C’est une enveloppe budgétaire de 10&nbsp;000&nbsp;$ qui est ainsi consentie en 2022 pour ce programme, à raison de 250&nbsp;$ pour chacune des 40&nbsp;subventions qui seront acceptées. La formule «&nbsp;premier arrivé, premier servi » sera appliquée pour les demandes, jusqu’à épuisement des crédits disponibles.



Cette subvention n’empêchera pas celui ou celle dont la demande sera acceptée de bénéficier également, selon certaines conditions, du soutien financier de 600&nbsp;$ alloué dans le cadre du <a href="https://vehiculeselectriques.gouv.qc.ca/rabais/domicile/conditions-remboursement-borne-recharge-domicile.asp">programme « Roulez vert »</a> du gouvernement du Québec.



Depuis la mi-avril, les citoyens intéressés peuvent donc formuler une demande de subvention en remplissant le formulaire requis, disponible sur le site Web de la Ville de Saint-Eustache dans la page des <a href="https://www.saint-eustache.ca/subventions-enviro">Programmes de subvention en environnement</a>, au [<a href="http://www.saint-eustache.ca/subventions-enviro">www.saint-eustache.ca/subventions-enviro</a>], où ils retrouveront aussi les conditions d’admissibilité. À ce jour, quatre demandes de subvention ont été approuvées.



<h2>Autres actions d’électrification</h2>



Ce programme de subvention, qui devrait être reconduit l’an prochain, s’ajoute à l’obligation pour toute nouvelle construction résidentielle, commerciale, industrielle ou publique d’être dotée, depuis le 24&nbsp;mars dernier, d’une ou de bornes de recharge pour véhicules électriques, de niveau&nbsp;2 minimalement.



Le nombre de bornes exigées dépend du nombre de logements, du nombre de cases de stationnement prévues au projet, ainsi que de la classe d’usage de l’habitation. Plusieurs exigences s’appliquent en lien avec l’installation des bornes de recharge.



Aussi, le maire Pierre Charron a annoncé, lors du dépôt des prévisions budgétaires de l’année 2022, que la Ville ajoutera cette année deux nouvelles bornes de recharge publiques pour véhicules électriques, pour en porter le total à&nbsp;10 sur son territoire. Déjà, on en trouve à la Maison du citoyen, au Complexe Walter-Buswell, au stationnement municipal de la rue Dorion, à la bibliothèque Guy-Bélisle, à la mairie de Saint-Eustache et au parc Boisé des Moissons.



En outre, la Ville a prévu, toujours en 2022, acquérir, deux nouvelles voitures électriques, en remplacement de deux véhicules municipaux en fin de vie utile.



« Nous travaillons très fort dans l’optique de réduire les émissions de gaz à effet de serre sur notre territoire. Nous croyons fermement que l’électrification des transports est une façon efficace d’y parvenir. Cette mesure incitative [programme de subventions] s’inscrit entièrement dans la lignée des actions que nous mettons en place pour lutter contre les changements climatiques », devait indiquer, dans un récent communiqué de presse, le maire de Saint-Eustache, Pierre Charron.

Le maire Pierre Charron et la conseillère municipale Isabelle Lefebvre

Mirabel participera au défi pissenlit 2022. C’est ce qu’a confirmé le maire Patrick Charbonneau lors du dernier conseil municipal, le 9&nbsp;mai dernier à Saint-Canut. Le conseil a d’ailleurs adopté ce point à l’unanimité.&nbsp;



« Nous ne ferons pas la tonte de gazons de 24&nbsp;terrains municipaux, dont l’hôtel de ville, les centres culturels, les postes d’incendie et les stations de traitement des eaux », explique le maire lors du dernier conseil municipal.



Le défi, qui consiste à ne rien tondre avant le 1er&nbsp;juin, sera dorénavant inclus dans le plan environnemental de la ville pour les années à venir. Cette aide aux insectes pollinisateurs est un essentiel, selon la Ville, comme la majorité du territoire est agricole et dépend d’eux pour les cultures. « Si vous voulez continuer à acheter des produits locaux, il faut absolument aider les abeilles », ajoute-t-il.



Des affichettes sont accessibles aux citoyens qui veulent montrer leur soutien au mouvement. « Nous demandons donc à la population mirabelloise d’emboîter le pas en ne faisant pas la tonte de leur gazon durant le mois de mai », conclut Patrick Charbonneau.



