Cet événement, tout comme les suivants, sera présenté à la Cabane à sucre Constantin, à Saint-Eustache. Les femmes sont invitées à y participer en grand nombre.
Au total, neuf rencontres incluant cocktail de bienvenue, souper quatre services et conférences et/ou spectacles sont prévus de septembre à mai.
«C’est avec grand plaisir que nous annonçons que nous pourrons accepter de nouveaux membres cette année. Ce sera un plaisir de vous accueillir parmi nous. Vous pouvez soit former une table de 8 à 12 personnes ou vous ajouter aux places individuelles qui sont disponibles» , précise Horizon femme, par voie de communiqué.
<h3>Programmation 2018-2019</h3>
Horizon Femme propose une programmation à la fois diversifiée, divertissante et enrichissante. Après Martin Deschamps, l’organisme recevra, le 16 octobre, Kaya (Francis Martin), ancienne vedette de la chanson, accompagné de son épouse Christine Muller. Ceux-ci céderont la place, le 20 novembre, à Denise Guénette, humoriste et ancienne vedette de la télévision. Puis, le 11 décembre, la soirée du temps des Fêtes sera animée par Éric Verville.
Les activités reprendront dès le 16 janvier, avec Daniel Daigneault, chroniqueur artistique. Le 19 février, ce sera au tour de Louise Robitaille, Madame Chasse-taches, de prendre la parole. Suivra le 19 mars, Patrick Nicol, humoriste et magicien. Puis, le 23 avril, l’organisme recevra la famille Giroux Caron, grands aventuriers, qui partageront leurs expériences vécues lors de leur voyage en Thaïlande. La saison prendra fin le 21 mai avec Les Productions Mosaïculture, musiciens africains.
<h3>Inscriptions et renouvellements</h3>
Le coût de la carte de membre est de 50 $ par année. Les renouvellements se feront lors du premier souper de la saison, le 18 septembre. Pour ce qui est des nouveaux membres, elles peuvent communiquer avec Marlyn Rabey, présidente, au 450 491-4965, Diane Corbeil, vice-présidente, au 450 623-2028, ou Carmen Leclerc, assistante à la vice-présidente, au 450 473-7266, avant le 15 septembre.
À noter que les participantes doivent, de plus, débourser un montant de 29 $ par souper-conférence, ce qui inclut le cocktail, le repas, les taxes et le pourboire.

C’est le cas notamment de Pascal Quevillon, maire d’Oka, dont les décisions sont souvent critiquées sur les réseaux sociaux par certains citoyens. Ces derniers, des «trolls» , comme il les appelle, génèrent volontairement des polémiques aux dépens des échanges sur des pages telles Oka – vie politique, Famille – Oka, Spotted Oka, Oka, etc.
«Des pages comme celles-là, affirme M. Quevillon, il y en a une dizaine. Les gens y écrivent des commentaires négatifs qui ne sont pas très glorifiants pour la municipalité en général. Ce sont souvent des attaques personnelles» .
Bien qu’il soit au fait que ces «attaques» sont dirigées à l’endroit du maire d’Oka et non à l’égard de Pascal Quevillon, le citoyen, il admet que certains commentaires finissent, à la longue, par affecter son moral.
«Ce serait inhumain de dire le contraire. Quand j’ai été élu à la mairie en 2014, certaines personnes me soutenaient, mais deux semaines après elles parlaient contre moi! Certains types d’individus sont nés comme ça et vont mourir comme ça. Heureusement, c’est loin d’être la majorité!» insiste le maire d’Oka, conscient que ceux et celles qui condamnent son travail sur les réseaux sociaux sont, pour la plupart, des opposants politiques.
«Ce sont des gens qui cherchent toujours du négatif, même dans le positif! Un moment donné, c’est assez! Ça n’incite pas les bons candidats à se présenter ou à rester en politique» .
Pascal Quevillon n’a pas l’intention de changer ses habitudes. Il continuera de gérer sa propre page Facebook, «Pascal Quevillon – Maire d’Oka» , sur laquelle les gens sont habituellement respectueux, dit-il. Ceux et celles qui avaient l’habitude de le critiquer gratuitement ont été bloqués.
<h3>Saint-Eustache</h3>
À Saint-Eustache, le maire Pierre Charron a décidé de fermer sa page Facebook personnelle à la fin de la dernière campagne électorale. Il a préféré s’en tenir à la gestion d’une page Facebook dédiée à la Ville.
«En campagne électorale, les gens en profitent un peu, surtout les adversaires politiques. Ça devient difficile à suivre si on ne le fait pas personnellement sur une base régulière. Je préfère donc mettre mon temps sur autre chose» , a-t-il mentionné pour expliquer son choix.
Sa motivation à agir ainsi réside également dans le fait que, sur les réseaux sociaux, lance-t-il, beaucoup de désinformation est véhiculée.
«Nos adversaires se prononcent sur des dossiers, mais ils ne connaissent pas tout de ce dernier, ce qui contribue à diffuser des informations souvent erronées. Dans le cas où on m’attaque personnellement, ça me coule sur le dos comme l’eau sur le dos d’un canard.» 
<h3>Ailleurs dans les Basses-Laurentides</h3>
À Sainte-Thérèse, la mairesse Sylvie Surprenant, à l’image du maire Charron, a aussi choisi de ne pas ouvrir une page en son nom personnel. Comme à Saint-Eustache, c’est par le biais de la page de la Ville qu’elle transmet ses informations.
«Pour moi, le conseil municipal s’exprime à travers les résolutions qu’il adopte et le meilleur moyen d’en informer la population est d’utiliser les moyens de communication officiels de la Ville. De cette façon, nous assurons aux Thérésiennes et aux Thérésiens de l’information municipale transparente et surtout juste» , dit-elle avant d’ajouter favoriser la communication de personne à personne, et ce, bien que, selon elle, les réseaux sociaux représentent «une opportunité extraordinaire d’engager la conversation avec les citoyens» .
«Toutefois, renchérit Mme Surprenant, les échanges peuvent rapidement devenir toxiques lorsque l’irrespect, la diffamation et même la violence s’en mêlent. De tels comportements sont inacceptables en société, incluant sur les réseaux sociaux. Il s’agit donc d’un terrain glissant qu’il faut surveiller attentivement.» 
À Blainville, le maire Richard Perreault gère sa propre page Facebook et cela ne lui cause aucun problème.
«J’ai une page Facebook privée, mais elle reste privée. Je ne l’entretiens pas beaucoup, je n’ai pas beaucoup de temps à y consacrer. Comme ce sont des amis ou de la famille qui écrivent sur cette page, je ne m’attends pas à recevoir des commentaires politiques» .
À Rosemère, le maire Éric Westram affirme se servir régulièrement de sa page Facebook personnelle pour échanger «de façon cordiale» , sur des sujets variés, avec ses citoyens.
«Puisque la communication avec les citoyens et la proximité avec ces derniers sont une priorité de tous les instants, les médias sociaux, comme Facebook par exemple, sont des moyens de communication que je valorise. Le tout se passe dans un climat de respect et de positivisme. Le respect est essentiel sur les médias sociaux et les débordements ne doivent pas être tolérés» .
Sur le territoire de la MRC de Deux-Montagnes, outre Pascal Quevillon, Sonia Fontaine, mairesse de Pointe-Calumet, semble être la seule à avoir une page Facebook personnelle.
Dans Thérèse-De Blainville, Sylvie Surprenant et Jean Comtois sont au contraire les seuls maires à ne pas avoir de page Facebook. Toutes les Villes et Municipalités de la région ont par ailleurs une page Facebook.

