«Je suis vraiment enchantée de voir l’engouement populaire pour effectuer un changement important. De toute façon, si on ne fait rien, ça va coûter très cher. Oui, c’est une décision hautement économique de voter vert; c’est le meilleur investissement qu’on puisse faire!», nous relate-t-elle d’entrée de jeu.
En plus, elle a choisi de mener une campagne carboneutre en plantant un arbre pour chaque tranche de 50 mentions “J’aime” sur sa Page Facebook. Ainsi, peu importe l’issue de l’élection, l’empreinte écologique laissée par l’utilisation des inévitables pancartes et des cartes d’affaires, sera minimal selon elle.
Un arbre pour chaque 50 J’aime
«Je tiens à mener une campagne cohérente avec mes valeurs, en plus, il n’aura jamais été aussi facile de faire un geste pour l’environnement… jusqu’au 21 octobre! Aimez ma page!», ajoute-t-elle en riant.
Enfin, Julie Tremblay-C. a terminé sa semaine en participant à la Grève pour le climat à Saint-Jérôme, ainsi qu’à la journée “Ma Ville” au marché Public de Saint-Colomban. “La solidarité de tous m’émeut sincèrement et je pense que 2019 est l’occasion où jamais d’opérer un tournant important. Les petits gestes individuels sont nécessaires, mais les industries doivent prendre leurs responsabilités et le gouvernement doit prendre les grands moyens avant qu’il ne soit trop tard», termine-t-elle.
Cette semaine, Julie Tremblay-C.  continuera sa tournée et assistera à d’autres événements publics où tous pourrons la rencontrer pour un brin de jasette.

Cette mesure de grande envergure vise à lutter contre les changements climatiques et à atteindre la cible de zéro émission nette d’ici 2050 grâce à la force de la nature. Elle permettra également de créer environ 3 500 emplois saisonniers par année dans le domaine de la plantation d’arbres. Cette promesse libérale s’inscrit, d’ailleurs, dans une série de mesures de 3 milliards de dollars pour des solutions climatiques naturelles, dont la protection des terres humides, la restauration des forêts, des zones côtières et des terres agricoles.
«Nous sommes le gouvernement qui en a le plus fait pour l’environnement et nous continuerons d’avancer. Je pense notamment au prix sur la pollution, à l’interdiction des plastiques nocifs à usage unique d’ici 2020, à nos incitatifs pour l’électrification des transports et pour les maisons écoénergétiques. Notre équipe a un plan solide qui aura des impacts véritables sur l’avenir de notre planète et le futur de nos enfants», rappelle Ramez Ayoub, candidat pour Thérèse-De Blainville.
Un gouvernement libéral réélu s’engage aussi à réduire de moitié l’impôt payé par les entreprises qui développent des technologies ou fabriquent des produits zéro émission. De plus, un éventuel gouvernement libéral montrerait l’exemple et veillerait à ce que tous les édifices fédéraux soient alimentés à l’énergie propre d’ici 2022.
«Au cours de mes quatre ans de mandat, les citoyennes et citoyens de ma circonscription m’ont fait part de leurs préoccupations quant à l’environnement. Il faut protéger l’air que nous respirons, l’eau que nous buvons et continuer d’agir pour les changements climatiques. J’ai totalement confiance en l’équipe libérale, nous avons des objectifs ambitieux pour un Canada plus vert que jamais», affirme Linda Lapointe, candidate pour Rivière-des-Mille-Îles.
Les engagements du Parti libéral du Canada reflètent le devoir d’adresser l’enjeu du réchauffement de la planète et l’impact immédiat sur nos citoyens. Le plan adresse donc des mesures d’incitatifs pour réduire les émissions, augmenter les aires protégées et changer les habitudes de consommation pour les rendre plus vertes, mais aussi de venir en aide aux sinistrés touchés par le réchauffement de la planète. Le Parti libéral du Canada fait de l’environnement, les familles et la classe moyenne leurs grandes priorités pour le prochain mandat.

Les libéraux annoncent des mesures pour la lutte aux changements climatiques

Son implication 
«Mon engagement a commencé il y a 25 ans. Pour moi, c’est une façon de redonner à ma communauté. J’en suis fier. J’aimerais être député pour redonner d’une autre façon aux citoyens», déclare le candidat bloquiste
Citoyen de Rosemère depuis plus de 26 ans, Luc Desilets est impliqué sur quatre conseils d’administration qui oeuvrent sur le territoire de la circonscription. Il s’agit du Groupe Action Jeunesse, la Fondation de la polyvalente Deux-Montagnes, Jeunesse Atout ainsi que l’Association des directions d’école retraitées.
La langue française 
Lorsqu’on le questionne sur l’importance de la langue française, le candidat affirme: «Dans tous les milieux où je suis passé, dit-il, les gens savent qu’il s’agit pour moi d’une priorité. Notre langue, c’est une partie importante de notre identité et nous nous devons de la sauvegarder.» Monsieur Desilets a d’ailleurs publié six livres, en plus d’avoir été finaliste à deux reprises pour le prix Gaston Miron, prix d’excellence en français.
Son histoire 
Luc Desilets est le fils d’Antoine Desilets, photographe de réputation internationale. Son père a milité dans les mouvements souverainistes de la première heure. Ami de Pierre Bourgault, M. Desilets père a été photographe pour le RIN, pour ensuite agir comme photographe pour plus de 70 candidats du Parti québécois.
«Mon père, lui, effectuait son bénévolat pour les partis nationalistes. Il a d’ailleurs quitté le journal La Presse en 1974 pour créer avec René Lévesque, Jacques Parizeau et Yves Michaud, le journal indépendantiste Le Jour, encaissant une baisse de revenu de 40 %!», souligne Luc Desilets, qui a appris très tôt l’importance de s’impliquer pour faire changer les choses. Pour suivre la campagne de Luc Desilets, candidat du Bloc québécois dans Rivière-des- Mille-Îles visitez sa page Facebook @LucDesiletsBlocQuebecois.

Une semaine profitable pour Julie Tremblay-C.