<h2>Le défi pissenlit, c’est quoi ?</h2>



Le défi pissenlit a été lancé il y a quelques années par Christina Fortin-Ménard et David Lee Desrochers de Miel&amp;Co, une compagnie de Portneuf, dans la région de Québec. Le couple à la tête connaît bien le travail des abeilles, cherchant depuis longtemps à sensibiliser sur le rôle de ce grand pollinisateur.&nbsp;



Les citoyens cherchant à faire davantage peuvent se procurer des semences et des affichettes au defipissenlit.com.

Mirabel laissera pousser ses pissenlits pour le mois de mai

Le conseil municipal du 9 mai s’est tenu à Saint-Canut, plus précisément au Centre culturel Patrick-Lepage. Seule la conseillière Isabelle Gauthier était absente. La vente d’une partie de lot à Saint-Canut a également été ajoutée dans les points présentés. Celle-ci permettra de régulariser l’empiétement qu’il y avait sur la rue Cardinal.



Le conseil a tout d’abord approuvé la participation financière à un projet de vélos électrique en libre-service dans le cadre du programme Fond d’appui au rayonnement des régions. La participation de Mirabel s’élève à 350 000&nbsp;$.&nbsp;



Une aide financière a été octroyée à la Régie intermunicipale du Domaine Vert Nord. Un montant de 14 800&nbsp;$ sera alloué pour le projet nommé « jardin camps de jour » de la régie. Celui-ci vaut 19 752&nbsp;$.



La seule soumission reçue à la ville pour la vérification des systèmes d’alarme incendie et de ses composantes a été rejetée. Le conseil ne pouvait se permettre une somme aussi élevée, considérant que le contrat aurait été pour la période de 2022 à 2026.



Une consultation publique de consultation a été prévue le 7&nbsp;juin prochain à 17&nbsp;h à l’hôtel de ville. Celle-ci vise à informer ceux qui le veulent sur le projet de règlement qui permettra les salons de jeux, incluant les appareils de loterie vidéo, dans le secteur de Saint-Janvier.&nbsp;



Une modification au zonage dans le secteur du Domaine-Vert Nord a été adoptée afin de permettre la construction d’une école primaire. Une zone spécifique a été désignée pour cette modification de règlement.&nbsp;



La limite de vitesse sur la rue du Petit-Saint-Charles, dans le secteur du même nom, a été modifiée. Elle sera désormais à 30&nbsp;km/h en direction sud jusqu’à la rue Lemire.&nbsp;



Sur les rues du Frère-Jérôme et Théophile-Hamel, il ne sera plus possible de se stationner face aux courbes internes. Plus spécifiquement, l’interdiction touche les espaces à proximité du 13945 rue du Frère-Jérôme et des 13580, 13660, 13755 et 13810 rue Théophile-Hamel dans le secteur de Saint-Augustin.



Un appui unanime a été donné à la MRC Brome-Missisquoi quant à leur démarche auprès de la Société d’habitation du Québec pour la révision du seuil d’accessibilité à la hausse pour les HLM et les PSL. La révision n’a pas été faite depuis 2006. La MRC demande également la réduction de la portion payable par les municipalités pour la construction de tel bâtiment ainsi que l’élaboration d’une aide financière au niveau fédéral. Cela permettrait de réduire la contribution exigée dans les projets de logements abordables et sociaux.



Le conseil a fait la demande au ministère des Transports du Québec afin de réduire la limite de vitesse sur le chemin de la Côte Nord, entre le boulevard de la Grande-Allée et la montée Sainte-Marianne. La demande mentionne une diminution à 50&nbsp;km/h pour le secteur du Domaine-Vert Sud.



<h2>Paroles aux conseillers et citoyens</h2>



Les conseillers ont pris la parole afin de souhaiter une bonne fête des Mères. Plusieurs ont également mentionné l’importance du défi pissenlit auquel la Ville participe encore cette année. Le conseil se déroulant à Saint-Canut, les conseillers du secteur, Marc Laurin et Catherine Maréchal, on prit la parole pour décrire les projets à venir pour la région.Pour conclure la séance, une citoyenne de Saint-Janvier est venue poser des questions sur le fonctionnement du Publisac, comme des démarches pour leur distribution par Poste Canada ont été entreprises. Patrick Charbonneau, maire de Mirabel, a confirmé que les citoyens ne désirant pas le recevoir pourraient l’afficher par un autocollant rouge que la Ville distribue déjà. « On a eu des conversations avec Poste Canada et jusqu’à maintenant, ils sont coopératifs. Ça, on est content », a-t-il confirmé avant de lever la séance.

Saint-Eustache : Des subventions pour les bornes de recharge résidentielles

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