Maquillage pour enfant et musique seront au rendez-vous. Contribution volontaire. N’hésitez pas à encourager les jeunes. L’invitation est lancée par les jeunes Fanny Lejeune-Caron et Damien Lauzon, le conseiller municipal Raymond Tessier, les membres de l’Association des citoyens du quartier des îles Alain Barbe, Daniel Cadieux et Normand Beaudoin, ainsi que les intervenantes Sarah-Claude Dufour, Caroline Proulx et Jessy Leblanc.

Le projet portera sur 12 activités visant à étudier des outils et des pratiques de rechange à l’utilisation des pesticides dans la production de fruits et légumes de serre. Regroupées sous quatre thèmes (lutte physique, lutte biologique, biodiversité et génétique), ces méthodes aideront les producteurs à réduire l&#8217;impact des pesticides sur l’environnement, à réduire les dégâts aux cultures et à optimiser les méthodes de lutte afin d’accroître la production et la rentabilité.
«Soutenir l’innovation et la recherche en agriculture est une priorité pour notre gouvernement. La recherche de pointe est essentielle pour aider notre industrie à demeurer concurrentielle et à croître. Grâce à cet investissement, nos agriculteurs auront accès à des outils de pointe et à des pratiques innovatrices qui réduiront les répercussions sur l’environnement et qui permettront aux familles agricoles de prospérer», a indiqué le secrétaire parlementaire Jean-Claude Poissant.
De son côté, Caroline Provost, directrice et chercheuse du CRAM, a déclaré: «Les entreprises agricoles canadiennes font face à des enjeux croissant relatifs aux changements climatiques, aux ennemis des cultures et aux produits chimiques ayant des effets néfastes sur l’environnement. Les différents défis auxquels les producteurs sont exposés sont parfois difficiles à concilier et des alternatives doivent être explorées pour assurer la productivité et la rentabilité du secteur agricole tout en diminuant les impacts environnementaux.»
Elle a ajouté: «Le présent projet regroupe plusieurs activités proposant des solutions alternatives aux pesticides en productions fruitières et serricoles dans un contexte de changement climatique. Il permettra aussi le développement d’agents de lutte biologique qui pourront être éventuellement produits et commercialisés au Canada.»
Le CRAM
Le Centre de recherche agroalimentaire de Mirabel (CRAM) est un centre de recherche à but non lucratif qui offre des services de recherche et de transfert technologique en horticulture et en agroalimentaire dans le but de favoriser le développement et la compétitivité des entreprises agricoles.
Le Partenariat
Le Partenariat canadien pour l’agriculture représente un investissement de trois milliards de dollars sur cinq ans des gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux afin de renforcer le secteur de l’agriculture et de l’agroalimentaire.
Le Partenariat comprend des programmes et des activités visant à améliorer la compétitivité du secteur par la recherche, la science et l’innovation. Dans le cadre du Programme Agri-science, une initiative quinquennale de 338 millions de dollars, le gouvernement appuie les découvertes et les sciences appliquées de pointe ainsi que l’innovation axée sur les priorités de recherche de l’industrie.

Un appui financier important pour éviter l’utilisation de pesticides

Jennifer Chirola, une résidante de Saint-Eustache, fait partie de la cuvée d’une cinquantaine de finalistes du concours Miss Univers Canada 2019, étape de qualification nationale du prestigieux concours mondial, Miss Univers. La jeune femme de 26 ans souhaite user de cette plateforme pour aider et inspirer les futures générations.
Native de la métropole, d’un père italien et d’une mère québécoise, Jennifer est diplômée de l’Université d’Ottawa et de l’Université McGill, dans les domaines d’études de la femme et des ressources humaines.
«J’ai toujours baigné dans ce monde, et ça me passionne!» , explique l’Eustachoise, investie depuis longtemps dans les domaines que sont la mode et le mannequinat. D’ailleurs, elle a participé au concours Miss Québec à l’âge de 12 et 17 ans. À ce moment, elle rêvait déjà d’être choisie parmi les finalistes de Miss Univers Canada.
«Il s’agit d’une opportunité pour communiquer des messages et je souhaite travailler avec les jeunes. J’aspire à utiliser mes connaissances acquises, ainsi que mon expérience au cours de ma carrière en ressources humaines, pour éduquer et inspirer les futures générations de femmes» , lance-t-elle, en entrevue à son domicile.
«Je m’engage à démontrer aux femmes plus jeunes l’importance de l’estime de soi, de la confiance en soi et de l’autonomisation de toutes les femmes dans la société d’aujourd’hui.»
En effet, elle doit à ses parents des valeurs importantes, telles que l’altruisme, le soin des autres.
«Comme enfant, j’ai été impliquée au niveau des sports et dans la sphère communautaire, dans une organisation locale à but non lucratif, P.E.Y.O, dont la mission principale était d’améliorer la vie des jeunes familles» , de dire Jennifer Chirola, considérée par ses proches comme une jeune femme forte, indépendante et ambitieuse.
Toujours impliqué dans sa communauté, et auprès de la jeune génération, elle a actuellement le plaisir de collaborer avec l’organisation des Grands Frères Grandes Sœurs du Grand Montréal, ainsi qu’avec la Fondation de l’Hôpital de Montréal pour enfants.
<h3>Miss Univers Canada</h3>
Pour ceux qui sont peu familiers avec ce type d’événement, sachez que Miss Univers Canada est une compétition qui se déroule chaque année et qui met de l’avant des finalistes issues des quatre coins du pays. Ce concours permet à l’une d’entre elles d’être choisie pour représenter le Canada au concours Miss Univers, un rassemblement mondial d’envergure. Chaque pays participant sélectionne sa Miss, dans le cadre d’un volet national.
«C’est une semaine complète qui se tient, cette année, à Toronto. Des événements s’y déroulent chaque jour» , explique Jennifer.
«Nous sommes conviés à des activités, des pratiques et des rendez-vous préliminaire et final. Ce concours est assez similaire à Miss Québec, en ce qui concerne les critères d’évaluation des participantes.»
On constate alors que le concours ne mise pas uniquement sur la beauté. En fait, aucun point n’est attribué sur ce critère précis. On s’intéresse alors à l’implication sociale de la finaliste, à son éducation et sa grâce. Aux dires de Jennifer, le jury recherche une femme forte, charismatique, déterminée, qui sait bien transmettre ses messages, et qui n’a pas peur de sortir de sa zone de confort.
Trois finalistes de Miss Univers Canada proviennent du Québec, sur une cinquantaine de femmes, et la dernière Miss Univers Canada élue, issue de la Belle Province, a été couronnée en 2005. Jennifer Chirola souhaite bien entendu être la prochaine, mais se dit très privilégiée d’avoir été choisie, d’entrée de jeu, pour participer à l’aventure.
Pour plus d’informations relatives au concours, qui se déroule en ce moment même, rendez-vous au [<a title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information" href="https://missuniversecanada.ca" target="_blank" rel="noopener">https://missuniversecanada.ca</a>].

Un déjeuner gratuit à la Maison «Dé-jeune»