Le Défi 28 jours sans alcool est une campagne de sensibilisation visant à encourager les personnes à prendre une pause dans leur consommation d&#8217;alcool pendant un mois, soit du 1er au 28 février. C’est une occasion de mettre en lumière les bienfaits observés sur la santé physique et mentale et de sensibiliser les gens aux problèmes liés aux dépendances. Cette campagne vise également à financer des activités de prévention chez les jeunes de la Maison Jean Lapointe en s’inscrivant au coût de 28 $ minimum.



<h2>Objectif de 1,5 M$</h2>



Cette année, l&#8217;initiative de collecte de fonds veut amasser 1 500 000 $ pour assurer la pérennité des ateliers de prévention auprès des jeunes, en plus de conscientiser 25 000 Québécois sur la place de l&#8217;alcool dans leur vie.&nbsp;



« Dans les dix dernières années, on a remarqué que les jeunes sont encore et toujours influencés par des tendances majeures de consommation. L’alcool est encore toujours aussi présent, mais il y a eu des vagues qui ont affecté la santé de nos jeunes, pensons aux boissons énergisantes, et maintenant le vapotage de cannabis (wax pen), souligne Louis-Raymond Maranda, directeur général de la Fondation Jean Lapointe. On veut continuer d’aider les jeunes à prendre des décisions éclairées grâce aux ateliers financés par l’inscription des participants au Défi 28 jours. »



<h2>Nouveautés 2023</h2>



Cette année encore, Anouk Meunier et Jean-Michel Anctil ont accepté de prêter leur voix à la cause. Ils seront entourés de plusieurs ambassadeurs, notamment l&#8217;humoriste et comédienne Léane Labrèche-Dor, le mixologue Maxime Boivin, la chanteuse Anik Jean, Catherine de Sève, Ève Salvail et de plusieurs autres.&nbsp;



Les participants pourront se joindre à l’équipe de leur choix via la nouvelle plateforme disponible au <a href="http://www.defi28jours.com/" target="_blank" rel="noreferrer noopener">www.defi28jours.com</a>. Ils pourront vivre l’expérience en solo et/ou former des équipes, en plus de relever le défi selon le niveau choisi. En effet, trois niveaux de participation sont offerts, soit bronze, argent et or, pour ceux qui désirent moduler leur expérience pour la semaine, la fin de semaine ou en tout temps pendant le mois de février.&nbsp;



Cette année,&nbsp;la Fondation compter sur un partenaire exclusif sans alcool, Groupe Triani et sa marque Hickson. Les 2 000 premiers participants faisant un don de 128 $ recevront une boîte remplie de produits sans alcool, dont des produits Hickson (gin et bière) sans alcool et un Gin Oshlag sans alcool.&nbsp;

Devenu une activité incontournable pour souligner la fête de la Saint-Valentin, ce Choco-Vin se veut aussi l’occasion d’appuyer les différentes œuvres soutenues par les membres du Club Kiwanis Saint-Eustache.



Les billets pour participer à ce Choco-Vin sont disponibles auprès des membres du Club Kiwanis Saint-Eustache au coût de 200 $ par personne ou de 1 700 $ pour une table de huit personnes.



Plusieurs gens d’affaires appuient cette année l’activité, dont Normand Yergeau (Beauward Immobilier), Michel Constantin (Salles de réception Constantin), Marcelle Dupuis (Fleuriste Coquelicot), Michel Langlois (Groupe JCL), et Jean-Pierre Hans (restaurant L’impressionniste), photographiés ici (voir ci-haut) en compagnie de Michel Prévost, président d’honneur, Majorie Boyer, présidente du Club Kiwanis Saint-Eustache, et Roger Hamel, président du comité organisateur.



Pour d’autres renseignements, il suffit de joindre M. Hamel au 514 705-9060 ou par courriel, à l’adresse <a href="mailto:roger.hamel40@gmail.com">roger.hamel40@gmail.com</a>.

Commanditaires de la 10e édition du Choco-Vin du Club Kiwanis

Réagissant, après s’être accordé un moment de réflexion, à la décision du conseil municipal de Saint-Joseph-du-Lac de ne pas aller en référendum pour décider du sort de l’entente qui avait été conclue l’été dernier avec GBD Construction afin de préserver ce boisé situé immédiatement au sud de l’autoroute&nbsp;640, les deux organismes sont d’avis que les élus joséphois doivent tenir compte de ce fait avant de délivrer tout permis de construction.



