Le Jeune Barreau de Montréal (JBM) est fier de lancer sa 41e édition de la Clinique juridique téléphonique, qui aura lieu les samedi 21 et dimanche 22 octobre prochains, de 9 h à 16 h. Le temps d&#8217;une fin de semaine, avocats et notaires se mobiliseront pour offrir des conseils juridiques gratuits par téléphone à la population.



Cette initiative constitue, avec d&#8217;autres services offerts par le JBM, une action concrète et durable pour améliorer l&#8217;accès à la justice. Ce service gratuit destiné à la population québécoise est mis en place par le JBM, en partenariat avec le Barreau du Québec et le Centre d’accès à l’information juridique (le CAIJ).



<h2>Une occasion unique de s&#8217;informer gratuitement</h2>



La Clinique juridique téléphonique est une occasion unique de recevoir gratuitement des conseils de la part d&#8217;un.e avocat.e ou d&#8217;un notaire, afin de mieux comprendre ses droits et obligations, et de s&#8217;orienter dans des situations parfois complexes et délicates.



Qu&#8217;il s&#8217;agisse de préoccupations liées à la famille, à la consommation de biens, au travail, à la gestion du patrimoine, aux conflits de voisinage ou autres, les juristes bénévoles mettent gracieusement leur expertise à disposition pour répondre à toutes questions d&#8217;ordre juridique. Le JBM est fier de pouvoir offrir deux fois par année ce service tant attendu par la population et de contribuer ainsi à favoriser l&#8217;accès à la justice alors que les besoins sont importants. La Clinique juridique téléphonique du JBM est un service gratuit offert à toute la population québécoise, durant une fin de semaine complète! Qu’il s’agisse d’un besoin d&#8217;informations sur ses droits et obligations, ou sur les solutions qui s&#8217;offrent pour prévenir ou régler ses différends, les juristes bénévoles sont disponibles pour répondre aux questions de la population avec bienveillance et professionnalisme.



Ce rendez-vous bien établi connaît chaque année une forte affluence : l&#8217;an dernier, près de 4 000 appels de citoyens ont été reçus et traités dans le cadre de cette initiative. De ce nombre, près de 1 500 appels provenaient de la région des Laurentides.



« La Clinique juridique téléphonique est une initiative clé et une ressource essentielle afin d’améliorer l&#8217;accès à la justice pour tous les citoyens. En offrant ce service deux fois par année, nous sommes fiers de répondre aux besoins cruciaux de notre communauté. Nous tenons à remercier le CAIJ et le Barreau du Québec pour leur soutien constant et inestimable dans cette noble entreprise ! Nous remercions également les avocats et avocates de la communauté juridique qui se mobiliseront tout au long d’une fin de semaine pour aider gracieusement ceux et celles qui en ont le plus besoin », mentionne, dans un communiqué de presse, Me Joey Suri, président du JBM.



La clinique juridique en bref :



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Quoi : Des conseils juridiques gratuits pour toute la population offerts par une cinquantaine de juristes bénévoles



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Quand : Les 21 et 22 octobre 2023, de 9 h à 16 h



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Où : Vous pouvez appeler au 1 (844) 779-6232



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Renseignements: <a href="http://ajbm.qc.ca">http://ajbm.qc.ca</a>.

Dans les Basses-Laurentides, quatre cidreries toutes situées Saint-Joseph-du-Lac y participeront, à savoir la <a href="https://www.cidrerielacroix.com/">Cidrerie Lacroix</a>, le <a href="https://www.domainelafrance.com/">Domaine Lafrance</a>, le <a href="https://www.vergerlamarche.ca">Verger Lamarche</a> et le <a href="https://domainedupetitstjoseph.ca/a-propos/">Domaine du Petit St-Joseph</a> qui organise plus particulièrement un événement, le samedi 21 octobre, à la boutique de Fermentation &amp; Compagnie (Moût International), située à Anjou.



Organisé par l’association des Producteurs de cidre du Québec, La Grande Presse permet de célébrer le temps de la presse tout en découvrant l’envers du décor de la production de cidre se déroulant au sein de près d’une vingtaine de cidreries réparties dans six régions emblématiques de la production cidricole au Québec: Montérégie, Basses-Laurentides, Estrie, Capitale-Nationale, Chaudière-Appalaches et Charlevoix.



« La Grande Presse offre une opportunité unique de rencontrer les cidriculteurs sur le terrain et de plonger dans les coulisses de la production de cidre. C&#8217;est l&#8217;occasion parfaite de découvrir les secrets de ce métier passionnant et de déguster des cidres exceptionnels, le tout sur leur lieu de production. Il s’agit du rendez-vous automnal à ne pas manquer pour tous les amateurs de cidre au Québec! », indique, dans un communiqué de presse, Marc-Antoine Lasnier, président de l’association.



<h2>Une programmation unique et variée</h2>



Lors de cette fin de semaine, les visiteurs auront la chance de plonger dans l’univers pétillant du cidre et de venir à la rencontre des producteurs sur place pour non seulement déguster leurs produits, mais aussi pour en apprendre davantage sur les procédés de production et profiter des installations sur place entre amis ou en famille.