Facebook: Certains maires y goûtent plus que d’autres

La 8e édition du Festipâtes, présentée par la BMO (Banque de Montréal), aura lieu le vendredi 19 octobre, de midi à 14 h, au Parc équestre de Blainville. Organisé sous la présidence d’honneur de Jocelyn Hogue, président-directeur général de Toitures Hogue, l’événement est destiné à amasser des fonds pour la Fondation du Collège Lionel-Groulx. 
Chaque année, des milliers de dollars sont remis à des étudiants du collège par le biais de sa Fondation. Que ce soit sous forme de bourses d’études, d’aide financière ponctuelle ou de dons pour appuyer un projet étudiant, un stage à l’étranger par exemple, les sommes ainsi octroyées contribuent sans aucun doute à la réussite éducative des étudiants aidés. 
«Notre objectif est de récolter 15 000 $ pour nos étudiants, mais il est également important de mentionner que ce qui ne sera pas consommé au terme du dîner sera remis au Resto-Pop de Sainte-Thérèse» , a mentionné Jocelyne Roch, directrice générale de la Fondation du Collège Lionel-Groulx, avant de rappeler que le Festipâtes est l’un des événements majeurs de la Fondation du Collège, au même titre que le tournoi de golf et la loto-voyages qui revient cette année pour une 2e édition. 
«Le Festipâtes, c’est avant tout un événement pour faire parler de nous, de renchérir le président de la Fondation, Paul Paré. L’activité accueille plus de 800 personnes, mais surtout, met en valeur les produits de la région.» 
<h3>Un événement méconnu? </h3>
Si Jocelyn Hogue a accepté la présidence d’honneur, c’est avant tout pour faire la promotion du Festipâtes qui est, à son avis, un événement encore trop méconnu de la population, et ce, même si celui-ci en sera à sa 8e édition, le 19 octobre. 
«Ce qui me surprend le plus au sujet de cet événement, c’est le nombre de personnes qui disent ne jamais en avoir entendu parler. Ça me fait donc énormément plaisir d’agir à titre de président d’honneur. Vous pouvez être certain que je vais en parler pour le faire connaître davantage!» a mentionné M. Hogue, précisant du même souffle avoir fait ses études collégiales au Collège Lionel-Groulx avant de prendre les rennes de l’entreprise familiale établie dans la région depuis plus de 40 ans. 
«Beaucoup de nos employés viennent du collège Lionel-Groulx, dont mon fils, c’est l’une des raisons pour lesquelles nous nous impliquons» , d’ajouter Suzanne Lefebvre de la BMO, fière partenaire de l’événement depuis maintenant cinq ans. 
Pour se procurer des billets au coût de 30 $, ou une table de 10 personnes à 250 $, il suffit de communiquer avec la Fondation en composant le 450 430-3120, poste 2259, ou, par courriel, à <a href="mailto:fondation@clg.qc.ca" title="Écrire à fondation@clg.qc.ca">fondation@clg.qc.ca</a>.

Horizon Femme lance sa saison avec Martin Deschamps

Programmation 2018-2019

Inscriptions et renouvellements