Le jury choisira les lauréats parmi les candidatures reçues d’ici le 31 janvier 2018. Pour être admissible, il est essentiel que les actions aient eu lieu pendant l’année 2017, sur le territoire des Laurentides. Les Prix d’excellence en français Gaston-Miron seront remis le dimanche 18 mars 2018 dans le cadre d’une activité soulignant le mois de la Francophonie.
L&#8217;information nécessaire à la préparation d&#8217;un dossier de candidature est disponible sur le site internet de la SNQL à l’adresse suivante: [<a href="http://www.snq-laurentides.quebec/">www.snq-laurentides.quebec</a>]. Vous pouvez joindre tous les documents pertinents à cette candidature, tels que des textes, une revue de presse, des photos, etc. Le formulaire est disponible en cliquant sur le bouton «soumettre une candidature». Il suffit de le compléter, de l’imprimer et de le transmettre: par courriel (<a href="mailto:evenements@snq-laurentides.quebec">evenements@snq-laurentides.quebec</a>),  par télécopieur au 450-438-8895 ou par la poste à l’adresse suivante: 487, rue Laviolette, Saint-Jérôme, Québec, J7Y 2T8.
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Devant une salle comble de nombreux artistes, représentants du milieu, élus et dignitaires, plus de 10 000 $ en prix et en bourses ont été remis. Parmi les représentants des Basses-Laurentides, un important prix a été reçu et quelques artistes ont été mis à contribution.
Le prix Municipalité, a été attribué à la Municipalité de Saint-Placide, pour avoir fait preuve de vision et de cohérence dans son approche de développement culturel en soutenant la Société Arts et Culture de Saint-Placide et en valorisant son patrimoine à travers d’importants investissements. Une œuvre intitulée Ajour, de l’artiste Jessica Peters de Brownsburg-Chatham, a été remise à la Municipalité.
Un nouveau prix était remis cette année à une institution d’enseignement, le prix Art-Éducation, remis en partenariat avec les Caisses Desjardins des Laurentides. L’école qui s’est vu décerner le prix est la Polyvalente Saint-Joseph de Mont-Laurier, pour réaliser, depuis sept ans, un projet phare qui influence positivement de nombreux adolescents et enfants et qui rallie plusieurs intervenants de l’équipe-école et de la communauté. Le lauréat a reçu une œuvre d’art de l’artiste Suzanne FerlandL de Sainte-Thérèse, intitulée Sans mots dire.
Le prix Art-Affaires, attribué en partenariat avec Héritage Culture Laurentides, a été accordé au Centre de rénovation Lortie et Martin, de Sainte-Agathe-des-Monts, pour souligner son soutien auprès d’acteurs du milieu culturel depuis près de 35 ans, et ce, de façon significative, continue et sous différentes formes d’engagements. L’œuvre intitulée Chutes de nuit/Night falls, réalisée par l’artiste Marie-Ève Martel, de Blainville, a été remise à l’entreprise récipiendaire.
Le CCL
Depuis 1978, le Conseil de la culture des Laurentides (CCL) contribue à forger l&#8217;identité culturelle de notre région. Il rassemble, conseille et accompagne tous ceux qui participent à l&#8217;essor des arts et de la culture dans les Laurentides. Par ses nombreuses activités, le CCL consolide notre développement culturel au bénéfice de la qualité de vie de l&#8217;ensemble des citoyens.
Avec ses Grands Prix de la culture, le CCL poursuit sa mission entamée depuis plus de 35 ans pour reconnaître et valoriser le travail des artistes, des organismes, des entreprises et des intervenants culturels de notre région. Depuis la première édition des Grands Prix, c’est près de 225 récipiendaires qui ont été honorés. Des remerciements sont adressés aux partenaires associés à chaque prix, soit le Ministère de la Culture et des Communications du Québec, la Ville de Saint-Jérôme et le Musée d’art contemporain des Laurentides.

