Action Mirabel veut être à l’image des citoyens

Depuis le début de la campagne électorale municipale, Action Mirabel met beaucoup d’accent sur la présentation de ses candidats et l’expérience de ceux-ci. Pour le chef de la formation politique, Patrick Charbonneau, il est primordial que les membres de son équipe représentent bien les citoyens de la ville.

M. Charbonneau veut à tout prix mettre en lumière ses collègues qui sont candidats dans les différents districts. « Il faut que les gens apprennent à les connaître, parce que c’est un travail d’équipe, je n’ai pas la prétention de dire que je vais tout contrôler ou décider de tout. Donc j’essaye de m’entourer de gens qui vont me compléter et aussi qui sont plus forts que moi dans plusieurs domaines, pour avoir une meilleure vue d’ensemble lorsque viendra le temps de prendre des décisions. »

Le chef d’Action Mirabel est fier de son équipe, qu’il qualifie de « complémentaire ». Il souligne que son parti est formé de gens issus de tous les milieux, qui prônent des valeurs qui se ressemblent. Il était impératif pour M. Charbonneau de trouver des gens différents, question de pouvoir profiter de connaissances et d’opinions dans tous les domaines.

« L’expérience de notre équipe est clairement un avantage, parce qu’au moins les candidats savent de quoi ils parlent, mais surtout, car ils ont des discussions avec d’autres personnes impliquées dans différents milieux », a souligné M. Charbonneau, qui peut compter sur le support de sept conseillers sortants et trois nouveaux candidats.

Un conseil de ville pour soutenir la population

Si Action Mirabel est élu en novembre, il est clair pour le candidat à la mairie que le conseil de ville sera à l’image des citoyens de Mirabel. « Il y a une dynamique unique qui est omniprésente et les gens en sont heureux. »

Plusieurs chantiers sont en cours à Mirabel, comme le complexe aquatique et la nouvelle école, notamment, et M. Charbonneau est heureux de voir que la ville rayonne par son développement : « En raison des problèmes liés à la pandémie, on est un peu en rattrapage en ce qui concerne les routes, les écoles et l’environnement, mais on a repris le dessus. Diriger une ville c’est comme conduire un gros paquebot, tu ne peux pas tourner sur un dix sous. On est justement en train de prendre un virage pour enlever tous les irritants que les citoyens pouvaient avoir. »

Toutefois, M. Charbonneau précise qu’il est primordial pour lui de bien balancer le développement et la nature : « Ça prend un équilibre dans tout, peu importe le domaine. »