Gravel propose un retour à l’ère des jeux de rallye pour son accessibilité, sa prise en main facile, et surtout pour le plaisir qu’il procure. Contrairement, à ces dernières années où les simulations de course agrémentaient l’univers vidéoludique, exigeant un contrôle beaucoup plus précis.
Le mode principal, s’apparentant à un mode carrière, présente une émission de télévision dans laquelle les différents pilotes s’opposent dans des courses hors route, jusqu’à la grande finale, afin de devenir le champion «Off-Road Masters» . Les courses se déroulent sur différents circuits, où la surface peut être de terre sèche, sablonneuse, boueuse, ou bien parsemée de gravier.
La course libre, contre la montre et multijoueurs complètent les autres modes offerts. La grande déception vient de ce dernier, qui est disponible seulement en ligne. Aucune possibilité de jouer à plusieurs dans un local via un écran divisé. C’est dommage, puisque c’est un style de jeu qui s’y prête tellement bien en famille ou entre amis.
Les contrôles sont intuitifs, facilitant la conduite d’une cinquantaine de véhicules dans des lieux variés, en passant par des grottes, des canyons, des montagnes, à travers des stades, ou bien longeant des rivières, ou le bord de l’océan.
Visuellement riche, diversifié et suffisamment détaillé, ce n’est pas à la fine pointe de la technologie, mais ça tient la route.
Gravel est une très belle surprise, offrant plusieurs heures de divertissement avec une jouabilité facile à maitriser via l’accélérateur, le frein, le contrôle des sauts, des dérapages, ainsi que quelques éléments de réglages (la suspension, la transmission, les freins et l’alignement).
Ma note: 7,5 sur 10
Jeu testé sur Xbox One, mais également disponible sur PS4 et PC.
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Se déroulant dans la petite ville fictive de Hope County, au Montana, Joseph Seed et plusieurs membres de sa famille forment une secte avec plusieurs habitants, tout en prenant les autres en otage. Les événements débutent quand notre personnage (paramétrable en choisissant le sexe, les cheveux et la couleur de peau), accompagné des forces de l’ordre, doivent arrêter Joseph Seed.
La carte géographique à explorer est vaste, s’étendant sur de nombreux kilomètres via des forêts, des zones marécageuses et quelques lieux habités. Grâce à la minutie des développeurs, on retrouve une multitude de détails rendant les périodes de jeu plus immersives. Je dois mentionner que j’ai eu quelques problèmes d’affichage à l’occasion (personnage passant à travers un autre), mais rien de bien dérangeant.
L’intelligence artificielle des ennemis manque d’efficacité, il est facile de deviner ce qu’il adviendra, mais lorsque nous sommes découverts, il faut faire face à leur agressivité. Pour éviter ces situations, il faut prendre le temps de bien repérer les alentours avant d’attaquer et de se munir de différentes armes (fusil, mitraillette, grenade, pelle ou bâton) dispersées sur le territoire.
Il est important de chasser, puisque les peaux accumulées peuvent être vendues en échange d’argent qu’on peut utiliser pour améliorer notre équipement. Nos compétences peuvent également être améliorées en effectuant certaines tâches, augmentant notre barre de vie, notre capacité à transporter des objets et même notre puissance de feu.
Intéressant mélange d’activités et de stratégies, on aborde les missions principales ou secondaires comme bon nous semble dans cette aventure, tout en nous proposant une histoire solide avec un antagoniste qu’il l’est tout autant.
Jeu testé sur Xbox One, mais également disponible sur PS4 et PC.
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Mes premières impressions du jeu Far Cry 5

L’écosystème Google est rendu dans nos foyers, les rendant intelligents pour certaines tâches de notre quotidien. Le Google Home, ou son modèle mini (que j’ai en ma possession), est un assistant personnel mains libres que vous pouvez déposer où bon vous semble.
Chaque interaction débute avec les mots «Ok Google» . Vous pouvez lui poser des questions sur des sujets très variés allant de la météo, aux actualités, ou même à savoir le résultat du dernier match de hockey. Il vous répondra d’une voix agréable légèrement robotisée.
On peut également l’utiliser pour lire de la musique via différents sites de diffusion en continu tels que «Spotify» , ajouter un élément sur votre liste de courses, démarrer une minuterie ou faire des appels téléphoniques, lorsqu’il est jumelé à votre cellulaire.
Si vous le combinez avec un Chromecast que vous avez inséré dans votre téléviseur, vous pourrez commander des applications comme Netflix ou YouTube.
Si vous êtes vraiment «techno» , vous pouvez même associer les nombreux objets connectés à Internet, de votre domicile. Cela vous permettra de les contrôler par commande vocale en demandant d’allumer ou d’éteindre les lumières, d’ajuster la température d’une pièce, allant même à débuter une brassée de lavage.
Facile à configurer, via votre téléphone mobile ou votre tablette en seulement quelques minutes, l’appareil répond bien aux commandes de langue française. Son ergonomie compacte et élégante, lui permet de s’intégrer à divers environnements et décors.
Malheureusement, la qualité audio est sa principale faiblesse. Pour écouter la radio ou pour simplement mettre de la musique d’ambiance, ce modèle comblera vos besoins, par contre, lors d’une fête assourdissante, celui-ci ne fera pas le poids. Il faudra alors vous diriger vers Google Home, le modèle original, ou le Google Home Max (qui n’a pas encore été confirmé pour le Canada).
Il est possible de vous procurer cet article chez Best Buy au prix de 79,99 $.
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Du plaisir sur piste hors route