Directeur général de Chartwell L’Unique, à Saint-Eustache, et organisateur de l’événement, Sébastien Chartier était heureux de renouveler cette expérience pour une deuxième année consécutive.
« Les retraités aiment avoir du plaisir, et c’est ce que nous leur offrons chez Chartwell dans le cadre de nos activités et sorties organisées comme celle-ci. L’an dernier, à pareille date, près de 200 résidents avaient profité de l’événement. Cette année, plus du double de participants sont au rendez-vous», d’explique M. Chartier.
Une belle expérience pour les retraités
Lors de cette journée sous le soleil de Pointe-Calumet, les invités se sont amusés au rythme d’un DJ, dans la piscine, sur la plage et sur la piste de danse, profitant d’un moment de détente en bonne compagnie. Un barbecue sous les airs du groupe antillais Jab Jab a également été apprécié de tous.
«J’adore cette expérience, on peut danser, se baigner et surtout s’amuser tout en profitant du soleil. Le service est cordial et les gens sur place nous font sentir à l’aise. J’aime participer à ce type d’activités organisées, surtout l’été», de partager, résidente de Chartwell Le Duplessis, à Trois-Rivières.
«La mission de Chartwell, dédiée au mieux-être, se vit véritablement pour nous au quotidien à travers des moments comme celui-ci, organisés par nos résidents et nos employés, pour tout simplement profiter de la vie en ayant du bon temps », de conclure M. Chartier.

Les utilisateurs de voitures électriques et hybrides rechargeables ont maintenant accès à une toute nouvelle borne de recharge que vient d’installer la Ville de Saint-Eustache dans le stationnement du Complexe Walter-Buswell, un lieu jugé «stratégique» et où circulent beaucoup de citoyens tous les jours.
Il s’agit plus précisément d’une borne standard de 240 volts, clairement identifiée il va sans dire, bénéficiant d’un espace de stationnement exclusivement réservé aux véhicules électriques et hybrides. Un tarif de 1 $ l’heure (taxes incluses), facturé à la minute tant que le véhicule est branché, est exigé lors de la recharge du véhicule.
<h3>Un avenir moins dépendant du pétrole</h3>
«La voiture électrique, comme l’électrification des transports en général, est la voie d’un avenir plus vert et moins dépendant du pétrole. Nous nous devons d’être pro-actifs face à cette tendance qui ira en s’accentuant. Plus il y aura de facilités comme celle que nous offrons aujourd’hui, plus il y aura de véhicules alimentés complètement ou partiellement à l’électricité. Un premier pas vient d’être franchi et nous entendons résolument poursuivre dans cette voie prometteuse» , a fait savoir, le mercredi 5 juillet dernier, le maire de Saint-Eustache, Pierre Charron, à l’occasion du lancement de cette borne de chargement.
Pour la conseillère municipale Isabelle Lefebvre, responsable des dossiers environnementaux, l’emplacement retenu est, à ses yeux, tout à fait désigné pour recevoir cette première borne. «Il est situé à deux pas des infrastructures sportives, près du secteur touristique, du marché public estival et de commerces de proximité. Nous invitons les propriétaires de véhicules hybrides et électriques à utiliser la borne, tout en profitant de l’occasion pour découvrir les alentours» , d’indiquer celle-ci.
<h3>Un circuit électrique de 914 bornes</h3>
Cette toute nouvelle borne fait partie intégrante du Circuit électrique d’Hydro-Québec, un réseau de bornes de recharge publiques pour véhicules électriques au Canada.
Le réseau compte maintenant 914 bornes de recharge publiques, dont 79 bornes rapides de 400 volts, déployées principalement dans 16 régions du Québec. Depuis son inauguration en mars 2012, 185 partenaires privés et institutionnels se sont joints au Circuit électrique, dont maintenant la Ville de Saint-Eustache.
Dans la région des Laurentides, on compte presque 70 bornes, y compris quatre bornes rapides.
De ce nombre, cinq se retrouvent sur le territoire de la MRC de Deux-Montagnes. Outre celle du Complexe Walter-Buswell (220, boulevard Arthur-Sauvé) qui vient d’être installée, deux sont situées à la Rôtisserie St-Hubert de Saint-Eustache (555, boulevard Arthur-Sauvé) et au Parc national d’Oka (2020, chemin d’Oka), et deux autres dans le stationnement de la gare Deux-Montagnes (400, boulevard Deux-Montagnes).
Pour l’instant, le circuit compte près de 15 000 membres qui ont effectué plus de 76 000 recharges, soit l’économie de 944 000 litres d’essence et 2 266 tonnes d’émission de CO2 évitées.
Pour posséder une borne inscrite au Circuit électrique, il faut être propriétaire du bâtiment où est installée ladite borne. En adhérant au Circuit électrique, la Ville bénéficie des avantages de ce réseau, dont l’entretien qui est assurée par CAA Québec.
Précisons aussi qu’une borne comme celle de Saint-Eustache vient combler 10 % des besoins nécessaire aux propriétaires de voitures électriques. Pour les 90 % restants, la maison et le travail servent normalement de lieux de recharge.
Pour en savoir davantage sur le Circuit électrique d’Hydro-Québec, ou encore, trouver une borne de chargement, il suffit de consulter le [<a title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information" href="http://" target="_blank" rel="noopener">https://lecircuitelectrique.com</a>].

Une borne de recharge maintenant accessible au Complexe Walter-Buswell

À cette occasion, des assiettes, des assiettes et des assiettes de spaghetti avaient été servies, du dîner jusqu’au souper, par le personnel de La Panière d’Alexie
Cette somme est accueillie avec d’autant plus grand plaisir qu’il s’agit d’une première contribution au Fonds d’aide pour les sinistrés mis en place par
la Municipalité d’Oka.
«Ce sont 1 000 $ qui vont directement à la cause des familles Okoises qui ont été victimes de la crue majeure du lac des Deux Montagnes», d’expliquer M. Quevillon.
La constitution d’un Fonds d’aide est l’une des mesures adoptées par le conseil municipal pour venir en aide aux sinistrés. Le montant de l&#8217;aide financière accordé aux personnes concernées sera déterminé, en fin d&#8217;année, en fonction du nombre de demandes admissibles reçues et de la somme alors cumulée au Fonds d&#8217;aide, sans toutefois dépasser 5 000 $ par demande.
«J’espère sincèrement que l’entraide, la solidarité et la générosité dont nous avons fait preuve pour surmonter, ensemble, cette triste épreuve se prolongeront dans le temps. J’invite la population à poursuivre cette mobilisation pour continuer d’aider nos concitoyens et concitoyennes qui endurent encore les conséquences de cette catastrophe. En organisant ou en participant aux levées de fonds, les Okois auront une réelle différence sur le soutien financier que la communauté leur offrira», de conclure le maire Pascal Quevillon.
Pour en connaître davantage sur les différentes mesures adoptées par le conseil municipal d’Oka et sur l’aide dont les sinistrés pourront éventuellement bénéficier, il suffit de visiter le [<a href="http://www.municipalite.oka.qc.ca">www.municipalite.oka.qc.ca</a>].

Des retraités des Résidences Chartwell au Beachclub