Le Fonds Éco IGA lance une toute nouvelle initiative pour manger local à l’année&nbsp;: La&nbsp;virée bocal. Des agents du Jour de la Terre effectueront une tournée et s’arrêteront chez 225&nbsp;marchands IGA du Québec et du Nouveau-Brunswick pour parler de conservation. L’objectif est d’aller à la rencontre des citoyens afin de leur présenter les meilleures astuces de conservation des fruits et légumes, soit le cannage, la déshydratation et la congélation. Les succursales de Mirabel situé à Saint-Janvier et à Saint-Augustin accueilleront la tournée le 25&nbsp;septembre.&nbsp;



<h2>Manger local, une conserve à la fois&nbsp;</h2>



Apprendre les bases de la conservation constitue une alternative accessible pour consommer des fruits et légumes d’ici, été comme hiver. Elle permet également d’éviter le gaspillage alimentaire de produits frais lors des périodes d’abondance. Un sondage CROP mené par l’équipe du Fonds Éco IGA révèle que pour 35&nbsp;% des Québécois, le manque de connaissance représente un frein à la pratique d’une méthode de conservation des aliments. Et c’est justement pour mieux outiller les Québécois et leur montrer que conserver c’est pour tout le monde qu’est née l’initiative de La&nbsp;virée bocal.&nbsp;



Une équipe du Jour de la Terre sera sur place pour répondre aux questions des Mirabelois et discuter des trois principales méthodes de conservation présentées. Un guide sur la conservation pour les adeptes de l’alimentation locale, spécialement conçu pour l’occasion, sera également remis sur place.&nbsp;



On prévoit distribuer&nbsp;le fruit ou légume local vedette de la semaine aux premiers visiteurs des kiosques de La&nbsp;virée bocal&nbsp;afin qu’ils puissent tester la méthode de conservation de leur choix. Une dégustation d’aliments déshydratés sera en place.



« Nous nous sommes donné comme mission de rendre les méthodes de conservation plus accessibles et d’inciter les gens à s’y initier avec leurs aliments préférés. Nous invitons les Laurentiens à venir rencontrer notre équipe du 17&nbsp;août au 25&nbsp;septembre dans un IGA près de chez eux pour tout savoir sur la conservation ! » &#8211; Karoline Bessette-Simard, directrice des programmes, Fonds Éco IGA&nbsp;



<h2>Une 1re&nbsp;édition de la Journée de la conserve&nbsp;</h2>



La&nbsp;virée bocal&nbsp;culminera avec la toute première édition de la Journée de la conserve qui se tiendra le dimanche précédant l’Action de grâce, soit le 9&nbsp;octobre prochain. Les Québécois sont invités à y prendre part en conservant un maximum de produits locaux et les déguster tout l’hiver grâce aux techniques et ressources mises à leur disposition lors de La&nbsp;virée bocal&nbsp;et en ligne&nbsp;: http://www.lavireebocal.org/



Pour connaître tous les détails de La virée bocal visitez le site internet de l’événement&nbsp;: http://www.lavireebocal.org/&nbsp;



<h2>À propos du Fonds Éco IGA </h2>



Le Fonds Éco IGA a été fondé en 2008 par les marchands IGA du Québec qui y versent annuellement 1 million de dollars. Il est géré par le Jour de la Terre, un organisme qui accompagne les personnes et les organisations à diminuer leur impact sur l’environnement. Le Fonds Éco IGA finance des projets concrets et axés entre autres, mais non exclusivement, sur la gestion des matières résiduelles, le gaspillage alimentaire et la mobilité durable. Depuis sa création, il a permis de financer de multiples projets durables répondant aux réalités du milieu dans les communautés de toutes les régions du Québec et du Nouveau-Brunswick.

Économie sociale Laurentides (ÉSL) et la Coopérative de développement régional Outaouais-Laurentides (CDROL) annoncent une nouvelle collaboration pour aider au développement d’entreprises d’économie sociale sur le territoire. La mesure vise à faciliter spécifiquement la création d’OBNL (organismes à but non lucratif) d’économie sociale. Jusqu’à maintenant, il n’y avait pas de ressources financières liées à l’accompagnement des OBNL.



D’une durée de trois ans, ce projet pilote mettra à profit une démarche concertée et structurée entre les deux organisations afin d’établir les besoins et d’accélérer l’émergence de projets dans les collectivités, en plus de dispenser de l’aide technique spécialisée au démarrage et au suivi d’entreprises en économie sociale.&nbsp;



Dès aujourd’hui, les promoteurs de projets collectifs de la région des Laurentides peuvent bénéficier d’un ensemble amélioré de services par le biais d’un accompagnement ciblé. Les différentes étapes de création d’une entreprise sont visées n’excluant ainsi aucune demande d’aide. L’accès à une gamme d’expertises variées et complémentaires en est ainsi facilité. Il suffit, pour les personnes intéressées, de prendre contact avec l’une des deux organisations.&nbsp;



Par cette démarche, ÉSL ainsi que la CDROL mettent de l’avant une volonté d’association avec les partenaires du milieu, dans le but de renforcer l’écosystème de soutien aux promoteurs collectifs du territoire.&nbsp;



