Amorcée depuis le jeudi 18 avril dernier, la troisième édition de la Semaine des bières de micro du Québec, organisée par l’Association des microbrasseries du Québec (AMBQ), se poursuit jusqu’au dimanche 28 avril prochain. Avec quelque 330 microbrasseries au Québec, dont plusieurs opérant dans notre région, il va sans dire que cet événement permettra au grand public d’en connaître davantage sur celles-ci qui, malgré la conjoncture économique, continuent leur croissance. Proposant encore une fois cette année une programmation variée aux quatre coins du Québec dans plus de 60 microbrasseries participantes, l’événement saura plaire autant aux grands connaisseurs brassicoles, qu’aux simples curieux qui souhaitent en découvrir davantage sur la bière. Dans la région immédiate, parmi les activités au programme, j’attire à votre attention sur l’ouverture de la terrasse et la dégustation de bières à la microbrasserie Noire et Blanche, à Saint-Eustache; le lancement de la « Smoothie Pina Colada » par Relais Boréale, à Blainville ; et la dégustation de bières à la boutique Le Baril à Volonté, à Saint-Eustache. D’autres détails sur cette programmation de la Semaine des bières de micro du Québec sont disponibles via le <a href="https://sbmq.ca/">https://sbmq.ca/</a>.



Et pour poursuivre dans cette même veine, je signale que ce sera la huitième édition de la Semaine du cidre du 2&nbsp;au 12&nbsp;mai prochain. Pour rappel, ce rendez-vous annuel est organisé par les Producteurs de cidre du Québec, en collaboration avec Aliments du Québec, et invite les adeptes et amateurs de cidre à découvrir un peu plus ce produit de la pomme et à le mettre à l’honneur en tout temps. Plusieurs cidreries, détaillants et bars et restaurants ont ainsi prévu une multitude d&#8217;activités mettant le cidre du Québec à l&#8217;honneur, qu’il s’agisse de visites guidées dans des cidreries, du lancement de nouveautés, d’ateliers de dégustation, d’accords mets et cidres, de promotions exclusives et bien d&#8217;autres encore&nbsp;! La programmation, qui sera continuellement mise à jour jusqu&#8217;au début mai, peut être consultée via le <a href="https://cidreduquebec.com/semaineducidre/programmation/">https://cidreduquebec.com/semaineducidre/programmation/</a>.



Sur ce, bonne semaine et bonnes dégustations, ici chez vous !

Un pas en ce sens a été franchi lors d’une séance extraordinaire tenue le mercredi 17&nbsp;avril dernier, alors que les membres du conseil municipal ont entériné l’achat, pour un coût de 9,1&nbsp;M$, du terrain et du bâtiment de la 25e&nbsp;Avenue. Cette somme sera puisée à même la réserve non affectée de la Ville, a-t-on précisé dans un communiqué de presse.



Non seulement les 90 policiers et employés du Service de police logeront à cette nouvelle adresse, mais aussi leurs 14 collègues du Service des technologies de l’information qui se retrouveront alors tous sous « un même toit ».



Également, la Ville utilisera le vaste terrain entourant le bâtiment actuel pour y relocaliser la fourrière municipale qui est située sur le site de l&#8217;ancienne caserne de pompier de la 25e Avenue, juste à côté de l’ancien magasin BMR. Elle occupera la même superficie que celle dont elle dispose actuellement, à savoir 4&nbsp;478&nbsp;m² (48&nbsp;175&nbsp;pi²).



<h2>Une réelle opportunité</h2>



«&nbsp;Il y a déjà un bon moment que nous composons avec un manque d’espaces adaptés pour les besoins de différents services. L’acquisition du terrain et du bâtiment du magasin BMR représentait donc pour nous une réelle opportunité, que nous devions saisir, puisqu’elle nous permettra de régler une problématique bien présente et de gagner en efficience. Et ce, sans ajouter à la dette et à coût infiniment moindre que s’il avait fallu bâtir sur un nouveau terrain&nbsp;», d’expliquer, dans un communiqué de presse, le maire de Saint-Eustache, Pierre Charron, au lendemain de cette séance extraordinaire.



