«La COVID-19 nous a forcés à nous adapter et à faire preuve de créativité», soutient Jonathan Leggitt, régisseur au transport au Centre de services scolaire de la Seigneurie des Mille-Îles (CSSMI).
Il se rappelle le printemps dernier où, dans un délai de deux ou trois jours suivant l&#8217;annonce de la réouverture des écoles, son équipe a su réactiver le transport scolaire afin de voyager de 2 à 3 000 élèves du primaire, le tout en respect des recommandations sanitaires qui exigeaient alors la présence d&#8217;un seul enfant par banc.
Puis, l&#8217;été arriva et l&#8217;équipe entreprit les préparatifs de la rentrée 2020. D&#8217;arrimer les trajets, les arrêts d&#8217;autobus et les horaires avec la réalité de chaque établissement et de chaque élève est un casse-tête en soi. Et c&#8217;est sans compter les nombreuses directives entourant la COVID-19 (distanciation physique, port du masque, désinfection des surfaces, installation de barrières de protection pour les chauffeurs, etc.) à mettre en oeuvre cette année.
Des ajustements ont bien sûr été nécessaires, mais le réseau est aujourd’hui bien rôdé, et ce, grâce à la collaboration des élèves, des parents, des chauffeurs d’autobus et des membres du personnel scolaire, qui font preuve de grande résilience dans le contexte actuel.
«Nous travaillons avec bienveillance afin que les enfants soient en sécurité», affirme M. Leggitt, se disant particulièrement fier de son équipe.
Chapeau aux chauffeurs d&#8217;autobus
Présentée en collaboration avec la Fédération des transporteurs par autobus, la campagne de sensibilisation à la sécurité en transport scolaire 2021 se tiendra du 1er au 12 février, sous le thème «M’as-tu vu?». Cette campagne sera également l&#8217;occasion de reconnaître le travail des chauffeurs d&#8217;autobus, mentionne le régisseur au transport.

Cet investissement est rendu possible en raison des sommes supplémentaires consenties cet automne par le ministère de l’Enseignement supérieur afin de favoriser l’accès et la diplomation au collégial.
Ces ressources permettront d’assurer l’offre de cours en mode hybride à la session d’hiver 2021, tout en permettant à chaque étudiant de venir au Collège au moins une fois par semaine. «Nous avons entendu l’appel étudiant pour plus de temps en classe afin de développer un lien pédagogique fort avec la communauté enseignante. Nous souhaitons favoriser la motivation et l’engagement de notre population étudiante», a déclaré Michel Louis Beauchamp, directeur général du Collège.
Plusieurs moyens ont été mis en œuvre. Le nombre d’étudiants par groupe a été réduit. Le dédoublement de groupes permettra les cours en présence dans les locaux. Quant à la formule des stages, elle a été adaptée au contexte pandémique pour les programmes techniques, notamment dans le secteur de la santé et de l’éducation à l’enfance.
Les ressources investies permettront de réduire la charge du corps enseignant qui a été modifiée substantiellement depuis le début de la pandémie. Faisant preuve d’innovation, le Collège Lionel-Groulx permettra le ressourcement du personnel enseignant.
Pour le directeur général, les enseignants ont réalisé un travail hors du commun en permettant la reprise des cours le printemps dernier. «Nous avons pris deux semaines en mars pour migrer l’ensemble de nos activités pédagogiques à distance alors que le Québec tout entier se mettait sur pause. Le mode d’enseignement hybride s’est poursuivi cet automne et il sera encore la norme cet hiver. Nos enseignants ont besoin d’appui pour soutenir les étudiants, assurer leur persévérance et leur diplomation et c’est ce qu’on veut leur offrir.»
L’anxiété, l’isolement et les problèmes de santé mentale de la communauté étudiante sont également au cœur des préoccupations. Le Collège s’assure de déployer des ressources professionnelles afin de la soutenir dans ces temps inédits. «Toute la communauté collégiale se mobilise pour soutenir les étudiantes et les étudiants les plus vulnérables. C’est tout un Collège qui est là pour eux», précise Michel Louis Beauchamp.

