«J’ai un très bon accueil des citoyennes et citoyens de mon quartier. Ils se souviennent très bien le choix que j’ai pris en 2011, lors d’une absence motivée pour ramasser des fonds pour Sercan. L’équipe en place en a profité pour m’attribuer des comités sans attendre mon retour. Le respect attire le respect», souligne-t-il, par voie de communiqué de presse, dans un premier temps.
Les points saillants et les questionnements
En ce qui a trait aux points saillants et aux questionnements des citoyens, M. Biard indique les éléments suivants sur le projet domiciliaire Albatros: trop de densification et d’intensification financées en grande partie par la Ville, mur dominant qui sépare la zone résidentielle et industrielle prouvant les difficultés de cohabitation; somme de 87 000$ octroyée à ce projet pour l’aménagement sur l’emprise en façade du projet.
Aussi, celui-ci ajoute à sa liste les «absences prolongées» de certains conseillers au caucus et au conseil municipal; la difficulté d’avoir les coûts réels de la réfection du pont (privé) assumée «à l’aveuglette» par la Ville de Saint-Eustache; la maison Chénier-Sauvé dont la restauration a coûté près de 2 M$, sans oublier le toit qui a été réparé au préalable au prix de 290 000 $, alors que les coûts de rénovation à l’acquisition étaient évalués à 100 000 $; et la dette sous-estimée à plus de 112 M$, plus les intérêts.
«Les gens se questionnent sur la projection de cette dette en 2025», écrit M. Biard dans son communiqué de presse.
«Donc, j’invite les gens à se manifester lors de l’élection municipale, le dimanche le 5 novembre prochain, afin de signifier à l’administration municipale leur mécontentement et le manque de vison pour les années futures. D’ici là, je continue ma campagne avec la même ardeur et l’encouragement des gens que j’ai le plaisir de rencontrer», de conclure le candidat indépendant.
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André Biard