«Dans un avenir rapproché, de nouvelles initiatives seront soutenues par le comité régional de sélection de projets. Ainsi, elles répondront aux priorités de notre région et des retombées significatives seront engendrées pour les communautés d’ici. J’invite les promoteurs à soumettre leurs idées afin que celles-ci contribuent à améliorer la qualité de vie des Laurentiens», mentionne la ministre responsable de la région des Laurentides, Nadine Girault.
Un rayonnement régional
Rappelons que dans le cadre de ce volet du FRR, les projets doivent avoir un rayonnement régional et engendrer des retombées sur plus d’une MRC de la région. De plus, ils doivent s’inscrire dans l’une des priorités suivantes: assurer la prospérité économique des Laurentides dans une approche de développement durable; valoriser les éléments distinctifs de la région afin d’en rehausser le pouvoir d’attractivité et la fierté de ses citoyens; rendre accessible aux citoyens de tout âge un continuum de services publics et communautaires équitables, en matière de santé, services sociaux, éducation et des milieux de vie de qualité; dans un contexte de changements globaux, favoriser un aménagement intégré du territoire qui respecte les milieux de vie par le biais d’une forte concertation régionale; et optimiser les mobilités des individus et des marchandises.
«Depuis plusieurs années, le FRR permet l&#8217;émergence de projets porteurs dans la région des Laurentides. Le succès du fonds dédié au développement régional est rendu possible grâce au dynamisme des organismes de la région qui ont à coeur le bien&#8211;être des Laurentiens. Encore cette année, nous encourageons les partenaires régionaux à être innovants et à faire des Laurentides une région où il fait bon vivre», précise le président du Conseil des préfets et des élus de la région des Laurentides (CPÉRL), préfet de la MRC de La Rivière-du-Nord et maire de Saint-Hippolyte, Bruno Laroche.
Les projets doivent être reçus au bureau de la direction régionale du MAMH au plus tard le vendredi 30 avril à 16 h 30. Pour plus de renseignements, visitez la page web relative au <a href="https://www.mamh.gouv.qc.ca/developpement-territorial/fonds-et-programmes/fonds-regions-et-ruralite-frr/volet-1-soutien-au-rayonnement-des-regions/gestion-regionale/">FRR.</a>

Ainsi, depuis ce matin, et encore sur le coup de 13 h quand votre hebdo L’ÉVEIL est passé dans ce secteur, le boulevard Pie-XII n’est pas accessible entre les rues Saint-Eustache et Boileau puisque le pont Pie-XII, qui se trouve sur cette section du boulevard, est fermé. Des voies de contournement sont indiquées à l’intention des automobilistes.
Dans un communiqué de presse, la Ville de Saint-Eustache précise que, «pour des raisons de sécurité, la réouverture de ce pont ne pourra se faire tant et aussi longtemps qu’une attestation n’aura pas été émise par un ingénieur dûment qualifié», le niveau de l’eau de la rivière du Chêne devant être «assez bas pour permettre l’inspection des appareils d’appui.»
Également, le chemin de la Rivière-Sud est fermé à la circulation entre la montée Laurin et la rue des Hirondelles et des Hérons. Seule la circulation locale y est permise.
Lorsque la situation le permettra, la Ville rouvrira ces portions de voies et émettra un nouveau communiqué de presse sur son site Web pour en informer la population.
<h3>En mode surveillance</h3>
Depuis hier, comme d’autres municipalités des Basses-Laurentides, la Ville de de Saint-Eustache, de concert avec la Sécurité civile, est en mode surveillance face à d’éventuelles inondations. Un plan d’intervention est prêt si la situation l’exige et des mesures préventives ont déjà été prises pour assurer la sécurité des riverains.
Ainsi, des diguettes permanentes ont été installées par la Ville au bout de certaines rues et avenues situées aux abords de la rivière des Mille Îles afin de mieux les protéger. Ces murets remplacent les installations temporaires de sacs de sable ou de barrières de type « Water-Gate » qui avaient été utilisées les années passées. Parallèlement à ces diguettes, un approvisionnement en sacs de sable serait mis sur pied, au besoin, pour la prolongation de ces structures.
<h3>Des conseils aux résidents riverains</h3>
La Ville de Saint-Eustache a également émis à l’intention des résidents qui habitent aux abords de la rivière du Chêne une série d’actions préventives à poser, comme d’enlever ou de débrancher les équipements électriques qui sont par terre au sous-sol, de ne pas les toucher et de communiquer avec le service 9-1-1 pour obtenir l’assistance du Service de la sécurité incendie.
Il est également conseillé de transporter au premier étage les objets de valeur se trouvant au sous-sol ou, dans le cas d’une résidence à un seul étage, de les placer plus haut sur des tablettes ou une table et, enfin, de mettre en lieu sûr les produits dangereux (herbicides, insecticides et autres produits inflammables).
Pour en savoir davantage, il suffit de consulter la section «Crue printanière – Suivi de la situation» sur le [<a href="http://www.saint-eustache.ca">www.saint-eustache.ca</a>].

