«L’Airbus A220 est actuellement construit, assemblé et testé chez nous», indique le maire, rappelant qu’en plus d’Airbus-Bombardier, non moins d’une quarantaine d’entreprises, principalement du secteur aéronautique, ont choisi d’élire domicile sur le site aéroportuaire de Mirabel.
«On parle ici de compagnies d’envergure, telles que Mecachrome, Bell Helicopter Textron ou Pratt &amp; Whitney, qui permettent au Canada de conserver une longueur d’avance sur le marché international de l’aérospatiale», ajoute  M. Bouchard, non sans fierté.
En matière d’entretien et de réparation, deux sociétés importantes, soit Avianor et L3 Mas, sont implantées sur le site aéroportuaire. «L’expertise en matière d’entretien et de réparation est déjà présente à Mirabel. De plus, le site offre un potentiel incroyable de 40 millions de pieds carrés disponibles. Nous continuerons donc à déployer, avec Aéroports de Montréal, les efforts nécessaires à ce qu’il soit pleinement exploité, car il est porteur de retombées pour le Grand Montréal et le Québec en entier!», défend M. Bouchard.
L’École des métiers de l’aérospatiale de Montréal, rattachée à la Commission scolaire de Montréal, dispose déjà d’un centre de formation satellite sur le site aéroportuaire de Mirabel, où sont enseignés le montage de structures, l’assemblage et la mécanique aéronautique. Non seulement Mirabel a une capacité d’accueil et des infrastructures toutes désignées pour accueillir un futur centre d’entretien d’aéronefs, mais d’autres établissements d’enseignement, comme l’École nationale d’aérotechnique, pourraient s’y établir avec facilité.
«Si un emploi sur 25, à Longueuil, concerne cette industrie, c’est un emploi sur 4 à Mirabel, qui est directement lié au secteur de l’aéronautique », affirme le maire. Il s’agit  de 5 280 emplois sur plus de 20 000.
L’aéroport international de Mirabel est toujours en opération, 24 h sur 24, 7 jours sur 7, sans restriction d’horaire ni couvre-feu, et offre deux pistes de 12 000 pieds, lui permettant d’accueillir tous types d’appareils, moyens comme grands porteurs.
«Le cœur de l’industrie aérospatiale au Québec se trouve à Mirabel, et il ne fait aucun doute que notre site aéroportuaire est l’endroit idéal pour implanter un éventuel centre d’entretien et de réparation d’avions commerciaux», résume le maire.
«Nous avons tout avantage, collectivement, à renforcer sa capacité en tant que pôle d’attraction et d’espace catalyseur de prospérité», conclut-il.