De nombreuses activités seront au programme, selon la cidrerie participante: visite des installations, démonstration de presse des pommes, vente de jus pour fabrication de cidre maison, dégustations commentées, conférences et autres activités pour petits et grands.



Pour connaître la liste des activités proposées dans chacune des cidreries, référez-vous au site Web officiel de l’événement, <a href="https://cidreduquebec.com/la-grande-presse/">lagrandepresse.com</a>, pour accéder à la programmation complète. Certaines activités pourraient nécessiter une réservation et d’autres sont offertes selon un horaire restreint.

Une troisième édition de La Grande Presse

La vie d’un politicien n’est pas toujours reposante. Lorsqu’il faut tout mettre en place dans une nouvelle circonscription, le travail est d’autant plus acharné. Lucie Lecours en a eu la preuve dès sa première campagne électorale.&nbsp;



Journaliste de carrière, Lucie Lecours n’avait d’abord pas l’intention de faire ce métier. Étudiante en littérature française et québécoise dans le département francophone de l’université McGill, elle cherchait à devenir auteure. Elle a cependant bifurqué de son objectif en voyant une problématique chez les jeunes anglophones.&nbsp;



« Je me suis créé un stage dans l’ouest de l’île. Tous les jeunes que j’avais sous ma tutelle échouaient leur français, donc ils ne pouvaient pas passer au cégep », explique-t-elle. Pour les faire travailler, elle a créé un journal avec eux, leur permettant d’écrire sur les sujets qui les intéressaient. C’est à ce moment qu’elle a eu la piqûre.



Avec le temps, Mme&nbsp;Lecours a appris beaucoup, cherchant à monter les échelons. Débutant comme journaliste à Uni-Médias, elle a vite compris que pour être éditeur, il fallait connaître l’aspect publicitaire. Suite à un stage de neuf mois, elle a pu atteindre le poste convoité. Ces années ont cependant eu un effet positif selon elle. « Quand tu fais un argument de vente, c’est que tu crois en ton produit. C’est la même chose en politique avec un dossier. Il faut convaincre le ministre de son importance », affirme Mme&nbsp;Lecours.



En 2018, lors des premières élections de la circonscription, elle s’est complètement lancée dans le vide, personne ne sachant comment prendre en charge une nouvelle circonscription. C’est même dès l’annonce officielle avec François Legault qu’elle a senti ce vide. « L’autobus part, les gens s’en vont. Et je me retrouve seule. Même chose quand j’ai été élue, j’étais seule. », se souvient-elle quant à la mise en place de son bureau de circonscription



Les communications sont rapidement devenues importantes. « Je le place en priorité parce que tout découle de ça », souligne-t-elle. C’est d’ailleurs ce sur quoi elle mise pour mieux faire connaître sa circonscription, dont une partie de la population ne connaît pas encore très bien.



<h2>Une semaine bien remplie</h2>



Chaque journée est unique. Non seulement Lucie Lecours a nombre de rencontres avec les organismes et citoyens de son secteur, mais en plus elle se doit d’être présente à l’Assemblée nationale pour son rôle législatif.&nbsp;



Ses lundi et vendredi sont souvent réservés pour son travail sur le terrain. « On prend tout le temps trois jours à Québec. Ou quatre, pour les sessions intensives », explique-t-elle. Des rencontres avec son équipe pour divers dossiers comme les remises de dons ou les cas épineux font partie intégrante de ces journées au bureau.&nbsp;



Ses fins de semaine sont souvent occupées également pour la représentation sur le terrain. « Je vais visiter du communautaire, mais également des entreprises nouvelles. Celles qui vont ressortir du lot », confirme la députée. Malgré tout, elle essaie d’équilibrer afin de se donner du temps personnel, histoire de ne pas s’essouffler.



Pour ce qui est du travail législatif, elle se fixe souvent des horaires plus rigoureux et denses. Représentation dans divers comités, commissions parlementaires, projets de loi&nbsp;: tout ça est précédé, dans la préparation de l’élue de Les Plaines, par la lecture de ses dossiers et de sa revue de presse. « Je veux savoir ce qu’il se passe. Je veux rester informé et connaître les enjeux importants », explique-t-elle de son horaire bien chargé. Une rencontre de caucus est également faite quotidiennement afin d’avoir les discussions sur ces mêmes enjeux, mais d’un point de vue du parti.&nbsp;



Beaucoup de dossiers et de décorum sont présents dans la vie d’un député et encore beaucoup de choses pourraient être écrites à ce sujet. Mme&nbsp;Lecours en est consciente et est heureuse de l’expliquer à ses citoyens. L’importance est pour elle de représenter le mieux possible les gens qui l’ont élu. Un poste qui est maintenant devenu une passion à ses yeux.

Des conseils juridiques gratuits et accessibles pour la population!

Une occasion unique de s’informer gratuitement