Pour chaque bouteille de vin blanc vendue les 26, 27 et 28 mai, 1 $ sera remis à la cause. Pour faire plus, les clients seront invités à faire un don supplémentaire à la caisse, et ce, à compter du 22 mai pour faire une réelle différence dans la vie des familles en difficulté.
Un vin blanc pour l’aide alimentaire
« En 2011, nous avons fait de l’aide alimentaire notre cause d’entreprise afin de soutenir les Québécois qui ne mangent pas à leur faim. Depuis, grâce au dynamisme de nos employés et à la participation de nos clients, le don que nous remettons à BAQ n’a cessé de croître. C’est une grande fierté pour le SAQ de redonner à la communauté dans toutes les régions du Québec », a déclaré Catherine Dagenais, vice-présidente, stratégie commerciale et expérience clients. « Les 26, 27 et 28 mai, passez dans votre SAQ préférée ou visitez SAQ.com et procurez-vous un vin blanc pour une bonne cause. Et pourquoi ne pas en profiter pour faire un don à la caisse? Vous aurez une semaine complète pour le faire. C’est si bon d’être généreux! », A-t-elle renchéri.
Appui financier qui fait la différence
« Le réseau des Banques alimentaires du Québec répond à plus de 1,8 million de demandes d’aide alimentaire d’urgence chaque mois. La contribution que nous remet la SAQ chaque année est notre plus important don en argent. Il nous permet non seulement de répondre aux demandes d’aide qui nous sont adressées, mais aussi de bâtir des projets porteurs pour soutenir les gens dans le besoin. Grâce au soutien financier de la SAQ, les Moisson à travers le Québec peuvent notamment récupérer plus de nourriture dans les épiceries tout en respectant les plus hauts critères de salubrité », a déclaré Annie Gauvin, directrice générale du réseau des Banques alimentaires du Québec.
L’an dernier, grâce à la généreuse contribution des clients SAQ de la région des Laurentides, Moisson Laurentides a reçu 43 199$.
 
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Bien qu’il ait déjà amassé plus de 65 000 $, Jérémie Piano de Saint-Eustache poursuit ses démarches afin de récolter suffisamment d’argent pour pouvoir aller se faire soigner en Allemagne. Les médecins ont signifié au jeune homme atteint d’une forme rare de cancer des os qu’ils ne pouvaient plus rien pour lui au Québec.
«Nous ne sommes plus très loin du but. Ensemble nous y arriverons!» écrivent ses proches sur la page Facebook qu’ils ont créée, «Le combat de Jérémie Piano» , sur laquelle ils donnent régulièrement des nouvelles de Jérémie, 22 ans, en plus d’y récolter des dons et y annoncer les activités de financement à venir.
L’une des plus récentes activités-bénéfice, un souper spaghetti tenu dans les locaux de d’Hydraumobile GNS à Mirabel en présence de 450 personnes, a permis de récolter 18 000 $. Le week-end dernier, le Club d’escrime Olympia de Longueuil remettait 1 040 $ à la cause.
La prochaine activité, le Méga Party Jérémie Piano, se déroulera ce samedi 27 mai, dès 17 h 30, au 3014, chemin d’Oka à Sainte-Marthe-sur-le-Lac. Pour l’occasion, on servira un méchoui, en plus d’ouvrir aux visiteurs une piste de danse. Il faut réserver sa place en communiquant par message texte avec Élodie au 514 290-7434. Le coût d’entrée est de 30 $ pour les adultes et de 10 $ pour les enfants de 12 ans et moins. Tous les profits iront à la cause.
«Il faut continuer de donner!» insistent ses proches qui dirigent ceux et celles qui souhaiteraient contribuer à la cagnotte vers la page GoFundMe «Le Combat de Jérémie» .
<h3>Retour sur les faits</h3>
À 18 ans, alors qu’il posait régulièrement des planchers à quatre pattes, Jérémie ressentait de vives douleurs aux genoux. Un an après s’être fait prescrire des anti-inflammatoires par un médecin, la douleur était toujours présente.
«Ma jambe était rendue énorme. En me faisant passer un scan, les médecins ont découvert une tache noire de 16 centimètres de long dans ma jambe. C’est à la suite de cette découverte qu’on m’a annoncé que j’avais le sarcome d’Ewing, un rare cancer des os» , racontait Jérémie lorsque nous l’avions rencontré. Il avait par la suite appris que son foie, son bassin, sa colonne vertébrale et son fémur étaient également touchés.

Ils ont cru longtemps à ce projet: Gilles Vaillancourt, Guy Ricard et Nycole Pepper.

