La Ville de Saint-Joseph-du-Lac conviait sa population, dont plusieurs jeunes familles, à la visite de l’hôtel de ville et de la caserne de pompiers, bâtiments situés tous deux sur la rue Principale. Le tout se déroulait le samedi 7 septembre dernier.
Au programme, entre autres: kiosques des services municipaux et organismes desservant le territoire, présence de policiers de la Régie de police du Lac des Deux-Montagnes, inscription aux activités de loisir automnales, en plus des fameuses visites de l’hôtel de ville, en compagnie des conseillers, et de la caserne et de ses équipements, comme les camions.
Activité très populaire auprès des jeunes; ils pouvaient essayer, en compagnie d’un pompier, un boyau utilisé pour éteindre les incendies.
De son côté, le maire Benoit Proulx, accompagné par une poignée de conseillers municipaux, était fier du résultat de ce rassemblement. «C’est un grand plaisir de vous accueillir dans le cadre de cette journée portes ouvertes. Il s’agit d’un deux pour un. C’est la première fois que l’on procède à la visite de l’hôtel de ville, avec la caserne» , adressait-il, en ce sens, avant la prise de photo officielle.
«J’ai envie de vous dire bienvenue chez vous! Il s’agit de bâtiments qui appartiennent à la communauté. Un grand merci à nos élus, aux représentants des autorités et des organisations communautaires.»
<h3>Une brochette d’organisations</h3>
Le but de cette journée était de faire connaître davantage les services offerts par la Municipalité à ses citoyens. «Vous avez à faire affaire régulièrement avec nos employés. C’est bien, car, aujourd’hui, vous êtes en contact direct avec eux!» , conclut le premier magistrat.
Soulignons d’ailleurs la présence, à cette journée, de représentants du Comité d’action sociale, du Club de l’âge d’or, de REgarde citoyen!, de la Patrouille canine, du Cercle de fermières et du Club de soccer Révolution FC. Cette dernière est la nouvelle organisation sportive qui couvrira le territoire de Saint-Placide, jusqu’à Boisbriand.

Le président de l’association, François Paquet partage avec Luc Desilets une passion pour l’éducation. Alors qu’il présidait le conseil d’établissement de la polyvalente Deux-Montagnes, il a côtoyé Luc Desilets, qui était directeur adjoint. Il peut donc témoigner de la rigueur, de l’intégrité et de l’empathie de Luc Desilets. «Luc s’implique aussi dans plusieurs organismes communautaires, ce qui démontre un altruisme rare de nos jours.»
M. Paquet a ajouté: «On pouvait bien sûr s’attendre à un appui de notre part envers le Bloc québécois, mais dès les premières discussions, lorsque le nom de Luc Desilets a été mentionné, je savais que nous aurions un candidat de grande valeur qui serait à l’écoute des citoyens et pour lequel ce serait un honneur de s’impliquer»,
Daniel Goyer, ex-député et vice-président de l’association, a renchéri ainsi: «Luc Desilets est un candidat écologique non seulement au niveau des mots, mais par ses actions. J’ai moi-même constaté tout le soin qu’il a mis à récupérer divers matériaux pour construire sa maison de campagne.»
Invitation aux membres
L’exécutif du Parti québécois de Deux-Montagnes invite donc l’ensemble de ses membres à se ranger derrière Luc Desilets afin de lui permettre de défendre les intérêts du Québec et des citoyens de Rivière-des-Mille-Îles à Ottawa.
Selon le PQ de Deux-Montagnes, le Bloc québécois est le seul parti qui a pour seul intérêt la défense des intérêts des Québécois. Il est d’autant plus pertinent que l’ensemble des partis fédéraux ont l’intention de combattre la loi sur la laïcité dès leur élection. Le Bloc est aussi le seul parti qui pourra mettre tous ses efforts pour qu’on respecte le territoire québécois en s’opposant avec fermeté au passage du pipeline, un enjeu primordial pour notre région. D’autant plus qu’aucune goutte de ce pétrole ne sera consommée au Québec mais servira à enrichir les intérêts de la famille Irving au Nouveau Brunswick.
Pour les personnes intéressées à appuyer Luc Desilets, n’hésitez pas à le contacter par courriel à (<a href="mailto:Luc.Desilets@gmail.com">Luc.Desilets@gmail.com</a>).

Le PQ de Deux-Montagnes se range derrière Luc Desilets

Maintenant que la hache de guerre est enterrée, «il est temps de se parler et de travailler ensemble» pour le bien des deux communautés, a déclaré le maire d’Oka, heureux d’aller maintenant de l’avant.
«Il fallait unir nos voix pour parler d’une seule voix. Maintenant que nous nous sommes réconciliés, les canaux de communication sont rouverts. Les deux conseils se rencontreront prochainement pour parler de la suite des choses» , de dire Pascal Quevillon avant d’ajouter que la problématique vient selon lui «principalement du gouvernement fédéral» .
«Chaque fois, on met un couvercle sur la marmite et on n’y touche plus, mais, quelques années après, ça ressaute. Mais là, non. On veut que les deux paliers de gouvernement prennent le dossier en main et qu’ils le règlent une fois pour toutes! Ça fait trois ans que je veux me faire entendre par le fédéral.»
<h3>De l’eau dans son vin</h3>
Le grand chef Simon n’a pas manqué de saluer le courage de M. Quevillon lors du sommet Premières Nations – Municipalités. Le fait d’avoir présenté ses excuses démontre la volonté de régler ce conflit qui, rappelons-le, a débuté après que le promoteur Grégoire Gollin et le grand chef Simon aient signé une entente relative à la rétrocession des terres mohawks.
«Si ce n’était pas de cela, on n’en serait pas là, insiste Pascal Quevillon. Une réconciliation, poursuit-il, ça se fait à deux. C’est certain que chacun de nous a dû mettre de l’eau dans son vin.»
Quand M. Quevillon dit «avoir mis de l’eau dans son vin» , il admet notamment que d’affirmer qu’Oka allait être enclavée par les Mohawks n’était pas sa meilleure citation.
«Ce n’est pas d’être enclavés par les Mohawks ou Kanesatake qui va faire perdre de la valeur à nos résidences, c’est d’être enclavés par des cabanes à cigarettes et à cannabis. Et c’est ce que j’aurais dû dire, mais ç’a été mal perçu et je m’en excuse encore.»
Pascal Quevillon indique en outre que les trois résolutions votées en assemblée par la Municipalité d’Oka, dont celle qui demande le retour d’un corps policier à Kanesatake, sont toujours valables.
«Nous avons rétabli les ponts avec Kanesatake. Maintenant que c’est fait, nous allons tenter de parler d’une seule voix pour être bien entendus par les gouvernements fédéral et provincial. La priorité est le corps de police à Kanesatake et, pour cela, on a besoin de l’intervention du ministère de la Sécurité publique du Québec.»
Soulignons par ailleurs que la Fédération des municipalités du Québec et la députée Sylvie D’Amours sont au nombre de ceux qui ont salué le geste posé par le maire Quevillon à l’endroit du grand chef Simon.
«Nous sommes élus par la population et nous devons travailler pour la population et c’est ce que nous ferons!» , a conclu le premier magistrat d’Oka.

Benoit Proulx: «Bienvenue chez vous!»

Une brochette d’organisations