Cet événement gourmand et festif se déroulera le vendredi 8 juillet, de 17 h à 22 h, entre les rues Saint-Nicolas et de la Banque, sur le site du marché public du Vieux-Saint-Eustache.



« Cet événement est une occasion en or d’enfin nous rassembler, de partager un bon repas, et d’encourager nos commerçants locaux, de dire le maire de Saint-Eustache, Pierre Charron. Nous avons attendu longtemps avant de pouvoir célébrer la fin de ces travaux, et nous avons décidé de faire ça en grand! ».



<h2>Un souper en plein air des plus conviviaux</h2>



Les participants pourront se procurer, auprès de certains fidèles exposants du marché public du Vieux-Saint-Eustache et de commerçants présents pour cette soirée seulement, des mets de type prêt-à-manger qui seront vendus sur place, dont, entre autres, des paëllas, des pizzas cuites au four à bois, des hot-dogs gourmets. Du vin, de la bière et des cocktails pourront aussi être vendus aux personnes âgées de 18 ans et plus (avec pièce d’identité).



Les convives pourront s’asseoir à l’une des tables installées sur le site, sous des chapiteaux, pour y déguster leur repas, dans une ambiance décontractée, ayant pour toile de fond la rue Saint-Eustache. Un trio de jazz agrémentera le souper, tandis qu’un service de maquillage pour enfants divertira les tout-petits durant cette soirée haute en couleur.



Il s’agit d’une belle occasion de souligner le début de la saison estivale en famille ou entre amis, tout en soutenant l’économie locale et en faisant de belles découvertes parmi nos restaurateurs et producteurs d’ici.



« Nous aimerions remercier chaleureusement tous les commerçants de la rue Saint-Eustache qui ont été si compréhensifs durant toute la durée des travaux, de dire Michèle Labelle, présidente de la Commission de revitalisation du Vieux-Saint-Eustache. La Ville est fière d’avoir mandaté Tourisme Basses-Laurentides pour l’organisation de ce bel événement, en collaboration avec l’organisme économique IDÉ Saint-Eustache. »



L’événement est ouvert à tous et à toutes, aucune réservation n’est requise. De plus, la soirée aura lieu beau temps, mauvais temps. Pour tous les détails, visitez le <a href="http://www.marchepublicvse.com">www.marchepublicvse.com</a>.

C’est la réalité de Souvanh, un homme de 42 ans, employé dans une rôtisserie St-Hubert, qui veut quitter le logement qu’il occupe depuis huit ans dans Les Laurentides pour se rapprocher de son nouvel emploi à Saint-Eustache.&nbsp;



« Je ne trouve rien depuis des mois. Quand je trouve, c’est trop cher ou j’arrive trop tard. J’ai l’impression de jouer à la loterie et de ne jamais obtenir la bonne boule du boulier » lance-t-il d’un air découragé.



« Certainement que c’est dur pour le moral. Ce n’est pas parce que je n’essaye pas. J’ai dû faire des dizaines de visites. Le dernier logement visité était à moi après avoir répondu avec succès à de nombreuses questions et rempli d’innombrables papiers. Quand je suis allé chercher les clefs, le propriétaire m’a dit qu’il venait de louer à une autre personne. Que s’est-il passé? », se demande Souvanh, avant de laisser tomber un long soupire.&nbsp;



L’homme célibataire ne croit pas que ses origines asiatiques soit la raison, lui qui parle français sans accent prononcé. « J’ai eu de « petits » problèmes avec mon crédit, car la pandémie a été plus difficile pour certains, mais j’ai toujours bien payé mon logement et j’ai de bonnes références. Malgré tout, c’est ma sœur qui me dépanne en m’hébergeant, le temps que je trouve ».



Saint-Jérôme aussi



Vanessa, elle, assure avoir un bon dossier de crédit et un emploi stable, mais elle ne parvient pas plus à dénicher la perle rare à Saint-Jérôme.



Pourtant, elle en a feuilleté des petites annonces dans les journaux et navigué des heures sur le web dans les spotteds de logements à louer, mais peine perdue. Elle cherche toujours.&nbsp;



« Je&nbsp;suis une personne tranquille qui cherche un 3 et demi ou 4 et demi pour recevoir ma petite fille quelques fois. Mon propriétaire est très gentil et il a compris que je voulais plus grand. Je suis une femme qui ne fume pas, ne boit pas et ne se drogue pas ».



Mirabel et Blainville, pas plus



Mère monoparentale avec deux petites mignonnes fillettes de 6 et 8 ans, Julie a publié plusieurs fois son annonce sur différents sites pour démontrer l’urgence de changer adresse dans la région de Mirabel.&nbsp;



« Je suis prête à payer le premier et le dernier mois en avance. J’ai peur d’être jetée à la rue avec plus rien et deux jeunes enfants en charge », a-t-elle confiée disant être une maman désespérée.&nbsp;



Une crainte partagée par Mario à Blainville. L’homme de 64 ans, vivant seul, pas d’animaux, cherche un 3 et demi en précisant qu’il a un faible budget, genre 600$ par mois, incluant tous les frais. « J’aurais pensé qu’un bon Samaritain m’aurait téléphoné, mais non. J’ai plus de chance de recevoir un appel du Pape que d’un propriétaire non véreux », dénonce-t-il avec véhémence.&nbsp;&nbsp;&nbsp;



Une première politique métropolitaine d’habitation



Devant cette crise du logement qui frappe partout au Québec, particulièrement dans le Grand Montréal, la&nbsp;Communauté métropolitaine de Montréal tiendra cet automne des consultations publiques sur le premier projet de Politique métropolitaine d’habitation, qui propose 41 pistes d’action qui s’articulent autour de 3 grandes orientations, dont la plus importante est celle d’assurer l’abordabilité du logement&nbsp;afin de répondre aux besoins des ménages, notamment des familles, qui éprouvent de plus en plus de difficulté à trouver un logis respectant leur capacité de payer et correspondant à leurs besoins.&nbsp;



Notons que plus de 200 000 ménages locataires à faible revenu consacrent plus de 30&nbsp;% du budget mensuel pour se loger.

1er juillet: Des locataires toujours sans logement 

Ainsi, pendant la soirée, La Mutuelle des municipalités du Québec a remis une bourse de 2 500 $ à trois membres de l&#8217;ADGMQ afin qu’ils puissent parfaire leurs connaissances à l’Institut de leadership en gestion.



Grâce aux Bourses MMQ, les lauréats pourront participer à des certifications de haut calibre favorisant l’atteinte d’un niveau de leadership supérieur et ainsi développer leurs compétences professionnelles.



Cette année, les membres de l’ADGMQ qui se sont vu décerner une bourse pour le Programme court en leadership ou le Programme Femmes leaders sont&nbsp;:



<ul><li>Charles-Élie Barrette, directeur général de la Municipalité d’Oka;</li><li>Mme Marie-Hélène Dupont, directrice générale de la Ville d’Amqui;</li><li>Frédéric Martineau, directeur général de la Ville de Richelieu.</li></ul>



Rappelons que M. Barrette a nommé directeur général de la Municipalité d&#8217;Oka depuis janvier 2021. Il avait précédemment occupé des postes de directeur général adjoint et de directeur de l’urbanisme et de l’environnement pour cette même municipalité avant cette nomination.

La rue Saint-Eustache se transformera en « grande tablée du marché » le 8 juillet

Un souper en plein air des plus conviviaux