Très présent dans la région de par la construction de la Cité Mirabel, Ray Junior Courtemanche travaille également dans l’ombre de plusieurs causes. Il fait entre autres partie du conseil d’administration (CA) de Tourisme Mirabel.



« Je me suis joint dès le début, ça va faire au moins &nbsp;sept ans que je fais partie de l’équipe », mentionne l’homme d’affaires de Mirabel.



Son implication dans la région est déjà très importante. Présent dans plusieurs causes pour les jeunes, pour les hôpitaux régionaux de Saint-Eustache et Saint-Jérôme et pour l’itinérance, il considère que le temps qu’il leur offre aide à faire rayonner Mirabel à plus grande échelle.



Ramener des idées d’ailleurs



L’entrepreneur mentionne entre autres ses différents voyages comme une source d’inspiration. Arrivant dans un pays qu’il ne connaît pas, il fait comme plusieurs autres touristes et cherche parmi les organisations touristiques locales. « Quand on m’a parlé du projet de Tourisme Mirabel, je trouvais ça important pour aider à pousser, avec toutes mes idées extravagantes, et à faire grandir l’image de Mirabel de ce côté », explique-t-il quant à sa motivation.



Ses collègues du CA de l’organisme ont souvent la vision plus réaliste, qui l’aide à revenir sur terre lorsque ses idées sont grandioses. « Il ne faut pas oublier que c’est un organisme à but non lucratif. Ce n’est donc pas facile de faire de grandes choses avec peu d’argent », affirme-t-il.



M.&nbsp;Courtemanche souligne d’ailleurs probablement être dans les rares à avoir vécu l’ensemble de l’aventure de Tourisme Mirabel jusqu’à présent. Plusieurs membres en sont partis, à la recherche de nouveaux défis.



Il est à même de témoigner de l’impact et de l’importance de cette organisation dans le milieu, de nombreux projets étant liés de près ou de loin à Tourisme Mirabel&nbsp;: réseaux cyclables, marché du terroir, fête de l’érable, etc.



Tourisme aéronautique



Ray Junior Courtemanche mentionne entre autres de l’importance qu’a le milieu aéronautique dans la région. Le milieu touristique a cette possibilité de le mettre en valeur. « L’emploi, c’est de la richesse. Ça nourrit des familles et ça amène des consommateurs », explique-t-il quant à l’importance de développer le tourisme sur ce pôle. Pour lui, cela vient avec l’importance de montrer aux citoyens ce qu’est ce pôle majeur. En effet, la région serait dans les cinq plus grands employeurs en aéronautique au niveau mondial.



L’entrepreneur ne pense pas arrêter son implication de sitôt. Il est fier de ce qu’il accomplit et travail personnellement sur des projets qui feront rayonner encore plus Mirabel au niveau national et peut-être même international.



« Je pense que ce que j’amène à Tourisme Mirabel, c’est mon côté téméraire, avant-gardiste et fonceur. Je brasse un peu les gens qui sont plus terre-à-terre et je les amène à se surpasser dans leurs idées », conclut M.&nbsp;Courtemanche. Il souligne cependant que la présence des autres membres plus conservateurs à la table l’encourage à ne pas être trop impulsif.

L’application Too good to go fait un pas de plus pour freiner le gaspillage alimentaire. En effet, depuis le 4&nbsp;avril dernier, la bannière Metro s’est jointe à l’application afin d’offrir des paniers d’invendus.



C’est une centaine d’épiceries Metro qui se joignent au mouvement contre le gaspillage alimentaire, dont une dizaine dans les Laurentides. « Les paniers qui sont offerts sur l’application sont remplis de fruits et légumes invendus », souligne Nicolas Dot, gestionnaire aux relations publiques pour l’application.



Ces aliments sont souvent victimes de leur apparence. Toujours bons à manger, leurs aspects atypique ou trop vieux répugnent de nombreux consommateurs et les rendent difficiles à vendre. « La catégorie des fruits et légumes est la plus gaspillée au Québec », souligne le relationniste. C’est 45&nbsp;% des produits alimentaires qui sont jetés ou perdus sont dans cette catégorie.



Malgré tout, les produits qui se retrouveront dans ces paniers seront parfaitement comestibles.



« Les paniers sont en vente à 8&nbsp;$ pour une valeur de 24&nbsp;$ ou plus », ajoute-t-il. De manière générale, ils seront mis en vente en fin de journée pour une cueillette le lendemain entre midi et 18&nbsp;h.



