Le maire de Saint-Eustache, Pierre Charron, et la conseillère municipale du quartier des Érables, Janique-A. Danis, ont sillonné le sentier du parc de l’Oiselet, situé au 251, allée du Golf, afin de voir les tout nouveaux aménagements réalisés dans ce parc municipal.
« Lorsque nous avons acquis le terrain de golf, en 2013, il était clair que nous allions conserver des espaces verts et des lacs artificiels pour aménager des parcs municipaux. Que ce soit pour les résidents du quartier ou les travailleurs des environs, l’endroit est magnifique et tellement paisible. Un havre de paix au cœur de la ville! », de déclarer le maire Charron au moment de sa visite.
Les nouveaux aménagements incluent du mobilier urbain, une imposante clôture architecturale, une barrière pivotante (chicane) pour restreindre l’accès des voitures et de nombreux arbres et arbustes. L’ensemble des travaux a nécessité un investissement de 265 000 $, plus taxes, et a été réalisé par Lavallée et frère, sous la supervision du Service du génie de la Ville de Saint-Eustache.
« Je tiens à remercier les employés municipaux, notamment ceux issus du Service des travaux publics, qui ont fait un énorme travail de nettoyage du terrain afin que l’on puisse s’y balader et apprécier toute la beauté que le paysage a à nous offrir », de conclure la conseillère municipale Janique-A. Danis.

Le nombre de vols de pancartes électorales est en hausse partout au Québec et la ville de Mirabel n’y échappe pas. Un peu plus d’une semaine après le début officiel de la campagne municipale, de nombreuses pancartes ont été volées.
Les voleurs s’attaqueraient notamment aux petites affiches, mais aussi aux pancartes de grands formats, sur lesquelles figurent les équipes et les membres des formations politiques. Le parti Action Mirabel déplore le fait que certaines de leurs pancartes disparaissent et soient vandalisées, notamment en raison des coûts que nécessitent la fabrication et l’installation de ces immenses affiches en bordure des routes. Selon la formation politique, au moins quatre grandes pancartes auraient été dérobées et la tendance pourrait être la hausse au cours des prochains jours.
Le service de police de Mirabel confirme être au courant et en charge du dossier et compte s’y intéresser de plus en plus au fur et à mesure de la campagne, d’autant plus si le nombre de délits liés aux pancartes électorales s’accentue. Le Service rappelle que le retrait de panneaux électoraux est considéré comme du vol aux yeux de la loi et qu’une ou plusieurs personnes prises en flagrant délit pourraient se faire arrêter et être jugé pour vol et/ou vandalisme.
Dans une telle situation, le Directeur général des élections permet aux partis de refaire d’autres affiches et d’impliquer des coûts qui ne comptent pas dans le budget total et limite alloué pour une campagne. Les partis doivent toutefois offrir une preuve, comme un rapport de police, des photos ou des vidéos pour montrer qu’il s’agit bien d’un délit.

Mirabel: de nombreuses pancartes électorales volées

La voiture d’un homme de Saint-Placide circulant dans le secteur de la Pinède, samedi matin, a été atteint de ce qui, à première vue, semblait être un projectile d’arme à feu. Bien que la SQ ait confirmé, lundi, qu’il s’agissait plutôt d’un « projectile non identifié », il n’en fallait pas moins pour faire sortir de ses gonds le maire d’Oka, Pascal Quevillon. Il demande aux forces policières d’agir.
« Vous avertirez vos effectifs que nous avons encore des problèmes. N’attendez pas que ça dégénère ! On veut une présence policière adéquate », a lancé le premier magistrat d’Oka, rappelant qu’à la suite du meurtre d’Arsène Mompoint, survenu le 1er juillet dernier au commerce le Green Room de Kanesatake, la Sûreté du Québec avait pourtant intensifié la surveillance dans le secteur. Il a toutefois constaté un relâchement ces derniers temps.
« Depuis un mois, on est revenu aux mêmes effectifs qu’on avait avant. Il y a moins de présence policière et on ne fait plus de contrôles routiers comme si c’était réglé, ce qui n’est pas le cas parce qu’on constate encore des problématiques ! »
Pascal Quevillon est inquiet pour la sécurité de sa population. Pas plus tard que la semaine dernière, une citoyenne d’Oka lui a même mentionné qu’une jeune fille avait été approchée par des individus louches.
« C’est toujours comme ça après chaque événement, rage Pascal Quevillon. On attend un peu, on fait quelques petits trucs pour dire qu’on est présent, au niveau de la Sûreté du Québec, et à un moment donné on remet le couvercle sur la casserole comme si rien ne s’était passé et on attend que d’autres choses arrivent ».
Une rencontre entre la SQ et les maires de Saint-Placide et Oka était prévue mardi matin.

Saint-Eustache: de nouveaux aménagements au parc de l’Oiselet