Fort de ses années de succès au Québec, rabaischocs fait maintenant son entrée sur le marché européen. Ce déploiement outre-mer, fruit d’un partenariat avec le groupe de presse français <a href="https://www.midilibre.fr/">Midi Libre</a>, marque le début d’une nouvelle phase d’expansion qui sera bénéfique à tous les partenaires québécois de la plateforme.
Depuis quelques années, <a href="https://rabaischocs.com/">rabaischocs</a> s’est associé à une quarantaine d’hebdos et de médias régionaux et a établi des partenariats avec plusieurs centaines de marchands, partout au Québec. Avec ses offres exclusives et son concept inédit de certificats-cadeaux, il a également su se positionner comme une référence pour les consommateurs en leur permettant d’économiser tout en encourageant l’achat local. 
« <a href="https://rabaischocs.com/">rabaischocs</a> est un moyen de paiement basé sur le troc conçu par un éditeur de presse du Québec, pour des éditeurs de presse. Nous sommes très heureux de poursuivre notre expansion en sol européen avec nos partenaires français. Au Québec, c’est la participation de nos éditeurs partenaires solidement implantés dans chacun de nos marchés qui a fait de <a href="https://rabaischocs.com/">rabaischocs</a> le succès qu’il est aujourd’hui », affirme le président-directeur général de <a href="https://rabaischocs.com/">rabaischocs</a>, Pierre-Marc Langlois. 
Le lancement du portail <a href="https://rabaischocs.fr/">rabaischocs.fr</a> France, le 19 octobre prochain, s’inscrit dans la suite logique des nombreux marchés développés au cours de la dernière décennie. Notre équipe a travaillé avec ardeur à la réalisation de cette nouvelle plateforme et nous sommes très fiers du résultat.
Cette nouvelle expansion, nous en sommes convaincus, générera également des retombées importantes pour nos partenaires actuels. Ce déploiement en sol européen permettra effectivement à nos partenaires québécois d’obtenir plus de visibilité et à <a href="https://rabaischocs.com/">rabaischocs</a> de poursuivre sa croissance au Québec. 
À propos de rabaischocs 
Avec <a href="https://rabaischocs.com/">rabaischocs.com</a>, les commerçants profitent d’un meilleur accès à la publicité et rejoignent plus de clients. Les clients font des économies imbattables en achetant les certificats-cadeaux les plus avantageux au Québec. C’est toute l’économie locale qui en profite! 
<a href="https://rabaischocs.com/">rabaischocs</a> est une division du Groupe JCL, éditeur des journaux Nord Info, L’Éveil et Infos Mirabel est un joueur de premier plan de l’économie régionale sur la Rive-Nord depuis 1969. 
Pour en savoir plus: <a href="https://rabaischocs.fr/">www.rabaischocs.fr</a>

Bien qu’elle ait déposé son bulletin de candidature à la dernière minute, jeudi dernier, Me Sonia Paulus savait depuis longtemps qu’elle solliciterait un nouveau mandat à la mairie de Sainte-Marthe-sur-le-Lac. Celle qui est mairesse depuis 2005, souhaitait terminer ce qu’elle e a entamé, a-t-elle indiqué en entrevue avec le journal, vendredi.
« Il me reste des choses à accomplir et à terminer. Tous les dossiers qui concernent le bris de la digue, sont des dossiers qu’il faut terminer et bien ficeler. Étant la personne qui a été là au moment des dommages, je pense que je suis donc la personne la plus apte à représenter la Ville », a mentionné Me Paulus, admettant au passage que les quatre dernières années n’ont pas été de tout repos, elle qui a dû faire face à des attaques répétées à son endroit, mais sa passion pour la politique municipale a eu le dessus.
« Malgré tout ce qui s’est passé, j’ai encore la fibre ! Je regarde à l’interne ceux qui sont tombés au combat et qui ont pris des congés de maladie et je ne fais pas partie de ceux-là », a ajouté Me Paulus.
<h3>Une équipe complète</h3>
C’est accompagnée d’une équipe complète que Sonia Paulus fera campagne au cours des prochaines semaines. Alors que François Racine (district 8), Jean-Guy Lajeunesse (district 2), Yves Legault (district 3) et Jean-Guy Bleau (district 6) connaissent déjà les rouages de la politique municipale, eux qui sont tous les quatre des conseillers sortants, Martin Lebeau (district 1), Davy Tremblay (district 4), Carelle Ngabirano (district 5) et Stéphane Marcouiller (district 7) complètent l’équipe Paulus.
« Plusieurs personnes m’ont sollicitée pour faire partie de l’équipe. J’ai donc dû refuser des gens. Si ce sont eux que j’ai choisis c’est avant tout parce qu’ils sont représentatifs de notre population », a dit Me Sonia Paulus qui compte bien être sur le terrain au cours des cinq prochaines semaines, ce qui pour elle est gage de succès.
Me Sonia Paulus est détentrice d’un baccalauréat ès arts obtenu à l’Université de Montréal, d’une maîtrise en cinéma et d’un baccalauréat en sciences juridiques. Elle pratique le droit à titre d’avocate spécialisée en droit matrimonial dans la région.