Le combat de Jérémie se poursuit

C’est en présence de nombreux élus, partenaires et invités de marque que l’on a procédé, vendredi, à l’inauguration de l’Espace Leadership Esther Gilbert. Ce local, aménagé à la fine pointe de la technologie, servira aux étudiants du collège Lionel-Groulx qui poursuivent des études dans le domaine technique afin de mieux préparer leur avenir professionnel.
Situé au premier plancher de la Caisse Desjardins Thérèse-De Blainville, boulevard Curé-Labelle à Sainte-Thérèse, l’Espace Leadership Esther Gilbert a été rendu possible grâce à la Fondation du Collège Lionel-Groulx, en collaboration avec la Caisse Desjardins Thérèse-De Blainville.
Alors que la Caisse Desjardins Thérèse-De Blainville a participé au projet à la hauteur de 425 000 $, sur 5 ans, la Fondation du Collège Lionel-Groulx a investi 225 000 $, sur 5 ans également. Cette somme provient d’un don octroyé par Esther Gilbert.
«Il y a environ 5 ans, a mentionné Mme Gilbert, ancienne présidente-directrice générale de Vulcan Hoist, un fabricant d’outils de levage, je suis venue visiter le collège Lionel-Groulx. J’ai été séduite par le dynamisme, l’énergie et la créativité qui s’en dégageaient par sa communauté étudiante et son personnel. C’est à ce moment-là que j’ai décidé de faire un don substantiel à la Fondation du Collège Lionel-Groulx afin de donner un coup de pouce aux étudiantes et aux étudiants.» 
Sur une base annuelle, l’Espace Leadership Esther Gilbert permettra aux étudiants des programmes de Gestion de commerces, de Techniques de la bureautique et de Techniques de comptabilité et de gestion du Collège Lionel-Groulx de profiter d’un environnement pédagogique innovant, axé sur l’apprentissage par projet et sur la mise en œuvre d’une variété de situations pratiques. Ce projet, assuré pour la période 2017-2022, permettra également de favoriser les liens avec la communauté d’affaires de la région des Basses-Laurentides.
Dans leur cheminement vers l’obtention du diplôme d’études collégiales, les étudiants pourront y simuler des situations réelles en milieu de travail.
«Chaque année, ce sont plus de 750 étudiants qui profiteront de ce lieu qui se veut un tremplin» , a affirmé Paul Paré, président de la Fondation du Collège Lionel-Groulx, qui a par ailleurs profité de l’occasion pour annoncer la création d’une bourse de 5 000 $ qui portera le nom de Mme Gilbert. Celle-ci sera remise à un étudiant qui démarrera son entreprise à la fin de ses études.
<h3>À la fine pointe</h3>
Installé au siège social de la Caisse Desjardins Thérèse-De Blainville, cet espace de 1 700 pieds carrés est aménagé et équipé d’îlots de travail pouvant accueillir 32 étudiants. L’Espace est équipé d’ordinateurs portables et des dernières technologies, afin de pouvoir recréer l’environnement de travail dans lequel œuvrent les travailleurs d’aujourd’hui.
La Fondation prêtera également la salle de conférence dont elle dispose, située dans le même établissement, aux étudiants du collège Lionel-Groulx afin de leur offrir un espace de travail plus spacieux et privé.
«La Fondation est fière, encore une fois, de contribuer à la réussite des étudiants, a déclaré Jocelyne Roch, directrice générale de la Fondation du Collège Lionel-Groulx. Les étudiants pourront profiter d’un espace novateur réservé pour tisser des liens avec la communauté et réaliser des stages faisant partie intégrante de leur parcours au collégial.» 
«Fidèle à sa mission, a renchéri le président du conseil d’administration de la Caisse, Gilles Pilon, la Caisse Desjardins Thérèse-De Blainville est très fière de participer à la réussite académique de la relève en supportant une initiative innovante et porteuse de développement, pour le présent et l’avenir de nos jeunes et de notre région.» 
Le directeur général du Collège Làionel-Groulx, Michel Louis Beauchamp, a conclu en affirmant que ce projet s’inscrit dans la même veine que les liens privilégiés que l’institution tisse avec ses partenaires et qui ont mené celle-ci à développer une expertise professionnelle.
«Ce projet porteur jette un souffle nouveau dans le domaine de l’éducation, a-t-il dit. Cet espace vient consolider le développement global de nos diplômés. Merci à la Caisse et à la Fondation.» 
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Le directeur général du Collège Lionel-Groulx, Michel Louis Beauchamp, heureux de procéder à l’inauguration de l’Espace Leadership Esther Gilbert.

Les Vins généreux sont de retour à la SAQ