Avec la Société de l’assurance automobile du Québec et Desjardins à ses côtés, l’<a href="http://operationnezrouge.com" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Opération Nez rouge</a> invite la population à devenir bénévole ou encore à composer le 1 866 DESJARDINS pour obtenir un raccompagnement.



<h2>L’Opération Nez rouge a le cœur à la fête</h2>



Cette année, l’Opération Nez rouge sera en service dans près d’une cinquantaine de régions à travers la province, y compris les territoires des Basses-Laurentides et de Saint-Jérôme.



Dany Turcotte, porte-parole de cette campagne anniversaire, lance à nouveau l’invitation à toute la population pour souligner les 40 ans de son vieil ami, Nez Rouge. Que ce soit en utilisant le service de raccompagnement ou en étant bénévole, tout le monde peut prendre part à la fête. Il suffit de <a href="http://operationnezrouge.com" target="_blank" rel="noreferrer noopener">visiter le site web</a> pour consulter les dates et les heures d’ouverture de chacune des régions ou encore de télécharger la toute nouvelle application mobile pour y trouver une foule d’informations et pour s’inscrire comme bénévole.



<h2>Un succès impressionnant</h2>



Depuis ses débuts en 1984, l’Opération Nez rouge a effectué plus de 2,4 millions de raccompagnements à travers le pays. C’est grâce au dévouement des quelque 1,6 million de bénévoles qu’il est possible d’accomplir cet exploit année après année, et ce, depuis maintenant 40 ans.



En plus de rendre les routes plus sécuritaires pendant la période des fêtes, tous les dons recueillis dans le cadre de la campagne de raccompagnement sont reversés directement aux communautés. En effet, depuis ses débuts, l’Opération Nez rouge a redistribué 35 millions de dollars à des organismes locaux liés à la jeunesse, et ce, partout au pays. Une autre bonne raison de faire appel à l’Opération Nez rouge.

La santé mentale est un enjeu important qui touche toute personne. La campagne Et si c’était moi… veut le rappeler. Cette année, elle mise sur l’univers agricole par un partenariat avec Écoute agricole.



C’est donc 15&nbsp;histoires qui seront racontées sur les réseaux sociaux, mais également, sur diverses affiches partout dans les Laurentides et l’Outaouais. « C’est en parlant que ça brise des tabous », affirme Magali Noiseux-Laurin, directrice générale de l’organisme Écoute agricole. Elle souhaite ainsi sensibiliser la population à la réalité des agriculteurs, mais aussi normaliser la demande d’aide par ces derniers. « Encore aujourd’hui, les gens ne veulent pas montrer qu’ils ont des signes de faiblesses », ajoute-t-elle.



L’organisme à but non lucratif (OBNL) a toujours voulu s’offrir comme soutien dans son milieu afin de briser les tabous. « On a entendu parler de la campagne qui a été faite à Mirabel et je trouvais que le concept de demandé aux gens de se mettre dans la peau d’une personne qui ne va pas bien était très humain et accessible », souligne-t-elle.



Le but de François Fauteux, fondateur de l’initiative, était déjà de remettre la campagne de l’avant en utilisant de nouvelles méthodes, d’année en année. Écoute agricole a donc pris les devants en le lui proposant, élargissant ainsi considérablement son bassin de population.



La compagnie Outfront, qui détient un grand nombre de panneaux publicitaires aux abords des autoroutes, diffusera la campagne dans son ensemble pendant tout le mois de novembre. « C’est l’ensemble du réseau de panneau de Outfront du grand Montréal qui va partager la campagne », souligne François Fauteux.



<h2>Une suite logique</h2>



L’OBNL ayant un volet de sensibilisation, il allait de soi de reprendre le flambeau. « On fait souvent des campagnes pour parler des tabous dans le milieu. Mais là, on trouvait que c’était tellement bien fait qu’on pouvait le transférer dans notre milieu », explique Mme&nbsp;Noiseux-Laurin.