Rappelons que ce sont neuf bâtiments de type unifamilial contigu de cinq logements, pour un total de 45&nbsp;logements, qui doivent être érigés sur une superficie de&nbsp;2,2&nbsp;hectares (280 000 pieds&nbsp;carrés) dans ce secteur. Pour ce faire, il faudra notamment prolonger une rue existante jusqu’au haut du plateau&nbsp;3.



«&nbsp;Il faut savoir que pour mener à terme sa construction, le promoteur devra détruire une partie d’un milieu humide situé à sa base, couper de nombreux arbres sains et matures en plus d&#8217;empiéter sur un talus codifié à risque de glissement de terrain par le gouvernement du Québec. Malgré la construction d’un étang pour capter les eaux de ruissellement que le sol et les arbres ne pourront plus absorber, les citoyens riverains demeurent inquiets des risques de dommages accrus à leur propriété reliés aux changements climatiques, qui n’iront qu’en augmentant à l’avenir&nbsp;», de commenter Jean Baril, porte-parole de REgarde citoyen!, qui mentionne que son organisme a souhaité, dans toute cette démarche de consultation, laisser aux citoyens concernés le soin de décider du sort de cette entente et de ce qu’elle impliquait en terme de densification.



<h2>Un effort collectif pour protéger les milieux naturels</h2>



Aux yeux de M. Baril, comme cette zone du plateau&nbsp;3 est identifiée comme étant à risque de glissement, la Municipalité de Saint-Joseph-du-Lac a le devoir de prendre en considération ce fait et devrait refuser ce projet de construction.



Pour sa part, Sylvie Clermont, porte-parole de la Coalition Arbres en tête, ajoute que la MRC de Deux-Montagnes et, notamment dans le dossier du plateau&nbsp;3, la Municipalité de Saint-Joseph-du-Lac doivent aussi participer à l’effort collectif de protéger 30&nbsp;% de leur territoire afin d’assurer la protection d’un plus grand nombre de milieux naturels.



«&nbsp;Il faut savoir qu’en dehors de sa zone agricole, la municipalité de Saint-Joseph-du-Lac ne possède plus que 4,25&nbsp;% de couverture forestière propice à accueillir et préserver la biodiversité, en date de 2019. Nous sommes très loin des cibles minimales édictées par les scientifiques et défendues par la mairesse de Montréal, Valérie Plante, lors de la COP15, et pourtant nous continuons à agir comme si de rien n’était. Il est désolant de constater que la destruction de nos écosystèmes au nom du profit d&#8217;une minorité est toujours soutenue par nos dirigeants. Notre maison est en feu et nous continuons de regarder ailleurs&nbsp;», se désole Mme Clermont.



<h2>Une pétition de 4 000 signatures à venir</h2>



«&nbsp;Plusieurs organismes de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM), universitaires, biologistes et groupes environnementaux affirment clairement que la sauvegarde de nos forêts et boisés urbains ainsi que nos terres agricoles nous force à passer de l’étalement urbain, qui gruge et détruit nos territoires, à une saine densification. Ils font également la promotion de l’importance de maintenir une ceinture verte pour freiner l’étalement urbain. Que ce soit au nord ou au sud de l’autoroute&nbsp;640, cette ceinture verte encore présente dans la municipalité de Saint-Joseph-du-Lac. Il suffit de voir l’état de la ville voisine, Sainte-Marthe-sur-le-Lac, pour comprendre immédiatement ce que nous voulons dire&nbsp;», signale Mme Clermont.



En ce début d’année 2023, la Coalition Arbres en Tête, qui regroupe des citoyens de Saint-Joseph-du-Lac, Sainte-Marthe-sur-le-Lac, Deux-Montagnes, Saint-Eustache et Pointe-Calumet souhaitant se porter à la défense des derniers habitats naturels en milieu urbanisé, annonce qu’elle déposera aux maires et conseillers municipaux de ces municipalités, une pétition de près de 4&nbsp;000&nbsp;signataires pour souligner l’importance de protéger ces habitats naturels. «&nbsp;Le message est clair! Nous ne pouvons plus continuer comme avant, c’est-à-dire couper à blanc nos forêts et boisés urbains pour construire des édifices, des habitations ou tout autre projet qui risque de mettre en péril l’avenir de nos enfants, de nos petits-enfants et des générations futures. Il est temps de changer de paradigme&nbsp;! Nous espérons pouvoir compter sur la MRC Deux-Montagnes et la CMM pour jouer un rôle majeur dans ce dossier […] Pour notre part, nous sommes prêts à nous impliquer concrètement dans des projets restaurateurs de nos écosystèmes abîmés&nbsp;», de conclure la porte-parole de la Coalition Arbres en Tête.

Le Défi 28 jours sans alcool de retour pour une dixième année

Objectif de 1,5 M$

Nouveautés 2023