Pour l’occasion, le maire Pierre Charron a adressé un mot de bienvenue à tous les participants qui étaient présents. «Je veux vous remercier toutes et tous de votre participation. Particulièrement cette année, avec le contexte difficile que nous vivons, je veux vous remercier de mettre autant de beauté et de poésie dans nos vies. On en a bien besoin. Merci de nous rappeler à quel point nous sommes privilégiés d’habiter notre belle ville», a-t-il dit.
Pour sa part, la présidente de la Commission des communications et des relations avec les citoyens, la conseillère municipale Nicole Carignan-Lefebvre, a précisé que le choix des photos se fait à l’aveugle, en fonction du thème et des quatre saisons. «Cette année, nous avons eu la tâche difficile de choisir parmi 122 photos provenant de 50 participants», a-t-elle mentionné.
Pour cette édition du concours, le jury était formé de Nicole Carignan-Lefebvre ainsi que de Stéphanie Bouchard et Brigitte St-Jean, respectivement directrice du Service des communications et coordonnatrice du SEM, de Florent Escalle, coordonnateur aux communications interactives ainsi que des deux membres bénévoles de la Commission des communications et des relations avec le citoyen, Caroline DuPaul et Michel Besner.
Les lauréats
Les gagnants du concours de photos pour le calendrier 2021 sont: Gabrielle Favreau-Lavallée, Guylaine Ouellet, Jocelyne Beaulieu, Michael Fortin, Robert Dabas, Robert Pagé, Daniel Lavallée, Mireille Chaput, Gabriel Charbonneau-Clavette, Pierre Meunier, Sophie Dominique, Sophie Lévesque et Irini Blais.
En guise de récompense, en plus de la satisfaction de voir leur cliché orner une page du calendrier, les gagnants reçoivent un encadrement de leur photographie. De plus, un tirage au sort a été effectué parmi les 13 photographies primées pour déterminer le gagnant d’un IPad 7e génération.
En conclusion, la vice-présidente de la Commission des communications et des relations avec le citoyen, la conseillère municipale Janique-A. Danis, a annoncé le thème du calendrier 2022: Saint-Eustache sous un autre angle. «Tous les détails pour participer au concours de photographies se trouvent sur notre site Web, le <a href="http://saint-eustache.ca">saint-eustache.ca</a>», a-t-elle dit.
Rappelons que le calendrier municipal 2021, tiré à 21 500 exemplaires, sera distribué à toutes les portes de Saint-Eustache le mercredi 25 novembre, avec le journal local.

Concrètement, avec ses 1 031 cas (42 de plus que la semaine précédente) depuis le début de la pandémie, Saint-Jérôme devançait Blainville (881), Saint-Eustache (763), Mirabel (744), Sainte-Thérèse (556) et Boisbriand (511).
<h3>Cas actifs</h3>
En nombre de cas actifs, Sainte-Thérèse en affichait 87, jeudi dernier. Saint-Jérôme qui en comptait 84, au 12 novembre, a vu sa situation s’améliorer grandement pour s’établir 57. Blainville arrive non loin derrière à 56. Mirabel est demeuré à 45, Saint-Eustache en avait 34 et Boisbriand 30.
Toujours, en regard des cas actifs, la MRC de Thérèse-de Blainville présente de nouveau le plus haut total, avec 218, loin devant la MRC de la Rivière-du-Nord à 78, la MRC de Deux-Montagnes, avec 73 et la MRC de Mirabel (une ville, une MRC), avec 45.
Au niveau du total de cas depuis le début de la pandémie, la MRC de Thérèse-de Blainville était rendue, jeudi dernier, à 2 630, la MRC de la Rivière-du-Nord à 1 602 et la MRC de Deux-Montagnes à 1 394.