<h2>Pour les deux organisations</h2>



Active depuis 14&nbsp;ans sur le territoire des Laurentides, Économie sociale Laurentides (ÉSL) est reconnue comme interlocuteur privilégié sur les questions de l’économie sociale au plan régional. Forte de ses 111&nbsp;membres, répartis dans les huit MRC de la région, ÉSL favorise la concertation entre les différents acteurs du milieu et soutient la création de conditions favorables à ce modèle entrepreneurial de développement. Ce faisant, en tant que pôle régional de l’économie sociale, l’organisme mirabelois participe à la vitalité et la diversification économique du territoire.&nbsp;



« La mise sur pied de ce nouveau programme d’accompagnement pour les entrepreneurs vient ancrer encore davantage notre rôle de soutien à l’émergence de projets collectifs au bénéfice de la communauté laurentienne. Nous sommes heureux de collaborer avec la CDROL. Ce partenariat permettra notamment d’augmenter les ressources disponibles, en plus de notre capacité à favoriser l’émergence d’entreprises d’économie sociale dans les Laurentides », affirme Marc-André Caron, directeur général d’ÉSL.&nbsp;



De son côté, la CDR Outaouais-Laurentides regroupe plus de 170&nbsp;coopératives et OBNL sur le territoire. Elle incarne sa mission de développement régional par l’appui au démarrage et à la consolidation des entreprises d’économie sociale des Laurentides et de l’Outaouais depuis 1974. L’équipe de la CDR Outaouais — Laurentides est fière de contribuer au démarrage et à la croissance d’entreprises structurantes pour leur communauté.



« Nous sommes très heureux de formaliser notre entente avec Économie sociale Laurentides, avec qui nous collaborons depuis sa création. De notre côté, ce projet-pilote vient financer des activités que nous portions déjà à bout de bras, et nous permettra donc de faire plus, et mieux. Ainsi, la mesure nous permet d’embaucher un nouveau membre dans l’équipe, qui mettra son expertise à contribution partout sur le territoire. C’est un beau levier pour la création de nouvelles entreprises d’économie sociale », confirme pour sa part Patrick Duguay,&nbsp;directeur général de la CDROL.&nbsp;Ce projet est rendu possible grâce au soutien financier du ministère de l’Économie et de l’Innovation (MEI) en vertu du Volet&nbsp;1 — Accompagnement spécialisé des entreprises d’économie sociale du Programme de soutien à l’économie sociale (PSES).

Une nouvelle alliance se crée dans la région pour l’économie social

Une activité de reconnaissance pour le moins inhabituelle à l’égard des premiers ministres du Québec se déroulera le mardi 23 août prochain, au Centre d’art La petite église, à Saint-Eustache, en compagnie de Dave Turcotte, ex-député de Saint-Jean à l&#8217;Assemblée nationale, et d&#8217;Alain Lavigne, professeur titulaire à l&#8217;Université Laval.



Cette conférence-exposition intitulée «&nbsp;Des premiers ministres de toutes les couleurs&nbsp;» réunira ces deux hommes qui ont la particularité d’avoir, au fil des années, amassé des artéfacts et des pièces de collection de plusieurs des premiers ministres québécois, qu’il s’agisse d’objets inusités et d’images rarement diffusées.



Dans un premier temps, pendant environ 75 minutes, les deux conférenciers parleront ainsi, en présentant leurs plus belles pièces, de presque chacun de ces premiers ministres, de Gédéon Ouimet à Pauline Marois, en passant par Maurice Duplessis, Robert Bourassa, René Lévesque et, bien sûr, Paul Sauvé qui a aussi été député de la circonscription de Deux-Montagnes.



Puis, dans un deuxième temps et pendant cette fois une quinzaine de minutes, il sera question d’anciens députés de la région, comme Denis Hardy, ex-député libéral de l’ancienne circonscription de Terrebonne, qui regroupait alors en partie l’actuelle circonscription de Groulx, et Jean-Paul L’Allier, ex-député libéral de Deux-Montagnes et ex-ministre du gouvernement Bourassa.



Il y aura même un clin d’œil au premier et seul candidat à avoir porté les couleurs du Rassemblement pour l&#8217;indépendance nationale (RIN) dans la circonscription de Deux-Montagnes, à savoir Jean-Robert Rémillard. Celui-ci s’était présenté aux élections de juin 1966 qui avaient porté au pouvoir l’unioniste Daniel Johnson, père.



<h2>Une activité sans partisanerie</h2>



«&nbsp;Nous n’avons pas, au Québec, cette tradition de reconnaissance de nos premiers ministres, comme en France par exemple. Il n’y a que trois espaces muséaux consacrés à nos premiers ministres, notamment un, ici à Saint-Eustache, pour Paul Sauvé. C’est une activité qui se déroulera sans partisanerie. [Nos deux conférenciers] sont des gens passionnés. Ils seront là pour nous présenter, à travers les pièces qu’ils ont collectionnées, l’histoire du Québec et de nos premiers ministres », explique Michel Goyer, président de Patrimoine culturel Vieux-Saint-Eustache (PCVSE) qui a pris l’initiative d’organiser cet événement avec la collaboration de la Ville de Saint-Eustache.



Si cette activité, qui aura donc lieu le mardi 23&nbsp;août prochain, à compter de 19&nbsp;h, est ouverte et gratuite à tous, il faut cependant s’y inscrire à l’avance. Pour réserver sa place, il suffit tout simplement d’envoyer un courriel à l’adresse <a href="mailto:michelcgoyer@gmail.com">michelcgoyer@gmail.com</a>.

Fond éco IGA: Miser sur la conservation pour manger local à l’année

Manger local, une conserve à la fois

Une 1re édition de la Journée de la conserve

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