Le Collège Lionel-Groulx annonce un investissement de 1,5 M$

GBD Construction / Groupe L’Héritage dit collaborer avec la Ville depuis plusieurs années dans le cadre de la planification et de la réalisation du projet centre-ville. Dans ce contexte, GBD Construction mentionne avoir constamment veillé à rencontrer les exigences de la Ville et avoir régulièrement modifié son projet selon la volonté de cette dernière.
«En 2018, dans le cadre des démarches entreprises auprès de la Ville, une convention a été signée visant à échanger des terrains. Par cette entente, la Ville souhaitait agrandir le parc Félix-Leclerc et y implanter une piscine sur un terrain appartenant au propriétaire de GBD Construction / Groupe L’Héritage, Benoit Dumoulin. En retour, il était convenu que le terrain cédé de bonne foi venait affranchir GBD Construction / Groupe L’Héritage de la contribution pour frais de parc, étape nécessaire à franchir pour permettre la réalisation du développement de la phase 2 de Centrocité, au coin de la route 344 et du boulevard des Promenades. Une résolution a d’ailleurs été adoptée par la Ville afin d’officialiser le tout par acte notarié. Une telle transaction avec la Ville n’aurait jamais été conclue si GBD Construction / Groupe L’Héritage avait été informé que la phase 2 de Centrocité ne pouvait être développée à court terme, tel qu’indiqué dans la convention. Le promoteur a donc engagé un dialogue de bonne foi avec la Municipalité pour y discuter des plans», fait-on valoir dans le communiqué.
Puis, dans le cadre de l’implantation de son projet commercial et résidentiel, GBD Construction / Groupe L’Héritage dit avoir obtenu à l&#8217;automne 2019 une autorisation de la part du ministère de l’Environnement (MELCC) afin de remblayer un milieu humide d’une superficie de 218 m2 sur les terrains concernés.
Afin de satisfaire aux exigences du MELCC pour l’obtention d’une telle autorisation, GBD Construction / Groupe L’Héritage avait mandaté une firme environnementale externe pour évaluer la valeur écologique du terrain. Cette firme a conclu que la végétation retrouvée sur le site est caractéristique de friches et qu’aucune espèce végétale ayant un statut de protection n’y a été trouvée. Les travaux de cette firme n’ont pas permis d’identifier une espèce faunique menacée, vulnérable ou susceptible d’être ainsi désignée sur le site. C’est donc notamment sur la base des conclusions de cette étude environnementale indépendante que le MELCC a émis l’autorisation à GBD Construction / Groupe L’Héritage.
L&#8217;entreprise ajoute que, sur les ondes de Radio-Canada en 2019, la mairesse avait donné son opinion sur l’absence de valeur écologique de ce terrain et déclaré: «Je ne crois pas que ce soit des arbres matures, ce sont vraiment des petits. Je ne crois pas que c&#8217;est une forêt urbaine, pas du tout.» Plus encore, elle aurait ajouté à cette occasion: «C’est notre centre-ville. Il faut quand même développer un centre-ville pour une municipalité.»
En ce qui concerne les travaux préparatoires réalisés au mois de décembre sur son terrain, GBD Construction / Groupe L’Héritage mentionne qu’ils ont eu lieu conformément à la réglementation et aux discussions intervenues avec la Ville, incluant la mairesse elle-même.
La phase 2 de Centrocité bientôt dévoilée aux citoyens
Dans les prochains jours, GBD Construction / Groupe L’Héritage dévoilera publiquement la phase 2 de Centrocité qui avait été présentée à la Ville il y a quelques années. «Les citoyens de Sainte-Marthe-sur-le-Lac ont le droit d’avoir l’heure juste sur ce projet de 100 millions de dollars qui est articulé autour d’une solide vision d’avenir pour le développement du centre-ville. Ce nouveau projet prévoit de nouvelles plantations sur le site. Plus encore, les biologistes sont d’avis que la réalisation du projet aura pour effet de bonifier la qualité du couvert forestier du site», est-il mentionné dans le communiqué.
GBD Construction / Groupe L’Héritage s’attend à ce que la Municipalité de Sainte-Marthe-sur-le-Lac procède aux démarches requises pour que le projet puisse se concrétiser rapidement. Le promoteur tient à rappeler qu’il offrira toute sa collaboration pour mener à bien ce projet tel que prévu dans les ententes négociées de bonne foi.
À propos de GBD Construction / Groupe L’Héritage
GBD Construction / Groupe L’Héritage est promoteur de développements de projets domiciliaires depuis plus de 30 ans, dont plusieurs projets dans la région qui comportent la réalisation de plus de 10 000 nouvelles demeures (condos, maisons 
unifamiliales, jumelées et maisons de ville).
Rappelons qu’en 2007, à la suite d’un rapport de biologistes indiquant un milieu à conserver dans un secteur qui devait être développé par GBD Construction / Groupe L’Héritage, l’entreprise a cédé à la Ville de Sainte-Marthe-sur-le-Lac, une superficie de plus de 1,5 million de pieds carrés qui porte désormais le nom de la Prucheraie.

Transport scolaire: la sécurité avant tout