Les députés fédéraux des Basses-Laurentides, Louise Chabot (Thérèse-De Blainville), Simon Marcil (Mirabel) et Luc Desilets (Rivière-des-Mille-Îles) se réjouissent de cette annonce.
«Ce programme est un bon tremplin pour une première expérience de travail pour certains et une continuité pour d’autres. Il ne faut pas oublier que le programme a eu des ratées l’année dernière. Cette année, il doit y avoir une bonification des montants afin de ne pas être pris avec des sommes insuffisantes pour répondre aux besoins», soutient Louise Chabot, qui est d’ailleurs porte-parole du Bloc Québécois en matière d’emploi, de développement de la main-d’oeuvre et de travail.
«Pour de nombreux jeunes, les emplois d’été sont leur première expérience professionnelle, qui leur apprend la valeur du leadership, du renforcement des compétences, du travail en équipe et de la résilience. De l’autre côté, pour les employeurs, un jeune travailleur peut être un atout inestimable pour leur équipe, en apportant une perspective nouvelle et fraîche dans tous les secteurs du milieu de travail. C’est gagnant-gagnant», renchérit Simon Marcil.
À noter que des mesures temporaires semblables à celles introduites en 2020 seront mises en oeuvre par Emplois d’été Canada pour aider les petites entreprises à mener leurs activités. Ces mesures comprennent l’augmentation de la subvention salariale, afin que les employeurs des secteurs privé et public puissent également recevoir jusqu’à 75 % du salaire horaire minimum provincial ou territorial pour chaque employé (les organismes à but non lucratif continueront à recevoir 100 % du salaire), le prolongation de la date de fin d’emploi au 26 février 2022 et la permission d’embaucher du personnel à temps partiel.
«Ce programme a aidé beaucoup de jeunes des Laurentides au fil des ans. Les petites entreprises, les secteurs à but non lucratif et les employeurs du secteur public continuent à jouer un rôle essentiel dans le succès de ce programme. Maintenant plus que jamais, avec le contexte que l’on sait, il est important de créer davantage de possibilités d’emploi pour nos jeunes», mentionne Luc Desilets.
Les employeurs qui souhaitent présenter une demande de financement dans le cadre d’EéC sont invités à ouvrir un compte par l’entremise du portail sécurisé Services en ligne des subventions et contributions au [www.canada.ca/fr/emploi-developpement-social/services/financement], un processus unique qui leur permettra de présenter une demande pour ce programme ainsi que pour d’autres possibilités de financement.
La période de mise en candidature se termine le 29 janvier.
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