L’année dernière, il était surtout question de témoignages de Mirabellois selon certaines thématiques importantes, telles l’isolation, la dépression et la sécurité financière. Cette année, on mise davantage sur les témoignages en tout genre. « On avait vraiment un souci d’avoir des gens de tous les âges et professions », soutient la directrice de l’OBNL.



Ainsi, des producteurs de divers milieux, autant grands que petits, mais aussi des intervenants d’autres professions ont uni leur voix pour la cause. On compte un représentant par MRC en plus des deux intervenants. « Il y a un témoignage d’une dame qui montre pourquoi il y a tant de tabous. Si elle commence à dire qu’elle en a vécu de la détresse à cause des finances et tout ça, ça pourrait avoir un impact négatif sur son entreprise », souligne François Fauteux.



Chacun a choisi un message selon ce qui lui tenait à cœur. Certains ont cherché à faire passer un message à leurs pairs tandis que d’autres ont plutôt partagé une histoire personnelle.

Et si c’était moi… Un retour tourné vers le milieu agricole

Le Marché de Noël de Mirabel est de retour pour une nouvelle édition. Toujours situé au Centre culturel du Domaine vert Nord, il accueillera les quelque 3000&nbsp;personnes attendues chaque fin de semaine.



Le Marché de Noël de Mirabel propose encore cette année une grande variété d’exposants en tout genre. Tricots, couture, articles en bois, produits du terroir&nbsp;: tous les goûts seront comblés. « Il y a beaucoup de convivialité entre les exposants. C’est un milieu d’entraide », souligne Véronique Durocher, directrice de Tourisme Mirabel.



Une quarantaine d’exposants viendront présenter leurs produits. La vingtaine se trouvant dans le petit village à l’extérieur seront présents pour l’ensemble de l’événement, tandis que les autres n’auront qu’une ou deux fins de semaine. « C’est environ la moitié des exposants sélectionnés qui sont Mirabellois », confirme Mme&nbsp;Durocher.



À partir du 24&nbsp;novembre, c’est 4&nbsp;fins de semaine d’affiler qui s’offre pour le magasinage du temps des Fêtes. « On est avant certains autres marchés. Il y a Oka avant nous et Saint-Eustache la fin de semaine suivante », explique-t-elle.



C’est donc 8&nbsp;jours d’ouverture, ce qui en fait l’un des événements les plus longs dans la région. « On a dû retirer les vendredis parce que ce n’était pas assez populaire. C’était beaucoup d’investissements pour ce peu de résultats », ajoute-t-elle. L’horaire prévoit l’événement à partir de 10&nbsp;h le matin, jusqu’à 18&nbsp;h le samedi et, 17&nbsp;h le dimanche.



<h2>Encore plus !</h2>



L’animation fera un grand retour cette année. Plusieurs éléments étaient déjà présents lors de l’édition&nbsp;2022, mais cette fois va encore plus loin. « On a décidé de faire le retour du père Noël. Il va se promener autant à l’intérieur qu’à l’extérieur », confirme la directrice de Tourisme Mirabel.



De nombreuses animations sont ainsi prévues à l’horaire, ainsi qu’une expérience de musée dans une roulotte. L’idée est vraiment de maximiser l’expérience des visiteurs. « On essaie d’avoir plus de prêt-à-manger. C’est vraiment un défi », ajoute-t-elle.



Le montage a commencé le 3&nbsp;novembre dernier et s’étale sur plusieurs semaines. « On monte jusqu’au mercredi avant le marché. On s’est donné un lousse de 3&nbsp;jours, avec les intempéries, pour qu’on n’ait pas trop à en faire pendant 2&nbsp;semaines », explique-t-elle. Au total, Véronique Durocher estime à environ 40&nbsp;bénévoles qui aident tout au long de l’événement, en incluant le montage et le démontage.

C’est un départ pour la 40e édition de l’Opération Nez rouge

L’Opération Nez rouge a le cœur à la fête

Un succès impressionnant