Préfet de la MRC de Deux-Montagnes, Denis Martin lit son journal local parce qu’il y retrouve des informations inédites, souvent ignorées par les médias de masse.
«Il est donc un partenaire important pour les organismes d’ici et une source d’information cruciale pour les citoyens, dit-il. Le journal L’ÉVEIL occupe une grande place à ne pas perdre pour la communauté», a affirmé le maire de Deux-Montagnes, avant d’être appuyé par son homologue de Saint-Eustache, Pierre Charron.
«Le journal local est important premièrement pour l’information locale que les médias nationaux ne couvrent pas, insiste M. Charron. Il est important pour notre région que les citoyens soient informés sur ce qui se passe dans leur ville. En plus, un élément très important est l’enjeu de la démocratie pour notre population. Le journal local joue aussi un rôle dans le quotidien de nos citoyens.»
Quant à Sonia Paulus, mairesse de Sainte-Marthe-sur-le-Lac, elle estime que «la mission des journaux locaux est importante».
«C’est une source d’information de proximité pour les citoyens, dit-elle. Ils permettent en outre aux organismes publics, communautaires et sportifs ainsi qu’aux entreprises locales de profiter d’une tribune intéressante pour communiquer avec leurs clientèles.»
Souvent critiqué sur les réseaux sociaux, le maire d’Oka, Pascal Quevillon, est bien conscient de l’importance de la presse écrite pour une municipalité comme la sienne.
«Les gens se fient trop à ce qu’ils peuvent lire sur les réseaux sociaux aujourd’hui. Les journaux locaux sont importants afin de livrer l’information la plus véridique possible pour nos communautés ainsi que faire connaître notre belle région. J’appuie mon journal local!»
Même son de cloche à Saint-Joseph-du-Lac, où le maire Benoit Proulx parle de L’ÉVEIL comme du «reflet de la vie des Joséphoises et des Joséphois».
«De plus, ajoute-t-il, il contribue au développement de liens entre les communautés de notre région.»
Pareil dans la MRC de Thérèse-De Blainville
Pour le maire de Blainville et préfet de la MRC de Thérèse-De Blainville, Richard Perreault, «notre journal local [le NORD INFO], c’est une question de démocratie».
«Nous avons besoin de plusieurs canaux de communication pour diffuser l’information. L’information ne peut émaner d’un seul canal», soutient M. Perreault.
Mairesse de Sainte-Thérèse, Sylvie Surprenant va plus loin en parlant de ce lien durable et de confiance qui unit un journal et la communauté qu’il dessert.
«Le journal local est un média de proximité avec lequel les citoyens vivent une étroite relation, indique Mme Surprenant. Il véhicule une information locale juste et variée, touchant directement la population. En tant que Ville, le journal local demeure une courroie de transmission essentielle pour parler aux citoyens. Faisons preuve de solidarité pour lui assurer un avenir.»
«Le NORD INFO contribue à la vie démocratique de notre communauté et à sa définition identitaire, renchérit le maire de Rosemère, Éric Westram. Il donne une voix aux organismes communautaires et aux acteurs de notre région, tout en favorisant la participation citoyenne.»
Identité régionale
Gilles Blanchette, maire de Bois-des-Filion, a aussi une idée bien arrêtée sur l’importance pour une Ville comme celle qu’il dirige depuis 2017, d’avoir accès à une information régionale de qualité.
«Un journal comme le Nord Info nous permet de situer la communauté filionoise dans une perspective, un environnement et des enjeux qui débordent largement nos frontières municipales. Avec le NORD INFO, la communauté y trouve ses références locales, mais aussi son identité régionale, et cela, toutes les semaines.»
Le rayonnement qu’offre le journal local aux nombreux acteurs de sa communauté est par ailleurs ce que Jean Comtois, maire de Lorraine, ne voudrait certainement pas reléguer aux oubliettes.
«Les journaux locaux sont importants, dit-il, notamment pour mettre en valeur nos gens d’affaires, pour faire rayonner les athlètes de chez nous et pour poser un regard objectif sur l’actualité».
MOTS-CLÉS
Pierre Charron
presse hebdomadaire
Denis Martin
Sonia Paulus
FPJQ
Crise des médias
Pascal Quevilllon
Je soutiens mon journal local