Les investissements d’une valeur de 1,5 milliard de dollars, annoncés par le ministre des Transports, François Bonnardel, auront l’effet d’un baume pour tout le réseau routier au nord de Montréal, estiment les élus.
Plus particulièrement, la mise en place de plusieurs voies réservées répond aux attentes des maires du regroupement. Rappelons qu’il s’agissait de l’une de leurs priorités à l’issue du Forum sur la mobilité et le transport collectif, en 2018.
«L’ajout de voies réservées permettra d’améliorer concrètement le transit de citoyens dans les Basses-Laurentides. Je salue l’annonce du ministre Bonnardel et je le remercie d’être à l’écoute des revendications des maires de Laval-Basses-Laurentides», explique le maire de Blainville et préfet de la MRC Thérèse-De Blainville, Richard Perreault.
«En plus du stress et de l’inconfort, la congestion routière a un coût astronomique pour nos communautés. Une annonce comme celle-ci est à la fois un investissement social et économique», rappelle le maire de Deux-Montagnes et préfet de la MRC du même nom, Denis Martin.
Les maires de Laval et de Terrebonne, Marc Demers et Marc-André Plante, abondent dans le même sens.
«En améliorant considérablement la fluidité sur nos routes, on permet à nos familles de passer davantage de temps de qualité ensemble», mentionne M. Demers.
«En faisant le choix du transport collectif, le gouvernement permettra d’améliorer la mobilité tout en luttant contre le smog urbain. C’était la meilleure option sur la table pour permettre la décongestion de la région au bénéfice des générations futures», fait valoir de son côté M. Plante.
Il est estimé que les coûts de la congestion atteindront 1,5 G$ en 2021 et que 50 millions d’heures seront perdues annuellement dans les transports.
Les maires des 19 municipalités membres réitèrent leur volonté ferme d’assurer une meilleure mobilité sur l’ensemble du territoire de Laval et des Basses-Laurentides, et ce, en collaboration avec le gouvernement du Québec.

Un AVC résulte de l’interruption de la circulation sanguine dans le cerveau, en général quand un vaisseau sanguin éclate ou est bloqué par un caillot. L’apport en oxygène et en nutriments est stoppé, ce qui endommage les tissus cérébraux.
Au Québec, environ 20 000 personnes par année subissent un AVC. Il est estimé que 130 000 personnes ayant subi un AVC vivent avec des séquelles tant psychologiques que physiques. Les impacts sur la qualité de vie de ces personnes et de leurs proches sont très importants, voire parfois dramatiques.
La vie après un AVC n’est pas facile et l&#8217;intégration dans la communauté encore moins. Diminuées physiquement, les personnes victimes d’un AVC souffrent d’isolement et d’exclusion. La mission du Groupe relève pour personnes aphasiques/AVC Laurentides vise à les soutenir moralement et à leur offrir des activités de stimulation facilitant leur intégration sociale.
Sonnerie «Tenir debout»
Dans le cadre de la Journée mondiale de l&#8217;AVC, l&#8217;organisme invite la population à se procurer gratuitement la sonnerie de téléphone «Tenir debout», disponible via le [<a href="http://grpaal.com">grpaal.com</a>]. Un geste symbolique qui permet de souligner son soutien à la cause.

29 octobre: Journée mondiale de l’AVC

C’est en mai que Mme Arteau et son conjoint ont pris possession de leur nouvelle maison. En voulant faire des rénovations au sous-sol pour y aménager les chambres de leurs enfants, ils se sont vite rendus compte que la maison qu’il venait à peine de se procurer était dans un piètre état.
«En enlevant le plafond suspendu, raconte Mme Arteau, mon conjoint a tout de suite constaté l’ampleur des dégâts. Nous avons fait venir des experts pour nous faire confirmer par un microbiologiste que la maison était inhabitable en raison de la présence de champignons toxiques. Au même moment, nous avons aussi réalisé que la structure avait été endommagée par des fournis charpentières».
Le couple avait pourtant fait inspecter la maison. Il avait aussi souscrit à une garantie légale, mais les vendeurs, des personnes âgées, ne sont pas solvables et n’ont pu leur offrir que 15 000 $.
«Nous avons reçu des soumissions pour la réparation de la maison. Il en aurait coûté 220 000 $ pour la remettre à niveau! Quand nous avons dit cela aux vendeurs, ils capotaient, surtout que nous avons payé la maison 270 000 $. C’était donc moins coûteux de mettre à terre et de rebâtir», d’ajouter Mme Arteau qui n’a donc eu autre choix que de choisir cette option.
<h3>Participation citoyenne</h3>
Ne disposant pas d’une telle somme, la famille s’est tournée vers la plateforme GoFundMe, par le biais de laquelle elle espère amasser la somme nécessaire à la reconstruction, soit quelque 150 000 $.
«N’eut été des gens qui nous ont offert des dons et apporté leur aide, nous aurions tout perdu!», mentionne la jeune mère de famille qui dort depuis dans une roulotte stationnée sur son terrain. Évidemment, elle souhaite vivement pouvoir intégrer la nouvelle résidence avant l’hiver.
«Nous vivons dans notre roulotte depuis le 3 juin. Pour l’instant, nous sommes corrects, mais je ne sais pas ce qui se passera lorsqu’il fera moins 10 ou moins 20 degrés!».
Plans et devis en mains, le couple fait ce qu’il peut pour avancer dans cette reconstruction, mais a maintenant besoin d’aide.
«Jamais dans ma vie j’aurais cru démolir une maison avec une masse et une scie à chaîne! Depuis le début de ce cauchemar, nous travaillons tant physiquement que psychologiquement. Ça demande beaucoup de temps et d’énergie!», a conclu Mme Arteau.
Pour aider la famille, il suffit de visiter le site [<a href="http://gofundme.com">gofundme.com</a>] et de taper «Nancy Arteau» dans le moteur de recherche.

A-15: les maires de Laval et des Basses-Laurentides applaudissent les investissements