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<tbody>
<tr>
<td width="173">COVID-19 : État de la situation
Données du 23 novembre 2020 (12h)</td>
<td width="45">TOTAL
CAS</td>
<td width="50">CAS
ACTIFS</td>
<td width="38">TOTAL DÉCÈS</td>
</tr>
<tr>
<td width="173"> </td>
<td width="45"> </td>
<td width="50"> </td>
<td width="38"> </td>
</tr>
<tr>
<td width="173">MRC de Deux-Montagnes</td>
<td width="45">1 417</td>
<td width="50">52</td>
<td width="38">48</td>
</tr>
<tr>
<td width="173"> </td>
<td width="45"> </td>
<td width="50"> </td>
<td width="38"> </td>
</tr>
<tr>
<td width="173">MRC de Thérèse-De Blainville</td>
<td width="45">2 698</td>
<td width="50">164</td>
<td width="38">122</td>
</tr>
<tr>
<td width="173"></td>
<td width="45"></td>
<td width="50"></td>
<td width="38"></td>
</tr>
<tr>
<td width="173">Ville de Mirabel</td>
<td width="45">761</td>
<td width="50">38</td>
<td width="38">7</td>
</tr>
<tr>
<td width="173"></td>
<td width="45"></td>
<td width="50"></td>
<td width="38"></td>
</tr>
<tr>
<td width="173">MRC de la Rivière-du-Nord</td>
<td width="45">1 631</td>
<td width="50">65</td>
<td width="38">95</td>
</tr>
<tr>
<td width="173"></td>
<td width="45"></td>
<td width="50"></td>
<td width="38"></td>
</tr>
<tr>
<td width="173">Région des Laurentides</td>
<td width="45">7 646</td>
<td width="50">383</td>
<td width="38">331</td>
</tr>
</tbody>
</table>
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COVID-19: Bilan à la hausse dans la région

Le 9 novembre, le gouvernement du Canada annonçait avoir débloqué 750 millions de dollars supplémentaires au milliard déjà octroyé en 2019 afin de brancher l’ensemble des Canadiens à Internet haute-vitesse. Ce sujet fut au nombre de ceux abordés lors d’un entretien qui s’est déroulé jeudi avec le premier ministre Justin Trudeau
«Ça fait longtemps que l’on sait que ce sont des investissements nécessaires. Nous avons vraiment mis une priorité là-dessus», a indiqué le premier ministre, conscient qu’en raison de la pandémie de COVID-19 et l’engouement soudain et général pour le télétravail qui en a découlé, on se devait d’agir promptement.
C’est ainsi qu’Ottawa entend bien brancher à Internet haute-vitesse l’ensemble des Canadiens d’ici 2026. 90% le seront dès 2021.
«C’est devenu une nécessité, et non juste un luxe d’avoir accès à une connexion haute-vitesse. Les investissements que nous sommes en train de faire le sont donc pour accélérer cela. Nous allons vraiment bouger rapidement».
Le principal défi auquel fait face le gouvernement du Canada réside dans les partenariats qu’il doit conclure avec les différents intervenants impliqués.
«Le grand défi, c’est que ce n’est pas le gouvernement qui installe les lignes. Nous devons travailler avec des partenaires locaux, des entreprises, des municipalités, mais nous sommes là pour rendre cela intéressant pour les compagnies de connecter des régions et villages éloignées».
Pour Justin Trudeau, la connectivité à Internet haute-vitesse va beaucoup plus loin que le simple fait de se connecter rapidement à un réseau. Sa mise en service aura en effet une incidence sur l’endroit où choisiront de vivre les Canadiens pour élever leurs enfants et les générations futures.
«C’est la clé pour créer de l’épanouissement et de la réussite dans les régions. a insisté le premier ministre du Canada. Avec ces nouveaux fonds que nous développons, a-t-il poursuivi, nous espérons que la Municipalité d’Oka, par exemple, sera en mesure de créer un projet intéressant et de l’implanter le moment venu. La croissance économique dans les années à venir va passer par une meilleure connectivité Internet.»
Expropriés de Mirabel
Le 11 décembre prochain, le Comité de la commémoration du 50e anniversaire de l’expropriation de Mirabel tiendra une dernière activité. Il rendra cette fois hommage aux femmes ayant lutté tout au long de ce long parcours. Rappelons que le gouvernement fédéral avait exproprié en 1969 des résidents, des agriculteurs et des commerçants de 14 villages ou municipalités (qui ont constitué la Ville de Mirabel en 1972), afin d’y construire l’Aéroport international de Montréal, dont l’aérogare est maintenant démolie.
Cela fait des années que ceux que l’on appelle désormais «les expropriés de Mirabel», demande des excuses au gouvernement du Canada. À l’approche de cette ultime activité de commémoration, c’eut été un bon moment s’excuser, pour clore ce dossier. Nous avons tendu la perche à Justin Trudeau.
«La meilleure façon de clore ce dossier, a-t-il répondu, c’est de rendre ces terres, de reconnaître les pertes et les difficultés et de retrouver une justesse économique. Nous nous y attardons depuis plusieurs années et avons l’espoir de pouvoir s’assurer d’une solution positive pour tout le monde.»
Les tensions à Oka
Cet été avait par ailleurs lieu le 30e anniversaire de la tristement célèbre crise d’Oka. Alors que les tensions sont toujours vives dans ce secteur, avec le peuple autochtone Mohawk, en raison, notamment, de développements immobiliers soutenus dans le secteur de la Pinède, on a la situation bien à l’œil à Ottawa.
«Nous suivons cela de près et reconnaissons que le chemin de la réconciliation avec les peuples autochtones est long. Nous avons besoin d’être patients, mais aussi de chercher des solutions. Le Fédéral est là pour aider. L’important est d’éviter de relancer les tensions» a conclu M. Trudeau, insistant sur l’importance de travailler ensemble pour le bien de tous.
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Et les gagnants sont…