Sainte-Marthe-sur-le-Lac: Sonia Paulus souhaite demeurer mairesse

C’est pour «sécuriser le secteur en prévision de travaux» à venir dans le plateau 3 que GBD Construction / Groupe L’Héritage, propriétaire à Saint-Joseph-du-Lac des terrains appelés Plateaux du ruisseau depuis 2008, motive sa décision d’avoir fait installer ces derniers jours des pancartes pour en interdire l’accès.
Des citoyens habitués à emprunter les sentiers qui s’y trouvent ont, en effet, eu la désagréable surprise de voir, vendredi dernier, des pancartes du promoteur GBD Construction sur lesquelles étaient inscrits en rouge «Terrain privé – Surveillance accrue &#8211; Dépense de passer sous peine de poursuite judiciaire» être installées.
«Il [GBD Construction] veut maintenant intimider les citoyens qui hésiteront dorénavant à aller se promener dans ce magnifique boisé», a notamment déploré une citoyenne dans un courriel envoyé à votre hebdo L’ÉVEIL pour faire état de la situation qui avait alors cours.
Invité à émettre ses commentaires, GBD Construction / Groupe L’Héritage a tenu, tout en se disant «heureux» d’avoir permis aux citoyens de se promener librement sur ses lots depuis une dizaine d’années, à mentionner que 43 unités d’habitations seront construites dans le secteur du plateau 3, ce qui entraînera l’arrivée de machineries lourdes; d’où l’installation de ces pancartes. Constatant que certains marcheurs s’y promènent encore depuis, le promoteur a indiqué que des clôtures ou autres dispositifs de sécurité seront installés d’ici peu
<h3>Litige avec la Municipalité </h3>
Ces évènements surviennent au moment même où la Municipalité de Saint-Joseph-du-Lac a entrepris, en août dernier, des démarches judicaires pour exproprier une grande partie des terrains dans ce secteur, des espaces résiduels non ‘’construisibles’’ d’une superficie de 1,7 million pi2 selon les chiffres du promoteur.
«Des négociations ont lieu afin de déterminer ce qui adviendrait des terrains résiduels où il n’y aurait pas de projet immobilier […] Le promoteur a offert ces terrains résiduels à la Municipalité comme frais de parc. La Municipalité a plutôt choisi de recevoir un paiement en argent au lieu de devenir propriétaire des terrains», de faire savoir Patrick Howe, porte-parole de l’entreprise dans un communiqué de presse acheminé lundi dernier à L’ÉVEIL.
Se disant conscient de l’intérêt des citoyens à l’égard de ces terrains, M. Howe reconnait qu’il existe toutefois une divergence d’intention sur les terrains résiduels qui ne seront pas construits. «Le promoteur tient à rappeler qu’il a respecté ses engagements en tout respect de la réglementation, qui n’exige qu’une contribution de 10 % pour frais de parc», précise-t-on dans le communiqué.
Aussi, le promoteur s’insurge de voir que la procédure d’expropriation concerne 1,7 million de pieds carrés, alors que les frais de parcs, dit-il, représentent 240 000 pieds carrés. «Il s’agit d’une superficie sept fois plus élevée que la réglementation l’oblige. C’est une énorme différence. GBD Construction / Groupe L’Héritage rappelle que la cession des terrains de 1,7 million pi2 n’est pas automatique et que ces terrains pourraient rester des terrains privés», de souligner GBD Construction.
L’entreprise dit vouloir, enfin, «poursuivre les discussions de bonne foi avec la Municipalité afin de trouver une solution permettant aux citoyens de pouvoir continuer de profiter de ce terrain», mais qu’une rencontre tenue dans la semaine du 20 septembre dernier, durant laquelle une proposition de compromis a été présentée. «n’a pas permis de dénouer l’impasse».
Tout en précisant que terrain appartient à GBD Construction, la Municipalité de Saint-Joseph-du-Lac a choisi, pour sa part, de ne pas commenter la situation.
Le communiqué de presse de GBD Construction peut être consulté sur le [<a href="https://www.gestionbenoitdumoulin.com/pdf/GBD-Construction-communique-2021-10-04.pdf">https://www.gestionbenoitdumoulin.com/pdf/GBD-Construction-communique-2021-10-04.pdf</a>].

rabaischocs fait son entrée en Europe