorénavant adapter son jeu à celui d’un Afro-Américain sportif. Quant à Karen Gillan (Avengers: Phase finale), son rôle est inchangé, mais elle a plus de visibilité au sein de l’intrigue que dans le précédent long métrage.

Les effets spéciaux demeurent efficaces sans être toujours réalistes. Je crois que c’est voulu de la part de la production.

Ne se prenant pas au sérieux et allant à vive allure, je peux affirmer que l’esprit de Jumanji est préservé. Dès le début du générique, il y a une scène supplémentaire, laissant la porte ouverte à une suite, si le succès est au rendez-vous.

La semaine prochaine, il sera question de mon top 10 cinéma de 2019.

D’ici là, découvrez le site [http://cine-techno.com], afin de consulter les critiques cinéma, jeux vidéo et technologiques.

Ma note: 7,5/10