Le Service de police de la Ville de Saint-Jérôme (SPVSJ) est actuellement à la recherche d’un jeune homme de 17 ans, mais dont l’âge mental est de 7-8 ans, qui a été vu pour la dernière fois le samedi 27 novembre, vers 19 h, près de la rue Danis, à Saint-Jérôme.
Le jeune homme en question qui semble être âgé de 11 ans, Evrick Deschatelets, a les cheveux châtains/blonds, une coupe champignon, les yeux verts et a petite corpulence. Il mesure 1 m 52 (5 pieds) et pèse 46,35 kg (100 lbs). Il portait, la dernière fois qu’on l’a aperçu, un grand chandail des Canadiens de Montréal au nom de Gionta et une tuque grise.
Toute information utile pouvant aider le SPVSJ à le retrouver, entre autres si vous pensez l&#8217;avoir vu ou si vous le voyez, peut être communiquée immédiatement au 911.

Le Rassemblement pour un pays souverain tient à commenter la vive réaction qu&#8217;a suscitée sur les réseaux sociaux la campagne publicitaire nationale pour lutter contre le racisme au Québec, et plus particulièrement au choix des mots «Québécois» en français et son retrait dans la version anglaise.
Le regroupement précise d&#8217;ailleurs que le ministre responsable de la Lutte contre le racisme, Benoit Charette, de la Coalition Avenir Québec (CAQ) a dû « rétropédaler dans la soirée du 22 novembre, sur Twitter, pour indiquer qu’il modifierait la pub en anglais ».
Pour le Rassemblement pour un pays souverain, ceci n’explique pas tout et exige des explications du gouvernement Legault sur sa stratégie première de retirer le mot «Québécois» dans la version anglaise de la publicité contre le racisme.
« Le message qu’on envoie, c’est que nous ne sommes pas Québécois à part entière », devait d&#8217;ailleurs s’insurger Eva Ludvig, représentante du Quebec Community Groups Network au journaliste de Radio-Canada, Alex Boissonneault.
Pour le président du Rassemblement pour un pays souverain, Benoît Roy, il est inconcevable que l’on puisse imaginer « une telle publicité suscitant la division dans notre société. Une publicité orchestrée, autorisée par le gouvernement caquiste de François Legault et payée par les contribuables québécois. D’autant que ce gouvernement ne se lasse pas de se prétendre nationaliste et que cette campagne nationale vise la lutte contre le racisme, la discrimination et l’exclusion.
« Nous sommes tous des Québécois quand on habite le Québec, peu importe notre langue maternelle, notre religion et notre origine. Une explication du gouvernement du Québec auprès des Québécois s’impose », de conclure, dans un communiqué de presse, M. Roy.

Lutte contre le racisme: Une campagne publicitaire qui suscite des réactions

Au début de l’été, le Groupe entraide Afrique a mis sur pied un projet pour offrir divers matériels scolaires à des écoles dans le besoin au Sénégal.
Cette initiative a entre autres été possible grâce aux membres Aminata Bâ, Arona Ndiaye et Amadou Ndiaye, tous trois résidents de la MRC de Deux-Montagnes. « Nous sommes tous trois issus de l’Afrique de l’Ouest et nous sommes beaucoup impliqué dans la région », avance Aminata Bâ, une des membres du Comité de la diversité culturelle de Deux-Montagnes et du comité exécutif d’ABL Immigration.
En étant en contact avec le Centre de services scolaire des Mille-Îles (CSSMI), ils ont amassé plus d’une centaine de boîtes de livres qui ont été remis à plus d’une vingtaine d’écoles au Sénégal. Dans ces boîtes, on pouvait y voir des livres éducatifs de toutes les matières tant pour les niveaux primaires et secondaires. Aminata Bâ était d’ailleurs au voyage qui a eu lieu en juillet dernier pour distribuer les dons qui abondaient. « Il y avait des écoles qui avaient presque juste une salle de classe, pas de bibliothèques et qui maintenant, peuvent en avoir », se réjouit-t-elle.
« Le voyage a demandé beaucoup de logistique, il y a eu des imprévus là-bas, mais ça tu l’oublies quand tu vois les yeux des enfants », confie Mme Bâ. Puis les attentes ont été surpassées quand les citoyens de la MRC de Deux-Montagnes ont porté leur contribution en offrant entre autres des vêtements et une vingtaine de bicyclettes. « Les enfants qui ont eu des vélos faisaient des kilomètres pour aller à l’école. Ça leur permet maintenant de pouvoir y aller », précise-t-elle.
« On veut remercier la population et leur dire que tout a été rendu aux bonnes personnes », soulève Aminata Bâ. Elle tient donc à souligner l’aide apporté par tous ceux qui ont contribué au projet tels que le député fédéral Luc Desilet qui a offert son appui, la Ville de Deux-Montagnes qui a fourni des subventions et ABL Immigration qui est un des précieux commanditaires. « Il y a également notre partenaire là-bas, Babacar Diouf qui est quelqu’un de très impliqué, qui aide beaucoup la population et qui est près de sa communauté », précise cette dernière.
C’est dans l’intention de partager des valeurs de solidarité et d’entraide qu’un tel projet a débuté dans les Basses-Laurentides et qu’il a résonné ainsi jusqu’en Afrique. « J’ai tellement reçu ici au Québec que c’était très important pour moi de continuer le partage, affirme Aminata Bâ. Quand tu reçois, tu ne veux pas le garder pour toi, tu veux redonner au suivant. »

Avis de recherche à Saint-Jérôme: Disparation d’un jeune homme de 17 ans