« Bénévoler, c’est brillant ». C’est là le thème retenu pour souligner la 50e édition de la Semaine de l’action bénévole qui a cours jusqu’au samedi 20 avril prochain. Cette semaine est portée par la <a href="http://www.fcabq.org/">Fédération des centres d&#8217;action bénévole du Québec (FCABQ)</a>, laquelle regroupe plus d&#8217;une centaine de centres d&#8217;action bénévole (CAB) à travers le Québec, dont le <a href="https://joomla.cabartisans.org/">CAB Les Artisans de l’Aide</a>, à Saint-Eustache, et le <a href="http://www.cab-solange-beauchamp.com/">CAB Solange-Beauchamp</a>, à Sainte-Thérèse. Les organismes qui ont besoin de bénévoles sont nombreux, qu’ils soient communautaires, culturels, sportifs ou autres. Je vous invite à consulter les sites web de vos villes et municipalités qui recensent habituellement les organismes œuvrant sur leur territoire respectif. Aussi, le CAB Les Artisans de l’Aide propose à tous un questionnaire pour vous aider dans votre réflexion de devenir bénévole : <a href="https://joomla.cabartisans.org/index.php/fr/benevolat-frca/faire-mon-choix-eclaire">https://joomla.cabartisans.org/index.php/fr/benevolat-frca/faire-mon-choix-eclaire</a>. Vous pouvez, enfin, consulter le <a href="http://www.fcabq.org">www.fcabq.org</a>, section « L’action bénévole ». Bon bénévolat !



Ce n’est un secret pour personne&nbsp;: les banques alimentaires sont en pénurie de denrées pour répondre à la demande. Voilà ce que nous apprend encore une fois Moisson Laurentides. Dans l’espoir de pallier les besoins urgents des comptoirs alimentaires auxquels l’organisme redistribue ses denrées, une Grande Collecte sera à nouveau tenue dans la région les 26&nbsp;et 27&nbsp;avril à plusieurs points de collectes. Dans notre secteur, les supermarchés Maxi de Sainte-Marthe-sur-le-Lac et de Saint-Eustache, ainsi que le supermarché Super&nbsp;C de Saint-Eustache, font partie des points de collecte identifiés. Des équipes de bénévoles seront aussi mises à contribution le 27&nbsp;avril sur plus d’une dizaine d’intersections routières. Comme vous pourrez le lire dans cette présente édition, Moisson Laurentides sonne la sonnette d’alarme et rappelle l’importance de prendre part à cette guignolé et l’urgence d’agir. Autour de 20&nbsp;000&nbsp;individus ont eu recours à l’un des services alimentaires de la région, entre mars 2022 et mars 2023. Montrons-nous solidaires ! Pour d’autres renseignements&nbsp;: <a href="https://moissonlaurentides.org/">https://moissonlaurentides.org/</a>.



Sur ce, bonne semaine, ici chez vous !

Cette acquisition, au coût de 9,1 M$, lesquels seront puisés à même la réserve non affectée, permettra de localiser dans le bâtiment le Service de police et le Service des technologies de l’information, d’y entreposer des équipements de différents services, tandis que le vaste terrain accueillera pour sa part la fourrière municipale.   



« Il y a déjà un bon moment que nous composons avec un manque d’espaces adaptés pour les besoins de différents services. L’acquisition du terrain et du bâtiment du magasin BMR représentait donc pour nous une réelle opportunité, que nous devions saisir, puisqu’elle nous permettra de régler une problématique bien présente et de gagner en efficience. Et ce, sans ajouter à la dette et à coût infiniment moindre que s’il avait fallu bâtir sur un nouveau terrain. », de dire le maire de Saint-Eustache, M. Pierre Charron.



Il faudra à la Ville au plus trois ans pour adapter le bâtiment aux besoins des services et finaliser leur installation. « Celle-ci se fera graduellement, au rythme des aménagements complétés. Outre ses dimensions et ses commodités, ce bâtiment vert offre de plus d’intéressantes caractéristiques que nous aurions voulu inclure dans une nouvelle construction, soit un chauffage et une climatisation par géothermie, qui nous feront réaliser d’importantes économies dans le futur. », ajoute-t-il. 



« Quant aux bâtiments municipaux actuellement occupés par les services concernés, ils feront ultérieurement l’objet d’une vente, ce qui permettra d’amortir considérablement les coûts d’acquisition et d’aménagement. », conclut Pierre Charron.

La Police de Saint-Eustache change d’adresse

L’économie de l’ensemble des Basses-Laurentides est en effervescence. De nombreuses entreprises viennent s’y installer, afin de bénéficier du bassin de travailleurs et de l’espace disponible.



Synergie Économique Laurentides voit cependant la possibilité d’aller plus loin et de faire bénéficier à chacun en mettant l’économie circulaire de l’avant. « C’est la première entente sectorielle portée par le ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie (MEIE). Les Laurentides ouvrent le bal. C’est un privilège pour nous », souligne Vincent Lusignan, directeur général de l’organisme. Il explique d’ailleurs la fierté que l’organisme laurentien en soit le maître d’œuvre.



En janvier dernier, une entente sectorielle a été annoncée, annonçant la collaboration des MRC de la région et des ministères. « Tout le monde autour de la table s’entend pour dire qu’il faut se mobiliser pour une problématique et un enjeu spécifique. Ici, c’est l’économie circulaire », explique le directeur général.



Ce que cela signifie, c’est que les produits et matériaux seront recyclés au maximum. « C’est à l’inverse de l’économie linéaire qui est d’acheter, consommer et jeter », ajoute M.&nbsp;Lusignan. La matière est donc en circulation le plus longtemps possible. Cela permet entre autres de réduire la quantité de déchets. Il faut également noter que plusieurs stratégies suivent ce modèle, dont le recyclage, la réutilisation de ressources — comme les friperies — etc.



Un pas à la fois



Trois étapes sont prévues dans l’ensemble du plan. Un portrait des Laurentides doit d’abord être fait afin de mieux élaborer un plan d’action. La mise en place en sera d’autant plus facile en connaissant les force et faiblesse de la région. « Les montants annoncés sont pour l’ensemble de ces trois étapes », souligne le directeur, à propos du 821 497&nbsp;$ remis par le gouvernement.



Plus de 200&nbsp;répondants ont participé au sondage des derniers mois, apportant déjà une bonne vision de l’état des choses. « Maintenant, on tombe dans une phase de consultations pour des créneaux spécifiques qui ont été identifiés, comme l’industrie de la construction, manufacturière, etc. », continue-t-il. Selon Synergie Économique Laurentides, ceux-ci sont des cas particuliers à traiter. Des consultations plus pointues seront donc organisées pour avoir de meilleures réflexions et, par le fait même, de meilleures solutions.



Ce sont les entreprises qui bénéficieront le plus de l’entente. « Ça ne veut pas dire que le rayon d’action ne sera pas plus large », rappelle Vincent Lusignan.



L’entente devra être renouvelée dans trois ans. L’organisme croit pouvoir continuer encore plus longtemps son travail sur le terrain. « Être positionné ainsi, c’est une reconnaissance de la compétence de Synergie économique Laurentides et de la confiance que les partenaires ont envers l’organisation », conclut-il.

C’est la Semaine de l’action bénévole