Un prix pour Saint-Placide: La 28e édition des Grands Prix de la culture des Laurentides

C’était sans l’ombre d’un doute l’une de ses meilleures productions et, la notoriété aidant, le Petit Théâtre du Nord a enregistré des entrées records avec la comédie noire Docile, de Mélanie Maynard et Jonathan Racine. 
Mise en scène par ce dernier, la pièce était présentée à Blainville, tout au long de l’été dernier, là où 3 550 spectateurs ont applaudi cette production qui, outre les membres fondateurs du PTDN (Luc Bourgeois, Sébastien Gauthier, Louise Cardinal et Mélanie St-Laurent), mettait en vedette Danielle Proulx et Jean-François Casabone. 
Mais puisque les chiffres ne révèlent souvent leur vraie nature que lorsqu’on les compare, relevez que la production de 2015, En cas de pluie aucun remboursement, avait enregistré 2 319 entrées avant d’être reprise à la Compagnie Jean Duceppe, à l’automne 2016. La même pièce fait aussi l’objet d’une tournée, en ce moment même, au Québec. On a aussi dévoilé les chiffres de fréquentation pour les productions de 2014 (2 225) et 2016 (2 818). 
La pièce, qui pourrait être reprise à Montréal éventuellement, a aussi remporté un succès critique, rapporte Mélanie St-Laurent, alors que tant les journaux régionaux que les médias nationaux ont souligné l’excellence de Docile, tout comme leurs camarades du milieu théâtral. «Ils sont de plus en plus nombreux à passer le mur du 450 pour venir nous voir et constater à quel point notre signature artistique est particulière» , soulignait la comédienne, lors d’un point de presse tenue à la bibliothèque Paul-Mercier, à Blainville. Une bonne partie du public vient aussi de Montréal et de l’extérieur de la région. 
<h3>Les partenaires</h3>
Le PTDN souligne par ailleurs l’apport des municipalités de la région dans ce succès, alors que la plupart font la promotion de leurs spectacles, certaines offrant des subventions ou achetant des billets. «Je voudrais remercier particulièrement nos deux villes partenaires, Boisbriand et Blainville, qui nous ont permis, cette année, de produire un spectacle d’envergure avec des moyens qui ont permis de supporter la vision artistique que nous voulions déployer» , de dire Mélanie St-Laurent, tout en dressant la liste des principaux commanditaires de la compagnie, IGA Daigle, les Caisses Desjardins, le Groupe JCL, Faubourg Boisbriand, Proservin et le député de Groulx, Claude Surprenant. 
<h3>Un Archambault en 2018</h3>
Pour la production de 2018, l’auteur François Archambault est déjà à l’œuvre, lui qui a signé quelques productions du PTDN, comme Enfantillages (2013) et C’est devenu gros (2000), et qui avait aussi collaboré à la comédie Les Envahisseurs (2005). 
On avait peu à dire sur cette comédie en gestation, si ce n’est qu’elle réunira les quatre comédiens fondateurs, auxquels s’ajoutera Marie-Hélène Thibault, qui était de la pièce Chinoiseries, en 2016. 
On confirmait par le fait même que cette production serait présentée à nouveau au centre communautaire de Blainville, bien qu’on ait récemment annoncé le déménagement du PTDN à Boisbriand, après que l’administration municipale eut confirmé, après avoir acquis l’église Notre-Dame-de-Fatima, que ce bâtiment serait converti en une salle de théâtre gérée par la compagnie. 
«Ça fait longtemps qu’on travaille sur un tel projet, a rappelé la mairesse Marlene Cordato. Le Petit théâtre du Nord fait partie de notre ADN régional. Nous allons rénover l’église durant l’année 2018 et elle sera disponible en 2019.» 
De son côté, le maire de Blainville, Richard Perreault, s’est dit heureux d’accueillir le PTDN pour une saison supplémentaire. «Nous nous réjouissons du succès grandissant du Petit Théâtre du Nord et nous sommes très heureux de savoir que la compagnie aura bientôt un toit permanent» , a-t-il déclaré, en soulignant les dix années (bientôt onze) du PTDN dans sa ville.

Le PTDN a battu tous ses records d’assistance

Appel de candidatures: La 7e édition du prix d’excellence en français Gaston-Miron