Le ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques avise la population que les eaux de baignade de la plage Oka ouest du parc national d’Oka sont maintenant conformes aux normes de qualité bactériologique établies par le Ministère.
Des prélèvements effectués le mercredi 28 juillet dernier confirment que la plage Oka ouest se voit maintenant attribuer la cote B. En raison d’une contamination bactériologique, l’accès à la plage avait été temporairement interdit, la veille, le mardi 27 juillet.
Rappelons que, pour connaître la qualité bactériologique des eaux de baignade des plages admissibles au programme <a href="https://www.environnement.gouv.qc.ca/programmes/env-plage/index.asp">Environnement-Plage</a>, il suffit de consulter le site Web du Ministère. On peut également s’adresser, du lundi au vendredi, de 8 h 30 à 16 h 30, à la <a href="https://www.quebec.ca/gouv/ministere/environnement/coordonnees/adresses-des-directions-regionales/">direction régionale</a> concernée du Centre de contrôle environnemental du Québec.

Annulé dans sa forme habituelle en raison, bien sûr, de la COVID-19 et des consignes sanitaires en vigueur à ce moment, l’annuel concours d’art oratoire du Club Optimiste de Saint-Eustache a tout de même été tenu en formule virtuelle, sur Zoom, et a permis de récompenser deux jeunes participantes alors âgées de 9 ans, Emma Giguère et Charlie Plante.
Les deux filles, des élèves de 4e année de l’école Terre des jeunes, ont, en effet, reçu leurs diplômes et prix de la part du Club Optimiste de Saint-Eustache dans le cadre d’une petite cérémonie qui a aussi réuni, fin mai, des professeurs de cette même école primaire et des membres de l’organisme.
Comme mentionné, l’événement avait d’abord été annulé, même si une seule école de Saint-Eustache souhaitait y participer. Mais face à la peine que cela causait aux deux seules élèves qui s&#8217;étaient inscriteset à la professeure Martine Caron qui chapeaute le projet à l’école Terre des jeunes, les membres du Club Optimiste, avec l’organisatrice du concours en tête, Astride Toglo, ont tout de même voulu souligner les efforts que celles-ci avaient déployés en leur donnant la chance de présenter les textes portant sur le thème «Rétablir le monde avec optimisme» qu’elles avaient rédigés lors d&#8217;une vidéoconférence Zoom.
Une mère fort reconnaissante
«Il y avait plusieurs membres du Club Optimiste, des professeurs, des parents, grands-parents et quelques amies des filles présents. C&#8217;était une superbe opportunité pour les filles présenter leur texte de 4 à 5 minutes qu’elles avaient appris par coeur devant public», de raconter Christina Lefebvre, mère de Charlie Plante.
Cette dernière tient d’ailleurs à lever son chapeau aux membres du Club Optimiste de Saint-Eustache, à l’organisatrice Astride Toglo et à son président Marius Kiki pour n’avoir pas baissé les bras dans les circonstances, et encore plus dans une année scolaire où bon nombre d’activités ont dû être annulées en raison de cette fameuse COVID-19
«Ils ont vraiment été corrects; car les filles étaient vraiment attristées lorsqu’elles ont su que le concours était annulé. Mais, la présentation sur Zoom les a vraiment rendues heureuses et a permis de souligner de belle façon leurs efforts. Le Club Optimiste a vraiment pensé aux jeunes», de souligner Mme Lefebvre, ajoutant que les deux filles, qui ont vieilli d’un an depuis cette présentation Zoom, souhaitent participer à nouveau à ce concours d’art d’oratoire, cette fois dans une formule qui réunira plus de participants et… un public plus large.
Quant à la remise des diplômes et prix, mentionnons, enfin, qu’elle a réuni, outre les jeunes participantes Emma Giguère et Charlie Plante, Charlie Phaneuf-Auchu, professeur de 4e année à l’école Terre des jeunes, Martine Caron, professeur de 3e année en charge du concours à l&#8217;école Terre des jeunes, Astride Toglo, membre du Club Optimiste de Saint-Eustache et organisatrice du concours, sans oublier Marius Kiki, président du Club Optimiste de Saint-Eustache.

Club Optimiste de Saint-Eustache: un concours d’art oratoire en formule virtuelle apprécié

Du 30 juillet au 1er août prochain, la Sûreté du Québec (SQ) participe, pour une huitième année, à la campagne de sensibilisation Alcool Zéro (Dry Water), en collaboration avec l’Association maritime du Québec (AMQ) et le Conseil canadien de la sécurité nautique (CCSN). Les policiers de la Sûreté profiteront de cette occasion pour intensifier leurs opérations sur les différents plans d’eau du Québec pour déceler la capacité de conduite affaiblie par l’alcool, la drogue ou une combinaison des deux.
<h3>Réduire le nombre de collisions sur les plans d&#8217;eau</h3>
La consommation d’alcool représente 40 % des causes d’incidents impliquant une embarcation nautique, selon le CCSN. Le soleil, le vent et les mouvements d’une embarcation en raison des vagues représentent certaines causes pouvant accroître les effets de l’alcool et des drogues sur les plans d’eau. De plus, la consommation d’alcool et des drogues constitue des risques pour les passagers du bateau. En effet, cette consommation peut engendrer des distractions pour les conducteurs d’embarcations nautiques ainsi que des noyades.
Au Québec, il n’est pas interdit de consommer de l’alcool à bord d’une embarcation, même s’il s’agit d’un bateau à moteur. Toutefois, les conducteurs qui consomment de l’alcool augmentent considérablement les risques de collisions et, s’ils ont la capacité de conduite affaiblie par l’alcool ou les drogues, ils s’exposent aux sanctions prévues par le Code criminel; soit une amende minimale de 1 000 $ jusqu’à une peine  d’emprisonnement, dépendamment du nombre de récidives.
L’Opération Alcool Zéro vise à réduire le nombre de collisions reliées à la consommation d’alcool sur les plans d’eau afin que ces derniers soient plus sécuritaires et agréables pour la navigation de plaisance.

Réouverture de la plage ouest au parc national d’Oka