«Pour moi, un gouvernement responsable est un gouvernement qui ne gère pas les finances publiques en fonction des prochaines élections, mais bien en fonction des prochaines générations», a souligné Maikel Mikhael.
«J’ai une famille et lorsque nous faisons notre budget, nous sommes prévoyants, responsables et modérés. À mon avis, c’est exactement comme ça qu’un gouvernement devrait se comporter avec les finances publiques qui lui sont confiées et non pas données, faut-il le rappeler», de poursuivre le candidat conservateur.
Malheureusement, de l’avis de Maikel Mikhael, le premier ministre Trudeau et son gouvernement se comportent exactement à l’opposé. «Ils endettent la population canadienne de façon immonde et scandaleuse, et ce, dans une période de croissance économique soutenue.»
Une promesse brisée
Le candidat dans Rivière-des-Mille-Îles ajoute que Justin Trudeau a brisé sa promesse d’un retour à l’équilibre budgétaire en 2019. «Pire, il nous laisse un déficit anticipé d’environ 20 milliards qui viendra grossir la dette de 70 milliards de plus, alors que le précédent gouvernement conservateur leur avait laissé un surplus d’environ 2 milliards. Dans le seul mois d’août 2019, le premier ministre a procédé à des annonces de plus de 12 milliards de votre argent avec 4 500 annonces à l’aube de la campagne électorale.»
Le conservateur explique également que pour payer pour ses dépenses incontrôlées, Justin Trudeau devra réduire le financement de l’éducation ou augmenter les impôts des familles de la classe moyenne. «C’est exactement ce qui est arrivé dans les années 1990 quand une dette énorme a obligé les libéraux à faire des compressions douloureuses dans les dépenses pour la santé et l’éducation.»
Pour terminer, Maikel Mikhael a dit: «Comme député de Rivière-des-Mille-Îles, si naturellement la population m’accorde sa confiance, je m’emploierai à épauler notre gouvernement conservateur afin de retrouver l’équilibre budgétaire au terme de notre premier mandat, le tout sans couper dans les services directs aux citoyens ni non plus en coupant les transferts aux provinces afin que celles-ci s’acquittent de leurs missions en éducation, en santé et dans les autres sphères.»
Selon le candidat conservateur, les gouvernements libéraux ont toujours donné le signal que l’argent poussait dans les arbres ou dans les poches des contribuables. «Le scandale des commandites en est un bon exemple. Nous sonnerons la fin de la récréation sans pour autant priver les citoyens des services auxquels ils ont droit afin que les citoyens en aient plus pour eux dès maintenant.»
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