Un montant de 468 $ a été amassé au restaurant Boston Pizza de Saint-Eustache lors de la plus récente activité de financement organisée au profit du Fonds Julie Thorn, créé à la suite du décès de Julie Thorn, 16 ans, à la polyvalente Deux-Montagnes (PDM), en raison d’un arrêt cardio-respiratoire. Depuis la création de ce fonds, c’est donc quelque 17 000 $ qui ont été recueillis pour éviter justement qu’un autre drame du genre ne survienne de nouveau.
Le fonds en question a été mis sur pied, dès 2012, par Marie-Hélène Thorn, sœur de Julie, et Marie-Hélène Proulx, une amie proche de la défunte, avec le soutien de la Fondation du Grand Montréal. 
Le Fonds Julie Thorn, explique Marie-Hélène Thorn, «veut fournir des défibrillateurs externes automatisés (DEA) ou du matériel pour la pratique de la réanimation cardiorespiratoire (RCR) et de la défibrillation [comme des mannequins, défibrillateurs de pratique] aux écoles de la région et du Québec».
La PDM ne possédait pas de défibrillateurs externes au moment du drame, et qui sait si Julie, une élève de 5e secondaire, aurait pu être sauvée si justement l’établissement en avait été munis? Et si la plupart des écoles secondaires du Québec en sont aujourd’hui équipés, on ne sait pas toujours à l’interne comment les utiliser adéquatement.
<h3>Des dons à la PDM et à l’ÉSO</h3>
Pour pallier à ce problème, quatre dons ont, à ce jour, été accordés à des écoles, dont la PDM qui a reçu le 21 février 2020, huit ans, jour pour jour, après le décès de Julie, quatre défibrillateurs d’entraînement et d’autant de mannequins afin de permettre aux élèves de s’exercer et ainsi avoir le pouvoir de sauver des vies grâce à la RCR et à l’utilisation d’un défibrillateur. Chaque année, plus de 340 élèves seront ainsi formés par leurs enseignants.
Également, le Fonds Julie Thorn a fait don à l&#8217;École secondaire d&#8217;Oka (ÉSO), en décembre dernier, de quatre mannequins de pratique pour la RCR et de quatre défibrillateurs de pratique. 
Quant à cette plus récente activité de financement, qu’il ne faut pas oublier, elle a été tenue, comme mentionné, au Boston Pizza de Saint-Eustache qui a choisi de s’associer annuellement au Fonds Julie Thorn en raison du fait qu’il s’agit d’une «cause locale» car plusieurs de ses employés étudient ou ont étudié à la PDM.
Au total, donc, ce sont 468 $ qui ont été amassés un peu plus têt cette année, montant qui a été officiellement remis au Fonds Julie Thorn le 9 juillet dernier, ce qui permettra à Marie-Hélène Thorn et Marie-Hélène Proulx d’être en mesure d’effectuer un prochain don d’ici peu. 
Pour en savoir davantage, il est possible de consulter le [<a href="https://fgmtl.org/fr/nouvelle.php?n=171">https://fgmtl.org/fr/nouvelle.php?n=171</a>] ou de consulter la page [<a href="http://www.facebook.com/fondsjuliethorn/">http://www.facebook.com/fondsjuliethorn/</a>].