Quelques-unes dans les Basses-Laurentides



Les succursales qui se sont jointes à Too good to go sont les premières, mais certainement pas les dernières. « C’est un nombre signification pour mettre en lumière cette collaboration qu’on a forgée avec les équipes de Metro. Mais c’est sûr qu’on a pour ambition de faire grandir ce partenariat-là », mentionne Nicolas Dot. Selon lui, dès les prochaines semaines, il serait possible de voir de nouvelles succursales se joindre aux premières. Pour l’instant, seuls Saint-Eustache et Sainte-Marthe-sur-le-Lac auront la possibilité d’accéder à ce service de par les succursales qui s’y trouvent.



Le conseiller aux relations publiques mentionne d’ailleurs qu’un tel partenariat est un jalon de plus dans le travail fait dans la province par Too good to go. « C’est la première grande chaîne d’épicerie avec qui on a un partenariat dans la Belle Province », conclut-il.

Gaspillage alimentaire: Too good to go obtient un allié d’importance

Cette acquisition à des fins de protection et de mise en valeur a été réalisée grâce à une contribution financière de plus de 566 000 $, répartie à parts égales entre le gouvernement du Québec et la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM), en vertu du Programme de la Trame verte et bleue du Grand Montréal.



Rappelons que ces récentes acquisitions s’inscrivent dans une démarche entreprise en 2018, alors que la Ville a acquis une propriété de deux lots (66,5&nbsp;hectares) dans le but de créer un parc nature pour offrir à la population eustachoise et métropolitaine un lieu où se divertir et où profiter des attraits naturels du site.



Subventionnée par le gouvernement du Québec et la CMM dans le cadre du même programme, une portion considérable de 56,8&nbsp;hectares a été dévouée à la protection des milieux naturels et à des activités récréatives respectueuses de l’environnement.



<h2>Enrichissement d’un précieux héritage naturel</h2>



« Cette acquisition témoigne de l’importance du programme de la Trame verte et bleue pour la conservation de nos milieux naturels. Il est essentiel d’assurer leur pérennité pour favoriser une bonne qualité de vie de la population du Grand Montréal, tant actuelle que future. Par ce geste, la Ville de Saint-Eustache consolide son rôle dans la protection de nos précieux espaces naturels et de la préservation de la biodiversité de la région&nbsp;» a déclaré, dans un communiqué de presse conjoint, Valérie Plante, mairesse de Montréal et présidente de la CMM.



« Avec ces récentes acquisitions, qui ajoutent neuf nouveaux hectares au parc Nature, nous enrichissons un précieux héritage naturel, au profit des générations futures. Nous entendons poursuivre l’agrandissement du parc Nature par l’acquisition d’une trentaine de lots adjacents et nous sommes heureux et fiers que le gouvernement du Québec et la CMM nous appuient aussi solidement dans nos efforts de préservation et de mise en valeur du plus grand espace vert du territoire&nbsp;», a ajouté Pierre Charron, maire de Saint-Eustache.



<h2>Un espace naturel d’une grande valeur écologique</h2>



Identifié par la CMM comme boisé d’intérêt métropolitain à conserver, le parc Nature possède en effet un énorme potentiel écologique que la Ville de Saint-Eustache entend mettre en valeur à des fins éducatives et récréatives. Riche d’une grande biodiversité, il recèle de nombreux milieux humides et hydriques et comprend 13&nbsp;peuplements forestiers de cinq types écologiques, dont certaines espèces vulnérables et rares dans la région.



Enfin, sa situation géographique, excentrée de la partie urbaine de la ville, en fait un grand îlot de fraîcheur pour la population, en plus de rendre de nombreux autres biens et services écologiques.



En parallèle du processus d’acquisition de lots, et sous condition de l’obtention du feu vert officiel du ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs, la Ville de Saint-Eustache espère pouvoir procéder dès cette année à l’aménagement d’un chalet d’accueil, d’un chemin d’accès et d’un stationnement non asphalté d’une centaine de places.



Pour en savoir plus sur la Trame verte et bleue du Grand Montréal&nbsp;: <a href="https://cmm.qc.ca/projets/trame-verte-et-bleue/">https://cmm.qc.ca/projets/trame-verte-et-bleue/</a>.

Ray Junior Courtemanche: Mettre le rayonnement de la région de l’avant