«C’est incroyable! Cette belle nouvelle tombe à point dans une période difficile, durant laquelle des parents, déjà éprouvés par le cancer de leur enfant, doivent également jongler avec une pandémie. Cette somme record est un magnifique cadeau et sera très utile pour la poursuite de la mission de Leucan auprès de ces familles. Merci aux franchisés Tim Hortons de croire encore et encore en notre mission et merci à la population et aux entreprises qui, par leurs commandes, ont répondu à l’invitation. Le sourire de ces biscuits est désormais sur le visage de centaines d’enfants d’ici, merci», d’indiquer Mathieu Déziel, directeur régional à Leucan Laurentides-Lanaudière.
Depuis cinq ans, ces franchisés soutiennent la cause avec cœur. La campagne Biscuit Sourire a d&#8217;ailleurs progressé au fil des années. En effet, plus de 10 000 biscuits de plus ont été achetés par les citoyens de la région cet automne.
La somme recueillie servira à soutenir financièrement les familles d’ici dont l’enfant est atteint de cancer, via les bourses mensuelles qui leur sont offertes et le fonds de dépannage servant à soutenir les membres de Leucan face aux imprévus.
Notons qu&#8217;à l&#8217;échelle du pays, ce sont 10,56 millions de dollars qui ont été amassés et qui seront remis à des organismes caritatifs, un montant record.
«Nous avons été absolument époustouflés par la générosité de la population à l’occasion de notre campagne annuelle du Biscuit Sourire», affirme Hope Bagozzi, directrice du marketing chez Tim Hortons.

Rappelons que cette nouvelle a été abordée dans un article paru le mois dernier dans votre hebdo local, annonçant aussi les chantiers de trois écoles primaires à Mirabel. On mentionnait que ce projet du secteur de Saint-Augustin était, pour le moment, au stade de discussion entre différentes instances locales, régionales et provinciales. Maintenant officialisé par la Ville de Mirabel, le tout est rendu possible grâce au partenariat de ces même acteurs, soit le Centre de services scolaire de la Seigneurie des Mille-Îles (CSSMI), la Société québécoise des infrastructures (SQI), ainsi que la Ville de Mirabel. S’ajoutent l’apport et l’acceptation de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) et de la Commission de la protection du territoire agricole du Québec (CPTAQ).
«L’annonce de l’école secondaire doit être entérinée par le ministère de l’Éducation du Québec et la Société québécoise des infrastructures sera mandatée pour le début de la construction. En attendant, la Ville de Mirabel procédera à identifier l’endroit exact de la construction, ainsi que des demandes d’autorisations de permis, en collaboration avec le CSSMI», avait partagé le maire Jean Bouchard, sur les médias sociaux, lui qui avait confirmé, au mois de septembre, la construction de cette école «vers l’automne 2022». Or, selon les nouvelles informations partagées, la fin des travaux est actuellement prévue vers la fin de l’année 2022, selon les échéanciers. Les plans détaillés du projet seront quant à eux dévoilés le mois prochain.
Un pôle institutionnel
Le bâtiment sera donc situé au cœur du secteur de Saint-Augustin, sur la petite côte des Anges et à l’intersection de la rue Saint-Jacques. Acquis par la Ville, le site est situé à même un futur pôle institutionnel. Il comprendra des stationnements partagés par diverses installations communautaires et sportives, tels qu’un centre culturel, un aréna, ainsi qu’un centre aquatique dont la construction a été annoncée précédemment.
L’école secondaire, d’une signature architecturale de nouvelle génération, comprendra des matériaux québécois, une large fenestration et 350 places en auditorium. «Nous sommes vraiment enthousiastes de voir les travaux d’aménagement débuter sur ce site et de dévoiler à la population quelques plans de cette école, dont l’architecture est si actuelle et innovatrice», a indiqué le maire suppléant de Mirabel, Patrick Charbonneau.
«Cette école, qui s’insérera dans un milieu offrant de multiples infrastructures et services, créera une véritable synergie au sein de la communauté, et nous sommes fiers de constater à quel point ce projet, auquel nous avons contribué, bonifiera la qualité de vie des citoyens», a-t-il conclu.
Une place publique
Mirabel se dit d’ailleurs fière de bonifier l’investissement du gouvernement, à la hauteur de plus de 1 M$. Pour faciliter l’accès au site et favoriser la mobilité, la Ville devra faire des travaux d’infrastructures routières. L’utilisation de transports actifs, soit le vélo et la marche, sera valorisée.
On annonce que l’institution secondaire sera bordée par une place publique financée en partie par l’administration municipale. En outre, aux abords de l’école, on bonifiera l’offre en plateaux sportifs, pour les élèves et l’ensemble de la population. Les citoyens y trouveront des terrains de baseball, de soccer synthétique et de volleyball de plage, ainsi qu’un «skatepark». Comme mentionné précédemment, plus de détails sont à venir.
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Mirabel officialise la construction d’une école secondaire