Précisions que le Service de police loge à l’actuel poste de police depuis 1986 et que les plus récentes rénovations datent de 2008. «&nbsp;Le poste actuel n&#8217;a plus la capacité de loger autant de personnes. Des rénovations au bâtiment actuel engendreraient énormément de coûts étant donné le type de construction (amiante et autres) et qu&#8217;il faudrait doubler la superficie du poste actuel, ce qui est impossible sur le terrain actuel&nbsp;», a précisé par courriel la Ville à votre hebdo L’ÉVEIL pour expliquer plus en profondeur les raisons de cette décision.



Devenu subitement disponible, le site de l’ancien magasin BMR s’avère donc, pour la Ville de Saint-Eustache, une solution adéquate de relocalisation parce qu&#8217;il a suffisamment de superficies pour les besoins actuels et futurs du Service de police. «&nbsp;[en outre]&nbsp;le bâtiment est déjà en place et ne nécessite que des aménagements au lieu d&#8217;une construction complète, ce qui accélère le déménagement. Finalement, il se trouve géographiquement bien situé avec un accès rapide à l&#8217;autoroute nous permettant de nous déplacer dans tous les secteurs de la ville&nbsp;», ajoute-t-on comme raisons additionnelles.



Quant au regroupement de tous les employés du Service des technologies de l’information à un même endroit, cela favorisera «&nbsp;une meilleure collaboration, une plus grande efficacité en offrant un environnement de travail unifié [et] un temps d’intervention plus rapide, puisque situé à proximité des centres névralgiques de la ville&nbsp;».



Le Service de police de la Ville de Saint-Eustache bénéficiera en outre de cette nouvelle proximité du Service des technologies de l’information puisque celui-ci joue déjà un rôle central dans l’utilisation des technologies par le secteur policier.



<h2>Un échéancier d’au plus trois ans</h2>



Enfin la Ville de Saint-Eustache a indiqué dans son communiqué de presse qu’elle se donne un horizon d’au plus trois ans pour adapter le bâtiment aux besoins des services et finaliser leur installation.



« Celle-ci se fera graduellement, au rythme des aménagements complétés. Outre ses dimensions et ses commodités, ce bâtiment vert offre de plus d’intéressantes caractéristiques que nous aurions voulu inclure dans une nouvelle construction, soit un chauffage et une climatisation par géothermie, qui nous feront réaliser d’importantes économies dans le futur&nbsp;», a ajouté M. Charron.



Quant aux bâtiments municipaux actuellement occupés par les services concernés, ils feront ultérieurement l’objet d’une vente, «&nbsp;ce qui permettra d’amortir considérablement les coûts d’acquisition et d’aménagement&nbsp;», de conclure le maire Charron.

Saint-Eustache : Le Service de police déménagera sur la 25e Avenue

En effet, CPDQ Infra repousse à nouveau la mise en service de l’antenne Rive-Nord, incluant la portion en territoire deux-montagnais, mais aussi de l’antenne Anse-à-l’Orme, dans l’ouest de l’île de Montréal..



Prévue initialement pour la fin 2023, puis reportée successivement à l’automne 2024 et à la fin de l’année 2024, cette mise en service tant attendue doit être repoussée en raison des travaux « d’une grande complexité » qu’il reste à compléter dans le tunnel Mont-Royal, a confirmé dans une mise à jour publiée, ce mercredi 24 avril, CDPQ Infra, filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) en charge du projet.



Si CPDQ Infra n’a pas voulu s’avancer dans sa mise à jour sur un nouvel échéancier, des informations obtenues par certains médias de Montréal, dont La Presse et Radio-Canada ont fait état, la mise en service du REM sur l’antenne Rive-Nord ne serait pas prévue pour les premiers mois de 2025, mais bien au-delà, peut-être même pas avant la fin de l’année 2025. Sur le site de CPDQ Infra, la mention « à venir » figure désormais comme nouvelle échéance.



Plus de détails à venir…

Les microbrasseries et cidreries du Québec à l’honneur