Inondations à Saint-Eustache: deux voies de circulation doivent être fermées

Produite par Hyperzoom et réalisée par Marie Nadeau, l’émission suit des passionnés d’antiquités québécois, dont Harold, jusque dans des encans où, évidemment, ils espèrent faire la bonne affaire.
«Ce fut une grosse surprise lorsque j’ai été approché par la production qui avait vu mes publications sur Instagram», raconte Harold qui se plaît bien à participer à cette émission.
«Nous allons visiter des encans et achetons des objets. Nous expliquons ensuite à la caméra pour quelles raisons nous voulions se les procurer. Nous nous promenons partout à travers le Québec», d’ajouter l’antiquaire qui affirme toujours se présenter à un encan avec un montant maximal à dépenser en tête, mais que c’est rarement ce qui se produit.
«Le secret pour aller dans un encan est de se fixer un budget. Mais l’autre secret dans un encan est que le budget n’est pratiquement jamais respecté!»
<h3>Une passion qui remonte à loin</h3>
«J’étais en poussette avec ma grand-mère au Marché aux puces Saint-Michel lorsque pour la première fois j’ai aperçu des pièces de verre. C’est là que je me suis mis à aimer le verre, de couleur bleu cobalt particulièrement, et à vouloir le collectionner», raconte Harold qui, de fil en aiguille, et à mesure que les années passent, empile ses objets dans sa chambre, au sous-sol de la résidence familiale. Jusqu’à ce qu’il ne sache plus trop quoi en faire, tellement il en possède.
«Mes collections se diversifiaient. J’achetais des meubles, des lampes et pour faire de la place, je me suis mis à vendre sur Kijiji. J’avais 12 ans!»
Sa mère le somme alors de se louer un garage pour désencombrer sa chambre, mais surtout pour que cesse ce va-et-vient d’acheteurs dans sa maison. C’est ainsi qu’à l’âge de 19 ans, il ouvre la boutique Harold, à Montréal. Il a aujourd’hui un associé, Tom Gouvatsos, qui participe aussi à La fièvre des encans: nouvelle génération.
«Mes parents sont entrepreneurs. Ce côté a toujours fait partie de moi. J’ai toujours eu mille et un projets d’entreprises pour finalement découvrir, à l’université, que ce que je voulais vraiment faire, c’était de devenir antiquaire et de poursuivre ma passion».
La pièce qu’il chérit le plus est un bureau Boulle qui a appartenu à Louis-Joseph Papineau et qu’il a lui-même rapporté de France en 1845 après son exil à la suite de l&#8217;exécution des Patriotes.
«Cette pièce-là, je ne la vendrai jamais. Ce meuble fait partie de l’histoire du Québec. Il n’a aucun prix!»
Pour regarder l’émission, il faut syntoniser la chaîne Historia les mardis à 19 h 30.
«Il s’agit vraiment d’une émission ‘feel good’, avec des protagonistes attachants, de l’humour et une touche d’histoire», nous indique la production dans un courriel acheminé au journal.

Harold Léger est passionné d’antiquités depuis le berceau

Fonds régions et ruralité: l’appel de projets 2021-2022 est lancé

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La fièvre des encans : nouvelle génération

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Saint-Eustache

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Benoit Bilodeau

Christian Asselin

Journal L'Éveil