«La décision a été prise le mercredi 7 octobre dernier, et nous avons même tenté de voir si on avait des options autres que les plans B et C que nous avions élaborés. Mais, on vit une situation hors de l’ordinaire [avec la COVID-19] et on ne sait pas ce que nous réservent les prochaines semaines. On y a cependant cru jusqu’à la dernière minute», relate, en entrevue téléphonique, le nouveau président du Comité de la parade du père Noël, Denis Joannette qui a déjà assuré, par le passé, les rênes du comité organisateur pendant huit ans.
<h3>Deux autres plans sur la table</h3>
Déjà, avant d’en arriver à cette ultime décision, M. Joannette et son équipe étaient bien conscients que le défilé 2020 ne pourrait se dérouler comme par les années passées. Aussi, on a élaboré dès le départ un plan B et un plan C qui auraient tout de même permis la tenue d’un 51e défilé de suite.
Le plan B était d’organiser un «défilé inversé» où ce sont les gens qui auraient circulé sur le chemin d’Oka pour voir les chars allégoriques et les prestations des participants et fanfares «Un peu comme cela se fait au parc Safari», d’illustrer M. Joannette. Cette option n’a finalement pas été retenue puisque cela aurait entraîné la fermeture du chemin d’Oka durant trop d’heures.
Le plan C prévoyait que l’événement se serait déroulé dans plusieurs rues de Deux-Montagnes. «Mais, quelles rues choisir? Et cela aurait malgré tout provoqué certains rassemblements, ce qu’on ne voulait pas avec le défilé traditionnel sur le chemin d’Oka», de mentionner M. Joannette pour expliquer la difficulté qu’a eu son comité organisateur à trouver une option satisfaisante.
Ajoutez à cela que la région des Basses-Laurentides est passée, durant l’élaboration de ces différents plans, en zone orange, puis en zone rouge, restreignant encore plus le déplacement des participants de fanfares et de spectateurs venus de l’extérieur, la location de chars allégoriques, et le sort en était jeté.
<h3>À l’an prochain!</h3>
«D’autres défilés ont été annulés, ailleurs au Québec, comme à Saint-Sauveur, Montréal ou Granby, avant qu’on se décide à faire ce même», fait d’ailleurs remarquer celui qui a été conseiller municipal à Deux-Montagnes de 2005 à 2009.
Mais, en bon optimiste qu’il est, Denis Joannette est déjà prêt à se mettre à l’ouvrage pour l’édition 2021 de ce défilé du père Noël qui coïncidera alors avec les festivités du 100e anniversaire de la ville de Deux-Montagnes. «On se remet au boulot dès le mois de janvier», lance le principal intéressé, laissant même entrevoir que le prochain défilé pourrait bien apporter son lot de nouveautés.
D’ici là, M. Joannette et l&#8217;équipe du Comté de la parade du père Noël souhaitent à tous un bel automne et des festivités de Noël qui se dérouleront dans le bonheur et la santé!

Le défilé du père Noël n’aura pas lieu cette année à Deux-Montagnes

Biscuit Sourire: 51 764 $ versés à Leucan Laurentides-Lanaudière

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Benoit Bilodeau

Journal L'Éveil