Comme le promoteur Groupe l’Héritage, associé à GBD Construction, pose maintenant des conditions à la cessation de terrains jugés non constructibles, appelés aussi «terrains résiduels» dans la partie des Plateaux du Ruisseau longeant, au sud, l’autoroute 640 et située immédiatement à l’est du chemin Principal, la Municipalité de Saint-Joseph-du-Lac a entrepris des procédures d’expropriation pour en prendre possession.
Une résolution en ce sens a été adoptée lors de la séance ordinaire des élus de Saint-Joseph-du-Lac tenue le mardi 10 août dernier. À cet effet, un mandat a été accordé à la firme DHC Avocats Inc. afin qu’elle prépare et mène à terme toutes les procédures requises dans le cadre de ce processus d’expropriation.
«L’orientation du promoteur, Groupe l’Héritage Inc., lors du dépôt du plan d’aménagement d’ensemble, était de céder à la Municipalité les terrains résiduels non constructibles en échange d’un don écologique afin que la Municipalité puisse en préserver le couvert forestier, les caractéristiques écologiques et y aménager des sentiers au bénéfice de l’ensemble de ses citoyens, [mais] en date des présentes, le promoteur Groupe l’Héritage Inc. refuse maintenant de [les] céder à la Municipalité», peut-on lire dans la résolution qui a été adoptée concernant cette expropriation.
<h3>Une superficie totale de 174 223 m2 à l’enjeu</h3>
Plus précisément, la Municipalité de Saint-Joseph-du-Lac explique, dans un échange de courriels avec votre hebdo L’ÉVEIL qui a voulu obtenir plus de précisions dans ce dossier, qu’elle s’était effectivement refusé, en mars dernier, à exproprier les terrains où la construction de maisons étaient permises et approuvées depuis cinq ans déjà.
«C’est ça qui a été écarté [à ce moment] par le conseil, qui a décidé de conserver le statut quo quant au plan d’aménagement approuvé en 2016 et pour lequel des consultations publiques avaient été menées à l’époque. En résumé, GBD garde ses lots ‘’construisibles’’, et nous on entame un processus d’expropriation pour les lots ‘’non construisibles’’ puisque GBD avait mentionné vouloir nous les céder et que ce n’est finalement plus le cas», de préciser la Municipalité dans ces courriels.
Ce sont les deux tiers, d’une superficie totale de 1 875 532 pi2 (174 223 m2), qui font l’objet de cette expropriation. En tout, les terrains des Plateaux du Ruisseau occupent une superficie de trois millions de pieds carrés, incluant les parties constructibles réparties sur trois plateaux distincts.
<h3>Bande de terrain du MTQ</h3>
Par ailleurs, lors de cette même séance, les élus ont adopté une autre résolution pour, cette fois, confirmer leur intention d’aller de l’avant dans l’acquisition d&#8217;un ensemble boisé d’une très grande superficie située entre les limites est de la municipalité et le futur prolongement de la rue Caron. En d’autres mots, l’immeuble concerne le boisé situé derrière les immeubles du croissant Bernard.
«Nous avons réussi à avoir une entente de principe avec le MTQ sur la base de 1,10 $ le mètre carré, pour tout près de 108 000 m2. Le MTQ se garde une bande de 30 mètres de profondeur allant du chemin Principal jusqu’à la limite Est du territoire de Saint-Joseph-du-Lac, à la limite de SMSLL. Aucune dépense n’est encore engendrée, mais au moins, la résolution vient confirmer l’intention d’aller de l’avant, toujours dans l’objectif de réaliser un projet de mise en valeur du territoire et de protection des boisés», de préciser sur ce point la Municipalité de Saint-Joseph-du-Lac dans ces mêmes courriels envoyés à L’ÉVEIL.

Terrains de GBD: Saint-Joseph-du-Lac entreprend des procédures d’expropriation

Le maire de Saint-Eustache, Pierre Charron, a dévoilé la nouvelle identité visuelle du futur marché de Noël du Vieux-Saint-Eustache. Il était en compagnie des représentantes de Tourisme Basses-Laurentides, Marie-Claude Granger et Anne-Marie Ratkiewicz ainsi que de Roxanne Gariépy, conceptrice du logo.
Le logo met en scène les maisonnettes colorées, figures emblématiques du futur marché de Noël, formant un flocon de neige caléidoscopique. La police de caractères cursive apporte une touche vibrante, propre à ce lieu d’échange entre les producteurs locaux et la population. La signature visuelle a été conçue par Mme Roxanne Gariepy, designer graphique.
« Ce logo est synonyme de réjouissances, de rassemblement, de joie de vivre, a souligné le maire Charron. Nous avons presque hâte à l’hiver pour voir enfin se concrétiser ce rêve de voir un marché de Noël s’installer dans le Vieux-Saint-Eustache ».
Rappelons que le marché extérieur se tiendra les 3, 4, 5 ainsi que les 10,11, 12 décembre, dans les jardins du Manoir, situés derrière le manoir Globensky, au 235, rue Saint-Eustache.
Tous les détails seront diffusés cet automne via les médias sociaux de la Ville de Saint-Eustache et de Tourisme Basses-Laurentides ainsi que sur leurs sites Web respectifs :
facebook.com/VilleSaintEustache 
fr-ca.facebook.com/TourismeBassesLaurentides 
saint-eustache.ca 
basseslaurentides.com

De l’argent additionnel pour aider le Fonds Julie Thorn

Des dons à la PDM et à l’ÉSO