Depuis qu&#8217;elle a été déboutée en Cour d&#8217;appel du Québec, Nathalie Doucet a dû faire «placer» ses chats dans un endroit gardé secret à l&#8217;extérieur de la Ville de Saint-Eustache.
Même si elle se déplace chaque semaine pour les visiter et surtout les «minoucher», son deuil demeure profond.
«Je continue de pleurer chaque jour ou presque, Ce sont mes bébés», livre Nathalie Doucet, qui continue de crier à l’injustice. «On m&#8217;a obligé de me débarrasser de mes chats alors qu&#8217;ils n&#8217;étaient nuisibles pour personne. Ils ne sortaient jamais dehors et vivaient le parfait bonheur en famille, comme des frères et des soeurs, dans mon garage annexé à la maison et transformé en un véritable paradis pour mes chats».
C&#8217;est une simple plainte d&#8217;une voisine immédiate qui a mené à une saga judiciaire entre Nathalie Doucet et la Ville de Saint-Eustache, et ce, depuis plus de 5 ans.
«J&#8217;ai des voisins qui ne savaient même pas que j&#8217;avais des chats avant que toute cette histoire se retrouve dans les médias locaux et provinciaux», souligne la femme de 50 ans.
Malgré qu&#8217;elle possède un permis du ministère de l&#8217;Agriculture, des Pêcheries et de l&#8217;Alimentation du Québec lui permettant d&#8217;héberger de 15 à 49 chats, la Ville de Saint-Eustache a contesté. Et jusqu&#8217;à présent, elle a obtenu gain de cause mentionnant que le règlement municipal de 2 chats et 2 chiens par foyer avait préséance sur la loi provinciale.
Cour suprême du Canada
L&#8217;infirmière, qui a déjà déboursé plus de 20 000$ en frais juridiques, ne s&#8217;arrête pas là et souhaite transporter son dossier devant le plus haut tribunal du pays, la Cour suprême du Canada.
«C&#8217;est beaucoup d&#8217;argent. C&#8217;est pour ça que j&#8217;ai besoin de l&#8217;aide de tous mes amis et même davantage, je dirais de tous ceux qui ont à coeur la survie des animaux.» 
La soirée-spectacle
Afin de récolter un important montant pour poursuivre sa bataille juridique, Nathalie Doucet organisera une soirée-spectacle mettant en vedette une jeune chanteuse de la Voix junior en 2006, un humoriste qui a fait la première partie de Lise Dion, des chanteuses avec un large répertoire musical et un band country. Un DJ poursuivra pour la fin de soirée et chaque invité recevra un cadeau alors que de nombreux articles de grande valeur seront mis à l&#8217;encan.
«Bref, pour 80 $, incluant un souper gastronomique, les gens seront bien servis, et ce, dès 17 h avec un cocktail à volonté», promet Nathalie Doucet, qui peut être jointe au 514 371-7176.
Notons que pour les représentants des refuges, l&#8217;entrée sera gratuite en après-midi lors du rassemblement. «Le but est de réunir le plus de refuges possibles pour venir dénoncer le silence des gouvernements qui ne fait rien pour aider ces gens qui quotidiennement sauvent des vies notamment en payant pour faire stériliser leurs animaux, et ce, même si certains sont dans une pauvreté extrême. Il faut que ça change!&#8221;, s&#8217;exclame Nathalie Doucet.
Un documentariste bien connu sera présent pour réaliser un tournage avec les gens des refuges et une pétition sera envoyée au nouveau gouvernement, celui qui prendra le pouvoir le 1er octobre.

Nathalie Doucet: Grand rassemblement et soirée-spectacle pour récupérer ses chats

Ces résultats ont été annoncés aux 250 participants et nombreux partenaires. Ils ont été rendus possibles grâce à de nombreuses personnalités du milieu. Merci au patron d’honneur, Tommy Pelletier, directeur, Desjardins Entreprises-Laurentides ainsi qu’aux 6 coprésidents d’honneur qui ont tous mis l’épaule à la roue pour faire de cet événement un autre succès financier pour une cause qui leur est chère.
Merci à Éric Tessier, Groupe CIS, Michel Murdock, Hybride Technologies, Pierre Dépatie, Intact Assurance, Jacques Guénette, DLGL, Richard Tremblay UNIDEV Développement et Christian Veilleux, Financière Banque Nationale.
Cet événement a aussi été rendu possible grâce au dévouement du comité organisateur composé de Marcel Renaud, Gilles Vanier, Josée Desnoyers et Jacques Tessier. Mentions spéciales à Yannick Pelletier, Banque Nationale, Sylvain Allaire, ORAM, ainsi que Daniel et Julie Lapierre, pour leur dévouement dans la vente des billets.  Mille mercis à Sylvain Venne, maître de cérémonie et à André Bernier, photographe.
Gagnant d’un séjour de rêve 
Le détenteur du billet 0056, Michel Tremblay, est l’heureux gagnant du tirage d’un séjour de rêve, pour 6 personnes, d’une semaine dans une villa de trois chambres, face à la mer, nichée dans la superbe Baie d’Indigo, sur l’île Saint-Martin. Merci à Groupe Lépine International, promoteur d’Indigo Green, pour leur collaboration.

Rappel du maire Bouchard: Mirabel est le pôle par excellence de l’industrie aérospatiale au Québec